vendredi 26 février 2010

Pays émergents : impact progressif du m-transfert sur le système financier

Les services de type M-Pesa ont des conséquences bénéfiques sur la vie de leurs utilisateurs. Mais qu'en est-il sur l'économie du pays ? L'influence sur l'épargne ou l'emprunt semble encourageante mais reste à démontrer.

Publié le 26 Février 2010
Monnaie mobile

Entretien avec William Jack, économiste au sein de l’université de Georgetown. Le chercheur poursuivra courant 2010 une étude entamée sur le système de transfert d'argent par mobile M-Pesa en collaboration avec un chercheur du MIT.

L’Atelier : Cela fait près de trois ans que les services de transfert mobile de type M-Pesa sont sur le marché. Où en est-on ?

William Jack : Lors d’une étude menée il y a un an et demi, il est ressorti que 40 % des Kenyans utilisaient M-Pesa, un chiffre qui a du encore augmenter depuis. Les besoins en transfert mobiles dans les pays émergents sont beaucoup plus importants que dans les pays développés.

Quel est leur impact économique ?

En Inde, les pêcheurs utilisent le mobile pour savoir dans quel port ils obtiendront le meilleur prix. Là, l’effet est important. En ce qui concerne le transfert d'argent, la question est de savoir si cela se verra dans les données brutes sur l’impact économique. Pour l’instant le transfert mobile a des conséquences importantes sur le quotidien de ses utilisateurs, mais son impact sur le système financier est encore faible. Le montant total des sommes envoyés via M-Pesa n'est par exemple pas encore conséquent par rapport aux flux bancaires. Elles dépassent rarement les 5 à 10 dollars. En revanche, il faut noter que ces services s’adressent à des personnes qui jusqu’alors étaient exclues du système financier. Mieux, les partenariats qui se créent avec les banques tendent à les réinsérer dans le système bancaire.

Quel changement cela apporte-t-il ?

Ce que l’on sait déjà, c’est que les personnes qui utilisent les services de transfert d'argent par mobile sont mieux à même de se protéger contre les aléas de la vie. On observe ainsi une fluctuation de leurs revenus moins importante, et ceci pour deux raisons. D’une part elles économisent plus facilement pour faire face aux temps difficiles. Jusqu’à présent le réflexe consistait à garder l’argent sous son matelas. D’autre part, elles ont accès à un réseau plus étendu de personnes qui peuvent les aider en cas de coup dur : au Kenya, les familles sont souvent dispersées.

Cela aura-t-il des conséquences pour l’économie des pays concernés ?

Si les gens se sentent plus en sécurité, on peut s’attendre à ce qu’ils soient plus prompts à prendre des risques. Ce pourrait être le point de départ d’un comportement plus entrepreneurial. Idéalement, l’emprunt serait un outil plus puissant que l’épargne pour sortir de la pauvreté. Mais dans la mesure où le marché du crédit est quasi inexistant, c’est mieux que rien. Et puis, les services de transfert mobile encouragent une sorte de marché informel du crédit. On peut facilement emprunter et rembourser un ami. Par ailleurs, M-Pesa permet de payer plus facilement pour des biens ou des services. Sur le long terme on peut penser que c’est de nature à favoriser le commerce et la consommation.

Source: L'Atelier

Veolia lance un plan pour coopérer avec les start-up des « clean tech »

Rester à la pointe de l'innovation. Une obsession pour la plupart des entreprises, quelle que soit leur taille ou leur secteur d'activité. Pour y parvenir, les recettes sont diverses mais une constante s'impose : il faut sortir de ses propres laboratoires. Veolia Environnement a choisi de le faire de façon originale. Jeudi, à l'occasion de la conférence Cleantech Forum de San Francisco, le groupe a annoncé un programme baptisé « Innovation Accelerator », censé devenir une prise directe sur l'innovation à l'oeuvre en Californie.

« Il ne fait aucun doute qu'il se passe quelque chose d'important dans les technologies vertes et, plus généralement, dans l'innovation liée au développement durable dans cette partie de l'Amérique », constate Philippe Martin, directeur de la recherche et de l'innovation de Veolia Environnement. Venu à San Francisco cette semaine pour procéder officiellement à ce lancement, il explique pourquoi ce groupe de 336.000 salariés, présent dans 72 pays, a choisi de s'appuyer sur un partenaire américain pour l'aider à détecter les meilleures « pépites technologiques de la planète » en matière de développement durable.

Spécialisé depuis 2002 dans la veille technologique sur les technologies vertes et la mise en relation entre innovateurs et entreprises utilisatrices, le Cleantech Group, présent aussi bien en Inde et en Chine qu'aux Etats-Unis, va aider Veolia à identifier ses futurs partenaires technologiques.

Validation des technologies

« Nous ne chercherons pas systématiquement à acquérir les start-up les plus intéressantes, ni même à entrer dans leur capital, mais, en revanche, nous validerons leurs technologies grâce à nos propres scientifiques et nous leur donnerons accès, en les intégrant à notre offre, à des marchés très importants », précise Philippe Martin. Une approche a priori gagnante pour les deux parties, qui semble avoir également séduit quelques grandes firmes de capital-risque de la Silicon Valley, qui vont également alimenter l'Innovation Accelerator.

« Au début, les investisseurs américains se montraient déçus que l'on ne souhaite pas prioritairement racheter leurs entreprises, ce qui leur aurait permis de valoriser leurs investissements initiaux. Mais ils ont vite compris que Veolia pouvait permettre à ces start-up d'accéder à des marchés considérables, augmentant ainsi leur valeur », souligne Michel Morvan, directeur scientifique de Veolia, qui vient de faire la tournée des principaux investisseurs en « clean tech » de la Silicon Valley, comme Kleiner Perkins ou Koshla Ventures.

A priori, toutes les technologies vertes liées aux métiers principaux de Veolia (traitement de l'eau, gestion des déchets, énergies et transports) sont concernées par cette initiative, dont le mode opératoire est déjà bien défini : une semaine d'analyse interne pour savoir si telle start-up appartient bien aux marchés de Veolia, quatre autres pour valider la technologie elle-même et enfin pas plus de trois mois pour décider si celle-ci entre dans l'accélérateur du groupe ou non. « Il faut aller vite et penser globalement », résume Philippe Martin, qui va également lancer un programme de candidatures spontanées à toutes les start-up « clean tech » de la planète pour qu'elles proposent leurs technologies au groupe français. Avis aux amateurs.

Source : Les Echos, 26/02/10

Samsung lance son offensive dans les écrans 3D

Le coréen débute la commercialisation d'une gamme d'écrans 3D dans son pays. Le lancement mondial est prévu en mars 2010.
La rédaction (avec reuters)01netle 25/02/2010 à 17h53

Les grandes manœuvres ont commencé pour Samsung. Le coréen lance cette semaine la commercialisation à grande échelle de téléviseurs 3D en Corée du Sud. Le lancement mondial est prévu au mois de mars. Samsung s'est fixé comme objectif d'en vendre deux millions d'unités cette année.

