Si la Silicon Valley est depuis des années le poumon
de l'innovation dans le monde, d'autres écosystèmes de startups,
nouveaux ou déjà plus matures, la rattrapent. L'entreprenariat est en
plein essor, et entraîne l'apparition et le développement d'écosystèmes
locaux, dynamiques et compétitifs.
Si la Silicon Valley a longtemps été le
principal lieu de création de startups, il semblerait que cette tendance
touche à sa fin : ces dernières années ont vu une « explosion »
d’entrepreneurs et avec, « l’émergence de nouveaux écosystèmes de
startups dans le monde » explique le Startup Genome dans
un rapport intitulé Startup Ecosystem Report 2012. L’étude, basée sur
des données collectées auprès de plus de 50.000 startups, présente un
classement des 20 écosystèmes les plus dynamiques du monde. 7
indicateurs sont utilisés pour les évaluer: l’indice de production
(quantifie l'activité des startups), les opportunités de financement, la
performance des startups, l'état d'esprit, la caractère disruptif des
écosystèmes, l’aide aux startups (mentors, network) et le nombre de
talents qualifiés.
Des écosystèmes prometteurs ou déjà matures
Parmi les 6 premiers écosystèmes de startups de l’index Global, 5 sont nord américains : la Silicon Valley arrive en tête, suivie de Tel Aviv, Los Angeles, Seattle, New York et Boston. Toronto et Vancouver arrivent en 8è et 9è position du classement. Pour l’Europe, c’est Londres qui est en tête (7è position au classement général) suivie par Paris (11è) Mouscou (14è) et Berlin (15è). Sao Paulo est le premier écosystème d’Amérique Latine (13 au classement général), avec Santiago (20è). Waterloo, Singapour, Melbourne et Bangalore arrivent en 16è, 17è, 18è et 19è positions. De grandes disparités distinguent ces écosystèmes les uns des autres, et en font des environnements variés. D’après le rapport, les villes qui se distinguent le plus de la Silicon Valley ont les meilleures chances de succès, puisqu’elles seront en mesure de faire de leurs spécificités un avantage compétitif.
De fortes disparités les distinguent
Boston, Tel Aviv et Vancouver ressemblent fortement à la Silicon Valley. Toutes présentent, globalement, des indices de production, de financement et de talents élevés. Par opposition, Moscou, Sao Paulo et Sydney sont les écosystèmes les plus éloignés de la Silicon Valley, et ont tendance à avoir des indices de performance, de production et de financement relativement faibles. Toronto, Chicago et Paris sont des environnements qui offrent un soutien de qualité aux startups, qui présentent un fort indice de performance, et des indices de production et de talents moyens. En revanche, ce sont des écosystèmes relativement peu innovants ou disruptifs. Syndney, Melbourne et Los Angeles forment le top 3 des écosystèmes les plus disruptifs, tandis que Vancouver, Londres, Santiago et Sao Paulo ont le meilleur état d’esprit.
Source : L'atelier
Des écosystèmes prometteurs ou déjà matures
Parmi les 6 premiers écosystèmes de startups de l’index Global, 5 sont nord américains : la Silicon Valley arrive en tête, suivie de Tel Aviv, Los Angeles, Seattle, New York et Boston. Toronto et Vancouver arrivent en 8è et 9è position du classement. Pour l’Europe, c’est Londres qui est en tête (7è position au classement général) suivie par Paris (11è) Mouscou (14è) et Berlin (15è). Sao Paulo est le premier écosystème d’Amérique Latine (13 au classement général), avec Santiago (20è). Waterloo, Singapour, Melbourne et Bangalore arrivent en 16è, 17è, 18è et 19è positions. De grandes disparités distinguent ces écosystèmes les uns des autres, et en font des environnements variés. D’après le rapport, les villes qui se distinguent le plus de la Silicon Valley ont les meilleures chances de succès, puisqu’elles seront en mesure de faire de leurs spécificités un avantage compétitif.
De fortes disparités les distinguent
Boston, Tel Aviv et Vancouver ressemblent fortement à la Silicon Valley. Toutes présentent, globalement, des indices de production, de financement et de talents élevés. Par opposition, Moscou, Sao Paulo et Sydney sont les écosystèmes les plus éloignés de la Silicon Valley, et ont tendance à avoir des indices de performance, de production et de financement relativement faibles. Toronto, Chicago et Paris sont des environnements qui offrent un soutien de qualité aux startups, qui présentent un fort indice de performance, et des indices de production et de talents moyens. En revanche, ce sont des écosystèmes relativement peu innovants ou disruptifs. Syndney, Melbourne et Los Angeles forment le top 3 des écosystèmes les plus disruptifs, tandis que Vancouver, Londres, Santiago et Sao Paulo ont le meilleur état d’esprit.
Source : L'atelier
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