Les trois séries de téléviseurs 3D utilisent la technologie LCD rétro-éclairée par LED (diode électroluminescente). Ils font moins de trois centimètres d'épaisseur et sont des versions haut de gamme des téléviseurs Samsung LCD LED équipés d'une fonction 3D que l'on peut activer ou non.

Les modèles dotés d'un écran LCD LED haute définition de 46 pouces et de 55 pouces sont vendus respectivement 4,2 et 5,8 millions de wons (soit 2 700 et 3 728 euros), sans compter les lunettes. Le téléviseur LCD de 46 pouces qui n'utilise pas le rétroéclairage LED coûte 1,5 million de wons (964 euros).

L'industrie des téléviseurs, qui cherche le prochain produit phare du secteur, a fait le pari de la 3D, mais bute jusqu'à présent sur le manque de contenus disponibles, des prix élevés et l'utilisation indispensable de lunettes spécifiques pour voir le relief.

Les prévisions des cabinets d'études pour le marché mondial de la 3D varient entre 1 et 6,5 millions de téléviseurs en 2010. Par comparaison, le marché total des téléviseurs devrait atteindre 200 millions d'unités cette année, selon DisplaySearch.

Samsung a déclaré avoir conclu un accord exclusif sur les contenus en 3D avec Dreamworks Animation SKG et dit être en discussion avec d'autres studios, diffuseurs et développeurs de jeux.

Les téléviseurs 3D, un marché encore embryonnaire, devraient devenir le nouveau champ de bataille des principaux fabricants. LG, qui prévoit de présenter une gamme complète de téléviseurs 3D au second semestre 2010, a annoncé que son objectif était de vendre 400 000 téléviseurs 3D en 2010 et 3,4 millions en 2011.

SOURCE : 01Net

L'efficacité énergétique d'un bâtiment se calcule en quelques minutes

Le MIT a mis au point une application qui évalue l'impact énergétique d'une construction avant qu'elle ne soit réalisée. Il suffit de combiner plusieurs critères pour obtenir une estimation rapide.

Pour permettre aux questions de luminosité, de chauffage et d’isolation d’être prises au plus tôt dans le processus de conception d'un bâtiment, Leon Glicksman, professeur des technologies de construction et d’ingénierie mécanique au sein du MIT, a développé une application web open source baptisée Design Advisor. L’objectif est d’évaluer en amont l’impact énergétique d'une construction en seulement quelques minutes et en jouant sur différents facteurs. En allant sur le site, il est possible de combiner de nombreux paramètres, comme la taille des pièces, leur orientation, le type de fenêtre et de ventilation ou de toit utilisés, l’humidité, etc.


Déterminer les paramètres ayant le plus d’impact

L'utilisateur peut bâtir plusieurs scénarios en effectuant des changements en fonction des options envisagées. A la fin, on obtient un bilan comparatif relativement complet de l’efficacité énergétique du bâtiment pour chaque option. Celui-ci comprend une évaluation de son cycle de vie, une autre de la température et de la luminosité à l’intérieur d’une pièce type en fonction de l’heure de la journée et de la saison, etc. Résultat, il est possible d’estimer rapidement quels facteurs auront l’impact le plus important et de prendre les décisions en conséquence.


Un public beaucoup plus large

Le chercheur explique que les cabinets d’architecture utilisent des logiciels plus complets pour analyser en détail l’impact de leurs bâtiments. Seulement, ils demandent une formation et des connaissances techniques beaucoup plus importantes. L’objectif n’était pas de les remplacer, mais de permettre une utilisation de ce genre d’outils par un public beaucoup plus large. Par exemple pour permettre à un individu d’effectuer des travaux chez lui en évaluant par avance l’impact qu’une nouvelle pièce ou un changement de ventilation aura sur l’efficacité énergétique de son domicile. Par ailleurs, une fonction du logiciel est prévue pour suggérer des changements de nature à rendre un bâtiment plus éco-responsable.

SOURCE : L'Atelier

jeudi 25 février 2010

Energy storage - It's not all about batteries

Cheap, utility scale energy storage is viewed as the holy grail for the cleantech sector, providing a balancing force to the intermittency of many renewable energies. Some say we are nearly there and that utility scale energy storage will be having its coming out party this year.

While the current focus is on battery technologies, it is expensive to size it up to utility scale. What other energy storage mechanisms are in the pipeline?

Compressed air
Compressed air works by using renewable power to pump air into underground caverns or aquifers, then releasing it to augment a natural gas-fired turbine when power demand peaks. The technology is gaining traction.

Yesterday, Newton, Mass.-based General Compression announced the close of a $17 million Series A round led by US Renewables Group and included Duke Energy. The company has come up with a novel, effective way to use compressed air for energy storage without burning natural gas and plans to begin construction on its first commercial project in the fall of 2011.

The advantages of this type of energy storage are stark. Because the caverns are generally large, hundreds of hours of output can be stored, providing the ability to cover very long periods without sun or wind. The storage method is also economical because the caverns are already there. Estimated costs range from $750/kW of generating capacity up to about $1,200/kW.

Compressed nitrogen
The technology works by using specially designed hydraulic wind turbines to compress nitrogen into the existing gas or oil pipeline infrastructure. When electricity needs to be generated anywhere along the pipeline, the nitrogen gas is released and expands to turn a turbine that generates electricity.

Edmonton-based Lancaster Wind Systems is pioneering development in this area. Lancaster has a working one-megawatt wind turbine producing hydraulic power, and plans to open a pilot project this summer in which 42 minutes of energy will be stored in a short pipeline section. Silicon Valley venture capitalist Vinod Khosla has been talking with Lancaster Wind, but the extent of his involvement is unclear.

Wind bags
Earlier this month, the BBC reported a professor from University of Nottingham is developing wind bags, which would store excess energy from wind turbines as compressed air under the sea. The idea is to hold air in bags the size of 10 double-decker buses, compressed by the sea. The idea has been backed by E.On, which has invested £236,000 ($363,600) toward building two prototypes being tested in tanks. When energy demand is highest, the air would be released through a turbine, converting it to electricity.

Underground heat storage
In January, it was reported that UK-based Energy Technologies Institute (ETI) is embarking on a project this year that will try to store excess energy underground in the form of heat. The ETI plans to investigate how geological formations on the UK's eastern coast could be used to store large quantities of heat generated by power stations lying in close geographical proximity to those formations. At the same time, it intends to look at localized energy storage in "gravel beds" as a way to store heat on a smaller scale. The heat would be stored and pumped to homes and businesses using water, in much the same way as a central heating system operates.

Flywheels
Flywheels are large discs that spin in a vacuum and can be used as backup power for emergency power systems that turn on after a power outage before a generator kicks in.

In December, Massachusetts-based Beacon Power raised $20 million in equity investment and has also received a $43 million conditional loan guarantee commitment from the U.S. Department of Energy (DOE) as well as a $24 million DOE smart grid stimulus grant (see Next round of DOE loan guarantee companies look to follow Solyndra)

Beacon is now planning to construct its first full-scale 20 MW flywheel energy storage plant at its site in New York. A portion of this first plant is expected to begin earning revenue by providing frequency regulation, an essential grid-balancing service, on the New York state electricity grid in the fourth quarter of this year.

Pumped hydro
Pumped hydro-electric storage works by using electricity to pump water to a high level and then letting the water fall through hydroelectric turbines to generate power when needed. Pumped hydro storage is the largest utility energy storage method in the world, with more than 20 GW already in use in the U.S. However, its use has slowed because of limited sites for hydroelectric power dams.

Companies such as New York-based Riverbank Power are trying to get around this problem. Instead of pumping water high up, the company wants to mine underground to create a large cavern 2,000 feet deep, under a body of water such as a river or abandoned quarry. The idea is to then install hyrdroelectric turbines at the bottom of shafts that would pump water to ground level when there's excess power and let water fall underground when power is needed.

Because Riverbank Power has to dig out its own cavern, construction costs are quite high and the plants are designed to run for six continuous hours before the water would need to be pumped back up, making the technology unsuitable to cope with long stretches with no wind or sun.

Only time will tell which technologies will win in the end. Any thoughts? Weigh in below.

Source : The Cleantech Group, 24/02/10

Top 10 business ideas for 2010

1. Small-scale food production using membership models

The past year or two saw a huge increase in innovative, upscale mobile food purveyors working from trucks and selling everything from premium ice-cream to Korean BBQ tacos. Requiring an even lower investment, the next wave could be small-scale culinary subscription services, which allow fledgling entrepreneurs to get a foothold in the food business, and create a steady income and a loyal client base for future business activities.
Milk Made »Dulcinea »

2. Low impact advertising

Realising that green concerns are here to stay, British media agency Curb offers nothing but low-impact advertising. Its first service used rainwater to clean logos into grubby pavements, and was quickly followed by other techniques that use sand, sea water, grass, glow-in-the-dark funghi and more to broadcast their clients' messages in an earth-friendly manner.
Curb »

3. Health tracking devices

From wireless headbands that track sleep patterns to wearable gadgets that track every move, an increasing number of options is available for people who want to track their own health-related behaviour. Recording and relaying detailed information that was previously only available through medical monitoring, most of these devices aren't yet available worldwide, which creates a host of opportunities for distributors and localized versions.
Zeo »Fitbit »DirectLife »TheCarrot.com »Bedpost »

4. Sample stores, cafes & vending machines

Sophisticated sampling—dubbed tryvertising by trendwatching.com—isn't new. On the rise, however, are dedicated spaces that facilitate sampling by a variety of brands, attracting consumers through the irresistible offer of free goods. Following sampling stores in Spain, sampling cafes in Tokyo and sample vending machines in Belgium, we suspect this concept will spread even further in 2010.
Esloúltimo »L CAFE »Boobox »

5. Discreet rooftop solar panels and wind turbines

While most homeowners would in theory like to generate their own wind or solar power, many are put off not just by cost, but by the aesthetic impact of wind turbines and solar panels. Aiming to resolve that problem are smart engineers who are creating new options that blend in with their environment. Two promising examples: rooftop wind turbines that almost disappear along the apex of a sloping roof, and solar panels shaped like traditional clay roof tiles. Plenty of opportunities here over the next decade, both in distribution and in the development of similar products.
Solé Power Tile »Ridgeblade »

6. Rotating retail at airports and in malls

Pop-up, temporary retail is still going strong, but a new alternative has entered the game: rotating retail. Two spottings: opening soon in Glasgow Airport is Planeshop, a permanent store that brands will take over for a limited time, including changing the shop's exterior graphics to match their identity. And in the Netherlands, BrandNew Stores aims to turn those fleeting pop-up shops into a chain concept, creating fixed spaces where brands can temporarily present themselves in a regular retail environment.
Planeshop »BrandNew Stores »

7. Remote farming for consumers

According to Wikipedia, farm simulation game FarmVille has become the most popular game application on Facebook with 73.8 million active users in January 2010. Offering consumers a way to remotely control a patch of land that will actually provide them with an edible harvest is a new Italian start-up: Le Verdure Del Mio Orto, which lets anyone build an organic garden right from their web browser. As the produce grows, it's picked and delivered to the customer's door within 24 hours. Weekly deliveries are part of the package.
Le Verdure Del Mio Orto »

8. Connecting creative consumers with local fabricators

A partnership between New Zealand-based Ponoko and North Carolina-based ShopBot Tools, 100kGarages is a community of workshops distributed around the world that are equipped with the digital fabrication tools needed to precisely cut, machine, drill or sculpt the components of virtually any creative project. The network allows designers or consumers turn their ideas into physical products, and creates new business for small workshops.
100kGarages »

9. Paying consumers to promote products they use and love

As our sister-site trendwatching.com pointed out in its sellsumers briefing, selling is the new saving: a recession-induced need for cash plus an ever-growing infrastructure are fueling concepts that help ordinary consumers make money instead of spending it. One of the easiest ways to do so is by taking on the role of marketeer for products they already use and love: from promoting concerts by their favourite bands, to helping small companies launch new products.
Hollrr »People's Music Store »Posse »Looklet »

10. Single-use toilet bag turns human waste into fertilizer

While this is a numbered list, we love all of these ideas equally. So, last but not least, a potential solution to a problem that 2.6 billion people have to deal with: no access to a toilet. Designed for use sitting, squatting or standing, the single-use, biodegradable plastic Peepoo bag is lined with a urea-coated gauze layer that disinfects all waste. Used bags are odour-free for at least 24 hours and are safe for burial underground. Within two to four weeks after use, their contents are converted to high-quality fertiliser—something that's also rare in many areas and could become a source of income and further enrichment for individuals or villages.
Peepoo bag »
Source : Springwise, 5/01/10

Ngmoco raises $25M for iPhone games, acquires Freeverse

Making a bigger push into games on the iPhone, Ngmoco has raised $25 million in a third round of venture capital and also acquired iPhone game developer Freeverse.

The round was led by Institutional Venture Partners and included existing shareholders Kleiner Perkins, Norwest Venture Partners, and Maples Investments. To date, Ngmoco, founded in mid-2008, has raised $40.6 million.

That may seem like an astounding amount of money to raise in the mobile game business, where it costs just hundreds of thousands of dollars to create games. But Ngmoco has been acquisitive and it has big things on its agenda. For instance, Ngmoco is more than likely to create games that run on Apple’s new iPad tablet computer, in addition to making games for the iPhone. Chief executive Neil Young said in a phone call that his company and Freeverse are likely to have a total of six games ready for the launch of the iPad.

“I think Apple has found a way to do a home game console without doing a home game console,” Young said, referring to how the iPad can be played on a couch in a home.

The company’s hits so far include TouchPets and Eliminate. Freeverse, meanwhile, has created games such as Skee-Ball, Flick Fishing and Moto Chaser. Young said that the company is working on about 20 new games this year and that Freeverse is likely to do just as many.

Late last year, Ngmoco shifted its business model from selling paid iPhone apps to providing them free of charge for game trials. If users wanted to continue playing them, they could pay. With Eliminate, a multiplayer shooting game, players could pay if they wanted to continue playing over time, much like the old arcade model where you paid 25 cents for a game session. That model is working out well, Young said.

But he acknowledged that the iPhone platform is still in its infancy when it comes to monetization. Social platforms such as Facebook are 18 months to two years ahead of the iPhone in terms of maturity. That means that iPhone game companies still have to raise capital to get their games noticed.

But Young said the mobile web is maturing quickly and that his company raised the latest round to put itself in the position of amassing scale. He said the company will use the money to get ahead of the pack of competitors as much as it can.

Young said the company recently acquired the paid app Charadium, which is like an iPhone version of the board game Pictionary. Ngmoco also operates the Plus+ platform, which is a cross promotion and social achievements platform that other developers can use to boost sales of their games. To date, more than 20 million units of games have been sold with the Plus+ platform, Young said.

Source : Venturebeat, 22/02/10

Serious Game médical : NeuroTouch

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/62243.htm

Des chercheurs du Conseil National de Recherches Canada (CNRC) viennent de mettre au point un nouveau simulateur destiné aux chirurgiens. Cette nouvelle technologie, nommée NeuroTouch, permettra aux jeunes médecins de s'exercer mais aussi aux chirurgiens aguerris de s'entraîner avant une opération délicate.

Le système comporte un matériel d'haptique d'une grande résolution et un logiciel puissant, qui permettent de toucher et de déplacer les tissus virtuels, mais aussi de simuler leur résistance. Mais surtout l'opération simulée peut être adaptée à la pathologie du patient. Le simulateur permettra aux chirurgiens d'effectuer l'opération dans des conditions quasiment réelles, de choisir la meilleure procédure et d'anticiper les éventuelles complications.

Le Dr. David Clarke a pu ainsi s'entraîner avant l'ablation d'une tumeur cérébrale. Dans un premier temps, des images obtenues par IRM du cerveau du malade ont été intégrées dans le système. Ceci a permis au chirurgien de s'exercer avec le simulateur sur une image en relief du cerveau de sa patiente. L'ablation de la tumeur a pu être ensuite effectuée sans séquelle pour la patiente.

Source: BE Canada numéro 363 (11/02/2010) - Ambassade de France au Canada / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /62243.htm

AdMob: iPhone users buy more apps than Android counterparts

Half of iPhone users purchased at least one paid application a month compared to 21 percent of Android users, according to a survey released Thursday.

San Mateo-based mobile advertising company AdMob Inc. also reported in its survey that consumers of webOS devices downloaded fewer paid and free applications.

Highlights from the survey and the January 2010 AdMob Mobile Metrics Report include:

  • 91 percent of iPhone users and 88 percent of iPod touch users would recommend their device, compared to 84 percent of Android users and 69 percent of webOS users.
  • iPod touch owners download an average of 12 applications a month, 37 percent more than iPhone and Android users who download approximately nine new apps. webOS users downloaded an average of six applications per month.
  • iPod touch users spent an average of 100 minutes per day using applications. webOS users spent an average of 87 minutes per day, followed by Android users at 80 minutes and iPhone users at 79 minutes per day.
  • 73 percent of Android users are male, compared to only 56 percent of iPhone OS users. The average iPhone user is 14 years older than the average iPod touch user of which 78 percent are below the age of 24.
  • iPhone represented 47 percent of US smartphone usage in AdMob’s network in January 2010, followed by Android, RIM and webOS devices at 39, seven, and three percent, respectively.

AdMob stores and analyzes handset and operator data from every ad request in its network of more than 15,000 mobile Web sites and Cupertino-based Apple's (NASDAQ:AAPL) iPhone, Mountain View-based Google Inc.'s (NASDAQ:GOOG) Android, and webOS applications.

Source : San Jose Business Journal, 25/02/10

ChaCha Gets Into The Local Business Listings Game

Mobile question and answer startup ChaCha is on a roll, possibly achieving profitability, raising boatloads of money, and even venturing into social media with a Facebook app. Today, ChaCha is getting into the business listings game with local business search company Localeze. Localeze will provide ChaCha’s website with in-depth information about more than 15 million businesses across the country.

ChaCha.com visitors can access the local business listings in a search bar and through a direct listings page. In both cases, they will be served a full content page that includes Google maps, directions, phone, and other contact information. And of course, any questions and answers related to the business can be found on the content pages. Business listings can also be viewed by category and or state and city. Eventually, ChaCha’s listings will be integrated with its chachacoupons.com site.

The local business listings feature makes sense, as ChaCha realizes the importance of local content for both its mobile application and website. Localeze also helps power local business listings for Microsoft Bing’s Bing Local and Bing 411. ChaCha also recently rolled out its API, allowing developers to tap into the startup’s database with of questions and answers. ChaCha’s recently launched Facebook App allows individuals pose a question to any friends within their social network and ChaCha.com. ChaCha returns an answer from its database of hundreds of millions of answers. Users can also select “add to profile” to get a permanent “Ask ChaCha” prompt on their profile pages.

Launched in 2007, ChaCha started as a human powered search engine – meaning a human found you answers when you typed in a query. ChaCha encountered the high cost of hiring humans to basically do Google searches and return results to people but then evolved into a mobile version of the service that lets users ask questions via SMS. The site also archives questions and answers on their website, with 500 million of them currently listed on the ChaCha site. ChaCha is answering one million questions a day via SMS, passing Google as the no. 1 SMS search service according to Nielsen Mobile.

Source: TechCrunch

mercredi 24 février 2010

IBM s'associe à Johnson Controls pour rendre les bâtiments plus écologiques

Les deux groupes vont lancer une offre commune - Smart Building Solution – qui devrait permettre de réduire la consommation d'électricité et d'eau des immeubles d'entreprises.
Les bâtiments seront-ils plus « intelligents » et « écologiques » demain qu'ils ne le sont aujourd'hui ? Il y a longtemps que les éditeurs de logiciels de CAO - tels Autodesk, Dassault Systèmes ou PTC - en sont convaincus, et intègrent des outils de mesure de l'impact environnemental à leurs offres de modélisation et de conception des bâtiments. Plus récemment, les mastodontes de l'informatique leur ont emboîté le pas, en multipliant quant à eux les offres censées connecter et optimiser la consommation de tous les actifs matériels des entreprises : des centres d'hébergement aux chauffages, en passant par les robinets et les systèmes de fermeture des portes...

La mode est au « smart »... Cisco parle de « Smart Connected Buildings », et prône, comme la plupart de ses concurrents, l'usage du protocole IP pour raccorder aux systèmes d'information les nouveaux objets « intelligents » et les gérer ainsi avec plus d'efficacité. IBM mise de son côté sur la construction de « bâtiments plus intelligents », dont les différents éléments pourront être pilotés via un « centre de commandes » de sa conception. Et il vient de s'allier avec l'équipementier industriel américain Johnson Controls (133 000 salariés) pour s'imposer sur ce marché (dont il espère qu'il devrait doubler de taille d'ici 2015 pour peser 6 milliards de dollars).

SMART BUILDING SOLUTION

Ensemble, les deux groupes vont proposer aux entreprises une nouvelle offre dénommée « Smart Buliding Solution ». Johnson Controls, qui a réalisé 44% de ses ventes en 2009 avec sa branche « building efficiency », apportera à ce portefeuille conjoint ses systèmes Metasys de gestion technique des bâtiments et de l'énergie, ainsi qu'un middleware (intergiciel) permettant de fédérer et d'unifier les données provenant des différents équipements (il s'agit de la solution EnNet, issue du rachat de Gridlogix en 2008).

IBM fournira pour sa part un système de supervision (Tivoli Monitoring for Energy Management), une console d'administration (Business Services Manager) et une solution de gestion des actifs (IBM Maximo Asset Management for Energy Optimization).

L'originalité : Smart Building Solution devrait offrir aux entreprises un système unifié pour l'optimisation énergétique des bâtiments et des infrastructures informatiques. Le pari est ambitieux, d'autant qu'IBM et Johnson Controls ont à rivaliser sur ce créneau avec d'autres géants qui développent des offres assez proches, tels Schneider Electric (Intelligent Buildings) et Siemens (Siemens Building Technologies).


SOURCE : Usine Nouvelle, par Christophe Dutheil

72% des entreprises prévoient de migrer tout ou partie de leur SI vers le cloud computing public

Rares sont les entreprises qui affirment vouloir basculer l'intégralité de leur système d'information vers des plates-formes de cloud computing. La plupart évoque moins de 50% de leurs actifs informatiques.Publié le 22/02/2010

Pourcentage d'actifs informatiques migrés vers des services de cloud computing public d'ici 12 mois

Pourcentage d'actifs informatiques migrés vers des services de cloud computing public d'ici 12 mois
100% des actifs2,7%
76 à 99%2,1%
51 à 75%11,7%
26 à 50%22,3%
1 à 25%33,5%
0%27,7%
Source : Evans Data


Les trois quart des entreprises interrogées dans le cadre du dernier baromètre Evans Data sur le cloud computing prévoient de basculer au moins une partie de leurs ressources informatiques (applications, bases de données, stockage...) vers des plates-formes de services d'hébergement public dans les 12 prochains mois. 17% des sondés affirment vouloir migrer plus de la moitié de leur système d'information dans cet environnement d'ici un an.

SOURCE : JDN

PleaseRobme : le service d'aide aux cambrioleurs

Pourquoi faire le guet dans des quartiers résidentiels à la recherche d'un départ en vacances imminent alors qu'il suffit d'une veille efficace sur les réseaux sociaux pour préparer son prochain cambriolage ? C'est de ce constat, à la morale discutable, qu'est née l'idée du site Pleaserobme.com (s'il vous plait, cambriolez-moi), qui scrute les réseaux sociaux à la recherche de messages dans lesquels les internautes indiquent leur position géographique, afin de déterminer s'ils sont ou non à leur domicile.

Pleaserobme tire tout particulièrement parti des interactions entre Twitter et le service américain Foursquare, qui permet à l'utilisateur de poster automatiquement un message indiquant sa localisation sur les réseaux de son choix. Foursquare permet d'afficher une adresse compréhensible (numéro et nom de rue) plutôt que d'obscures coordonnées GPS.

please rob me

Pour identifier une cible, il suffirait de détecter un message indiquant que l'utilisateur est chez lui, afin de récupérer son adresse, puis d'attendre qu'il signale un déplacement à l'extérieur. Les concepteurs de Pleaserobme.com se défendent toutefois de vouloir faciliter la vie des voleurs.

« Le site n'est pas un outil pour cambrioleur. Ce que nous essayons de montrer, c'est que s'il n'y pas si longtemps, on pouvait se poser la question de savoir s'il fallait dévoiler son vrai nom sur Internet, cette étape a été très largement dépassée », expliquent les concepteurs du service, interrogés par la BBC.

« Le danger consiste à dire publiquement où vous vous trouvez. Ainsi, vous indiquez que s'il y a un endroit ou vous n'êtes définitivement pas... c'est votre domicile », résume l'une des pages d'aide du site.

please rob me

Source: NetEco

Accueil - Techno & Solutions Juridique | Open source Amazon et Microsoft partageront leurs brevets

Microsoft et Amazon ont annoncé lundi soir la signature d'un accord selon les termes duquel chacune de deux sociétés pourra accéder au catalogue des brevets détenus par l'autre. Les modalités financières de ce partenariat n'ont pas été précisées, mais Microsoft précise qu'Amazon lui versera une somme d'argent non communiquée en contrepartie de cet accord.

Les brevets et technologies couverts n'ont pas non plus été spécifiés. Dans un communiqué, Microsoft précise toutefois que l'accord couvre certains pans logiciels du Kindle, la liseuse électronique d'Amazon, qui fait appel à du logiciel libre adossé à du code propriétaire, ainsi que l'utilisation qui est faite par Amazon de Linux dans ses serveurs.

« Le catalogue de brevets de Microsoft est le plus important de toute l'industrie du logiciel et cet accord montre tout autant notre respect mutuel pour la propriété intellectuelle que notre capacité à trouver des solutions pragmatiques aux problèmes qu'elle pose, que du logiciel propriétaire ou open source soit impliqué », se félicite dans un communiqué Horacio Gutierrez, vice président et responsable juridique en charge des questions de PI chez Microsoft.

Les accords de ce type sont légion dans l'industrie du logiciel. Dans ce même communiqué, Microsoft rappelle d'ailleurs qu'il en a déjà signé plus de 600 avec des grands acteurs de l'univers informatique.

L'allusion directe aux logiciels libres ne manque toutefois pas de soulever quelques questions au sein de la communauté concernée. L'éditeur de Redmond a en effet affirmé à de nombreuses reprises que Linux enfreignait certains pans de sa propriété intellectuelle et a déjà conduit des actions en justice allant dans ce sens, à l'encontre du néerlandais TomTom notamment.

Jim Zemlin, directeur exécutif de la Linux Foundation, semble pour sa part estimer que s'il y a provocation, celle-ci est gratuite. « Évitons de leur prêter des intentions ou d'essayer d'y voir un quelconque aboutissant. Il n'y a rien à voir ici. Nous avons du vrai code à écrire », commente-t-il sur son blog.

Source: NetEco

mardi 23 février 2010

Intel, VC to invest 3,5 billion dollars in America rech

Intel Capital and other venture capital firms will invest US$3.5 billion in U.S. technology firms over the next two years, and Intel and 16 other large U.S. companies will step up their hiring of U.S. college graduates, especially those in computer science and engineering, Intel President and CEO Paul Otellini announced Tuesday.

Intel, Google, Microsoft, eBay, Cisco Systems and other companies will hire 10,500 additional graduates from U.S. colleges in 2010, with many companies doubling their hiring from 2009, Otellini said in a speech at the Brookings Institution in Washington, D.C.

"Collectively, this is a bet on America's next generation of innovators," Otellini said. "We cannot afford to let our future scientists and engineers sit idle after graduation."

In some cases, the college graduates might not be U.S. citizens, but residents of other countries who attended college in the U.S., Otellini said. During his speech, he complained about current limits on the number of foreign workers U.S. tech companies can hire. "Our immigration policy seems deliberately designed to prevent us from attracting the best minds in the world," he said.

The venture capital and student hiring commitments are part of a new Invest in America Alliance spearheaded by Intel. The venture capital effort will focus on clean technology, information technology and biotechnology, and in addition to Intel Capital, Intel's investment group, the 23 other venture capital groups participating include Menlo Ventures, Kleiner Perkins Caufield & Byers and Canaan Partners. Intel Capital will invest $200 million in the venture capital effort.

Asked if the $3.5 billion in venture capital investments was on top of money venture capital firms would have already invested, Otellini said he wasn't sure about other venture capital. The $200 billion from Intel Capital is money it hadn't planned on investing, he said.

The new announcements come a year after Intel announced it would invest $7 billion in U.S. microprocessor manufacturing facilities. Intel is on track to spend that money as planned, with two factories in Oregon producing chips, and two more in Arizona and New Mexico scheduled to start production later this year, Otellini said.

Otellini spent much of his speech talking about areas where he sees that U.S. efforts to support innovation need to improve. Several countries now offer a more generous research and development tax credit than the U.S. government, he said, and U.S. corporate taxes are the second highest in the world.

Asked to rate Congress, Otellini graded its performance as "pretty poor."

"It's been a series of endless compromises and debate at a time when action is needed," he said.

While a huge economic stimulus package that passed Congress in early 2009 may have prevented economic disaster, much of the money won't go out until 2011 or 2012, he added.

Countries including China and India are pumping huge money into tech investments, and India has launched an aggressive broadband plan, Otellini warned. "The countries of Europe, Asia, Latin America, and before long, the Middle East are going to be competing with us in every sphere of the economy in years ahead," he said. "If we want to stay with them, and remain a vibrant growing economy, we have to recommit to a strategy that drives the economic growth of the future."
Source: Topix: 23/02/10

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Intel: investing in America and greentech

Intel and a who’s-who list of VC heavyweights are putting together a little stimulus package of their own — and green technology is high on their wish list. Intel CEO Paul Otellini announced Tuesday that Intel Capital has put together a new $200 million investment fund that is aimed at “key innovation and growth segments such as clean technology, information technology and biotechnology,” and has roped in 24 VC firms — including Kleiner Perkins Caufield & Byers, Menlo Ventures, Mohr Davidow Ventures, New Enterprise Associates, Draper Fisher Jurvetson, Khosla Ventures and North Bridge Venture Partners —to invest a total of $3.5 billion over the next two years.

Just how much of that money may be headed towards clean technology, Intel didn’t specify. Intel Capital has invested about $125 million in more than a dozen green startups to date, out of an estimated $6.2 billion invested it has invested in more than a thousand companies over the past two decades. But given that greentech outpaced IT and biotech to claim top spot for venture investment in the third quarter of 2009 — bringing the sector’s 2009 VC haul to some $4.85 billion — it seems likely that Intel and the other partners in this so-called “Invest in America Alliance” will be looking hard at green companies to help them gain returns on their investments.

A sampling of Intel’s green investments to date span the gamut from solar manufacturers and smart grid software and networking startups to companies making more efficient semiconductors and computing products. In January it participated in a $31 million round of funding for thin-film rechargeable battery maker Cymbet. In July it said it had invested $10 million in five startups — demand response aggregator CPower, WiMax-based smart grid networking software vendor Grid Net, home monitoring and energy management provider iControl, Irish electronics manufacturing efficiency specialist Powervation and “hybrid-core computing” developer Convey Computer.

The latter two investments highlight Intel’s ongoing interest in making computing more efficient, whether it be through advanced software or power-efficient semiconductor manufacturing — a task that shares technology with the making of solar cells. Intel led a $50 million round for its own solar spinout, SpectraWatt, in June 2008, and in July 2008 put $12.5 million into Voltaix, which makes chemicals and gases for the chip and solar cell fabrication industry, as well as €24 million (or $37.5 million) into German thin-film solar module maker Sulfurcell.

While Tuesday’s announcement was aimed squarely at the patriotic call of boosting domestic jobs and technology competitiveness, Intel hasn’t limited its greentech investments to America — the company has spread its wealth among green startups over four continents. In October 2008, it announced a $20 million investment into two Chinese companies — thin-film solar module maker Trony Solar and electricity storage maker NP Holdings Ltd. It has also invested in Taiwanese efficient display lighting maker Applied Green Light and Dubai-based home automation maker Pulse Technologies.
Source:


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Google Can Sell Power Like a Utility

The Federal Regulatory Energy Commission has granted Google Energy, a wholly owned subsidiary of the search giant, the right to behave like a utility.

The order grants Google Energy the power to sell energy, capacity and services at market rates.

Why does Google want to do this? Right now, the company rakes in billions of dollars from ads and it doesn't have to have extensive support desks and remote repair teams -- i.e., the kind of people power providers must have on staff -- in order to do it. Selling power is a much more hands-on business.

Google has said it wants to go carbon neutral. With the FERC order, it can now effectively erect as many solar panels and install as many fuel cells as it likes without worrying about having purchased too much capacity; the company can now sell off the extra power it generates.

But more importantly, Google can now exploit its massive data centers to provide services for controlling power consumption in commercial buildings, industrial sites, and homes. It is largely a task that should be handed off to large computer rooms.

Providing these services will allow Google to better leverage its hardware resources. Search will get cheaper because the hardware budget can be amortized over more services. Both Web 2.0 companies and energy services companies will complain about being undercut by the big G. Consumers will also have to get used to Google having even more information about their daily habits.

But can Google charge for energy management services? That could be a challenge. The average person might rightly balk at suddenly being asked to write a monthly check to one of the biggest companies in the world, particularly if other companies offer the same services.

This is where the power part comes in. Consumers will pay for power. If Google combines its services -- for free -- with competitively priced electricity, consumers will likely lose that reticence. It will be a better combination than what their utility can provide.

Conversely, Google could charge for these services the same way energy services companies like Siemens do: if Google saves you $200 on your utility bill, you pay the company half. You pay, but you still save. It's a theory, but clearly the company and its founders are obsessed with alternative energy.

Source : Greentech Media, 19/02/10

SFR lance un jeu-concours basé sur la réalité augmentée

A l'occasion des Winter X Games - un événement sportif dédié au snowboard et au ski freestyle qui se déroule pour la première fois en France (à Tignes du 10 au 12 mars) SFR lance un jeu-concours baptisé "Finger Snow" sur un site dédié, Fingersnow.fr. Objectif : faire la promotion de ses forfaits bloqués Séries MTV. Du 18 février au 19 mars, après avoir rempli un formulaire, le site propose aux internautes de défier leurs amis sur une épreuve virtuelle de snowboard grâce à la réalité augmentée : ils animent un snowboard en bougeant leurs doigts sur un dépliant qu'ils peuvent télécharger et imprimer.

Source: JDNet

Apple exclut 5 000 applications de son App Store

L'entreprise américaine vient d'exclure plus de 5 000 applications de son App Store. Elle chercherait à faire le ménage dans sa logithèque avant la sortie de l'iPad.

Apple vient de supprimer pas moins de 5 000 applications iPhone et iPod Touch de son App Store. Ces programmes, pourtant déjà validés par le géant américain, ont été exclus de l'App Store, suite à la mise en place d'une politique stricte par le groupe. La plupart de ces applications sont à caractère sexuel.

Dorénavant, les règles de sélection interdisent les femmes et les hommes en maillot de bain, les silhouettes suggestives, les connotations sexuelles même si aucune nudité n'est affichée. Par exemple, des mannequins en bikini ne peuvent pas prétendre à figurer dans une application disponible pour l'iPhone ou l'iTouch. D'ailleurs, chaque application peut être signalée par un utilisateur, afin que les informations sur son contenu remontent directement à la société au cas où des images choquent ou dérangent les utilisateurs.

Cette nouvelle politique menée par le géant américain intervient peu avant la sortie prévue en mars de l'iPad, sa tablette Internet électronique qui s'adresse en priorité au grand public. Le cœur de la cible étant les écoles, les jeunes et les familles, Apple cherche en effet à s'épargner tout scandale en retirant préventivement de sa plate-forme de téléchargement les applications qui pourraient gêner.

Cependant, l'interrogation des développeurs augmente, notamment sur les critères de validation des applications. Car parmi les 5 000 applications supprimées, toutes ne concernent pas le critère sexuel. A ce sujet, on se souvient de l'affaire Google Voice (lire l'article Apple ne veut pas de Google Voice sur son iPhone, du 29/07/2009) qui faisait remarquer qu'Apple n'accepte pas les applications VoIP lorsqu'elles dupliquent les fonctions clés de l'iPhone.

Source: JDNet

Renault lauréat toutes catégories des IntraVerse Awards 2010 à Monaco

1er Prix pour le Serious Game de la Renault Academy

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L'économie 3D bat son plein avec B-R-Ent et ses partenaires qui sont heureux de vous annoncer les résultats de cette 4e édition des prix intraVerse !

L'édition 2010 des IIVA 2010 fut un franc succès en harmonie avec le rayonnement mondial de l'évènement IMAGINA 2010 à Monaco ; avec en prime Laurent Puons son DG toujours plus enthousiaste devant la qualité des dossiers et des délibérations des membres du Jury.
Nous couvrons au bout de 4 ans plus de 100 études de cas des meilleures réalisations mondiales dans les réseaux sociaux virtuels, les univers virtuels et serious games 3D, et, cette année les 30 candidatures ont permis une pré-sélection de 15 cas de rang mondial avec une méthodologie rigoureuse et scientifique menée par le CEROS et aboutir au classement suivant:



Vainqueur TOUTES CATEGORIES CONFONDUES:

- 1er Prix GOLD LOOV All Categories: RENAULT Academy
- 2e Prix SILVER LOOV All Categories: RMIT
- 3e Prix BRONZE LOOV All Categories: Assemblive

Classement par catégorie / Category Ranking :

- Corporate et Serious Game
- 1ère place: RENAULT Academy
- 2e place: Dassault Systems
- 3e place: DCNS

- Education:
- 1ère place: RMIT
- 2e place: Teleperformance Digital Campus
- 3e place: Global Reporter

- SME, R&D et Administration:
- 1ère place: Assemblive
- 2e place: Saint Mandé 3D
- 3e place: SOS 21

- Projet:
- 1ère place: Medvision
- 2e place: Serious Lab ESC Chambéry

Le "Coup de coeur de la Fabrique du Futur" a été attribué par Eric Seulliet à Dassault Systems avec 3DVIA Scenes, qui a souhaité saluer l'implication de cet acteur industriel de notoriété international au développement des univers virtuels et la communauté de développeurs (500 béta testeurs) qu'ils ont déjà rassemblée autour de leur nouveau projet présenté aux IIVA 2010 !

A tous les participants, membres du jury et organisateurs d'IMAGINA, MERCI de vos contributions et votre détermination incroyable à chacun de partager ces énergies positives autour de vos réalisations, et ces créations de valeurs pour l'écosystème 3D.

Les Trophées LOOV ont été sponsorisés par Web Escape Agents que nous remercions pour son soutien la 2e année consécutive.

Revenons sur la cérémonie de remise des trophées LOOV :
la réalisation in-world du BRIDGE a une fois de plus apporter son lot d'émotions : c'est le moment où le trophée LOOV passe des mains de l'avatar de Stéphane Desnault à celles de l'avatar représentant le responsable de Renault Academy !
Les photos ci-dessous donnent un léger apperçu de ce moment de magie dans la constellation de valeurs !

Merci à Stéphane Desnault pour son accueil et de cette présentation sur Second Life dans le du Lauréat TOUTES CATEGORIES LOOV : http://slurl.com/secondlife/Solariam/189/199/47

Du côté de Monaco real-world le support technique a été assuré avec talent par Hélène Zuili - aka Clara Young sur Second Life et voilà la photo du vainqueur avec son trophée LOOV





Quelques détails sur le lauréat toutes catégories :
Ce serious game a retenu l'attention du jury impressionné par la qualité du dossier de candidature, et surtout du résultat très professionnel de cette réalisation via le Serious Game Immersif de la marque au Losange.
Renault Academy a notamment mis en évidence l'éxécution des règles de management qui, pleines de bons sens, font parties intégrantes de l'expérience du métier de vendeur, de sa formation et de son mangement.
Avec cette V2 l'outil de formation s'est enrichi et rendu ainsi très pragmatique et ses usages adaptés à la réalité des besoins à manager à tous les niveaux de l'organisation.

Bravo pour cette étude de cas où le serious game et la 3D se positionnent au meilleur niveau de l'entreprise, et nous serons heureux de recueillir sur ce billet les réactions des responsables de Renault impliqués dans la réussite de ce projet.

Quelques chiffres impressionnants avec Le Serious Game « Renault Challenge »... il est décliné en 4 langues (Français, Anglais, Espagnol et Portugais) et a pour cible 18 000 commerciaux, répartis sur 40 pays.
"Le joueur a pour mission d’obtenir le plus de points possible à travers 5 activités. L’activité centrale joue la carte de l’immersion, puisqu’elle met le joueur directement en situation de vente, face à un client virtuel dont il faudra découvrir puis satisfaire les attentes. C’est une phase de jeu qui oblige le participant à réfléchir sur deux plans à la fois : la technique commerciale bien sûr, mais aussi les aspects comportementaux et humains. Elle est aussi conçue pour être rejouée plusieurs fois et amener chaque participant à faire des progrès".

Les responsables de Renault était accompagné par l'agence Daesign et voici quelques réalisations vidéo pour accompagner le serious game


Vidéo en FR http://www.youtube.com/user/daesignSG#p/a/u/1/atFlPOqDhBE
Vidéo en UK http://www.youtube.com/user/daesignSG#p/a/u/0/soziBQLgUKw

Source: Blog des Managers

lundi 22 février 2010

The Future Of Energy? Bloom Energy Boxes Already Power Google, eBay, Others

Over the past several years, there’s been no shortage of talk about alternative energy, and its potential to change the world. The problem is that most of it is just that — talk. But tonight, a report that aired on 60 Minutes showed one alternative that is not only real, it’s already being tested by companies such as Google and eBay. You simply have to watch this.

Bloom Energy are producing tiny fuel cell boxes they call “Bloom Boxes.” Two of these can apparently power a U.S. home (and only one for homes in countries that use less power). So how small are they? Look at the picture above, each device isn’t much bigger than a standard brick. Of course, they need to be surrounded by a larger unit that takes in an energy source (such as natural gas). But still, these units look to be about the size of a refrigerator and can easily fit outside of a home, providing it with clean, cheap energy.

Currently, these boxes cost some $700,000-$800,000, but eventually, founder K.R. Sridhar envisions one in every home — and he thinks he can get the cost below $3,000 for a unit to make that happen. And he’s talking a 5 to 10 year timeframe for this.

Naturally, there are plenty who are skeptical of something like this ever working. There have been no shortage of fuel cell ideas over the years, but none get their own segment on 60 Minutes showing working units. And none get to highlight the fact that they’re already installed at companies like Google, eBay, FedEx and others. In fact, four of these Bloom Boxes have apparently been powering a Google datacenter for the past 18 months. eBay says their five boxes have saved them over $100,000 in electricity costs over the past nine months.

Bloom Energy also has former Secretary of State Colin Powell on its board of directors, and he talked up the Bloom Boxes on 60 minutes tonight also. And the company has something in the neighborhood of $400 million in funding from the likes of Kleiner Perkins and others. Kleiner’s John Doerr is also featured heavily in the 60 Minutes segment, talking about why he thinks this company can change the world perhaps even in a more profound way that another company he backed, Google, has. Bloom Energy was Kleiner’s first green tech investment.

Again, just watch the video and decide for yourself whether to be skeptical or amazed at this point. Right now, I’m definitely in the latter camp considering this thing is already being tested out. Apparently, Bloom Energy is due for a big formal public unveiling on Wednesday in San Jose (they have a countdown up on their site) —expect to hear a lot more then.

Source: Techcrunch

XML3D : le langage informatique pour la navigation en 3D sur Internet

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/62319.htm

Le cinéma et les jeux vidéo proposent une immersion dans le monde de la 3D de plus en plus réaliste, ce qui n'est pas le cas d'Internet. L'utilisateur se retrouve en effet le plus souvent face à des contenus variés sous forme d'onglets, de listes, de textes, d'images ou de vidéos dans un univers toutefois entièrement en 2D. Des chercheurs de l'Institut de programmation visuelle Intel [1] et du Centre de recherche allemand en intelligence artificielle (DFKI) [2] ont développé conjointement un nouveau langage informatique, appelé XML3D, qui permet d'incorporer des scènes interactives en 3D dans les pages Internet désirées.

Contrairement aux langages VRML et X3D qui n'ont jamais réussi à s'imposer à cause de problèmes de compatibilité et de complexité, le nouveau langage Informatique XML3D reprend les bases du langage HTML internationalement répandu sur la toile et lui ajoute des fonctionnalités 3D. Pour pouvoir utiliser la technologie, l'utilisateur doit simplement installer un module complémentaire. Les données graphiques sont automatiquement transférées à la carte graphique pour éviter de charger le processeur interne. Techniquement, le langage informatique supporte les dernières avancées en termes de rastérisation [3] et de lancer de rayon en temps réel [4], pour un rendu graphique de très bonne qualité. Ces différents procédés ont également été développés auparavant par la même équipe de chercheurs et sont utilisés aujourd'hui par les fabricants de puce Intel et Nvidia.

Le langage XML3D permet d'insérer des contenus 3D interactifs avec une grande souplesse. Un simple lien Internet sous forme de texte pourra par exemple modifier la scène 3D, la représenter sous un autre angle, ou lancer une animation interne. Tous les sites Internet existants pourront ainsi rapidement et simplement utiliser la 3D interactive. Cette technologie sera bientôt intégrée dans les bibliothèques de programmation, utilisable avec les systèmes d'exploitation actuels sous format commercial et open-source. Le kit de développement fera également son apparition. Le Professeur Philipp Slusallek de l'Institut de programmation visuel INTEL encourage ainsi les développeurs à intégrer des scènes interactives en 3D dans l'environnement Internet actuel.

Les applications sont multiples et permettent une plus grande immersion dans le monde virtuel. Par l'intermédiaire d'un avatar précédemment défini, une cliente pourra essayer virtuellement une robe de soirée, assister à un cyber-opéra modélisé en 3D puis se déplacer pour aller danser en discothèque. Le phénomène rappelle celui de Second-Life [5] ; seulement, dans le cas du langage XML3D, la 3D est encore plus proche de l'utilisateur car elle s'immisce au sein même du navigateur, à la portée d'un plus grand nombre d'acteurs de l'Internet. Les chercheurs imaginent également un acheteur potentiel venant admirer chez un cyber-concessionnaire les dernières voitures modélisées en 3D, et qui après avoir choisi un modèle décide de le tester sur un circuit virtuel. De même, des ingénieurs travaillant sur des sites éloignés pourraient travailler en collaboration sur une page Internet à l'étude d'une pièce mécanique modélisée en 3D.

Le langage informatique XML3D, ainsi que ses diverses applications dans d'autres domaines comme l'architecture, l'urbanisation, l'histoire ou le marketing, seront présentés au salon mondial de l'informatique CeBIT [6], du 2 au 6 mars 2010 à Hanovre.

ORIGINE : BE Allemagne numéro 471 (18/02/2010) - Ambassade de France en Allemagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/62319.htm