lundi 30 novembre 2009

Stockage d'énergie solaire : Total et le MIT signent un contrat de recherche sur le développement de batteries


D'un montant de 4 millions de dollars sur cinq ans, ce contrat, signé entre Total et le Massachusetts Institute of Technology (MIT) pour le développement d'une nouvelle technologie de batteries stationnaires destinées au stockage d'énergie solaire, s'inscrit dans le cadre de la MIT Energy Initiative [1] dont le groupe pétrolier français est partenaire depuis novembre 2008.

La question du stockage de l'électricité est en effet capitale pour permettre le développement de l'énergie solaire et passer à une échelle supérieure dans son déploiement. D'où la signature de ce contrat de recherche dont l'objectif est de mettre au point une batterie à longue durée de vie et faible coût, adaptée au stockage de l'électricité produite par des panneaux solaire. "Le soutien de Total dans le domaine du stockage de l'énergie solaire peut véritablement changer la donne", estime Ernest Moniz, directeur de la MIT Energy Initiative.

Pour aller plus loin :
- Total - Isabelle Desmet : tél. +33 (0)1 47 44 45 91
- [1] MIT Energy Initiative
http://web.mit.edu/mitei/


Source : BE France numéro 235 (30/11/2009) - ADIT / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/61381.htm

Climat : les émissions de carbone des pays du G20 - LeMonde.fr

Climat : les émissions de carbone des pays du G20 - LeMonde.fr

En cas d'urgence, Celtic établit la communication à partir de tout réseau

La boîte mise au point par la société contient un routeur capable de se connecter à n'importe quel réseau disponible : satellites, WiMax... Un logiciel dédié détermine si la bande passante est suffisante.

Feu

En cas de catastrophe naturelle ou après un attentat, les réseaux de télécommunications peuvent être détruits ou saturés par les appels de personnes cherchant à joindre leurs proches. Ce qui rend difficile ou impossible la communication entre les équipes de secours. C'est pour contrer ce problème qu'a été lancé le projet DeHiGate de Celtic. Selon Vidar Karlsen, responsable du projet, celui-ci consiste en une boîte type premiers secours, contenant "un routeur capable d'établir plusieurs types de connexions". Voilà ce qu'il explique à L'Atelier. Les services d'urgence la ramèneront sur les lieux, sans devoir recourir à une antenne parabolique.

Trouver le réseau optimal

La communication sera établie à partir de tout réseau disponible dans la zone. "Ces derniers comprennent aussi bien les réseaux large bande comme les satellites ou le WiMax, que les réseaux sans fil locaux, mobiles ou Internet". Une application dédiée évalue la largeur de la bande passante, afin de déterminer si cela suffit pour établir une connexion. La communication nécessitera l'utilisation d'ordinateurs ou de téléphones portables spécifiques, fonctionnant sur le mode ad hoc. A terme, le système marchera aussi avec les téléphones mobiles ordinaires.

Un système polyvalent

La technologie permettra aux secouristes de faire des appels, d’accéder à Internet ou encore d’échanger des vidéos, des graphiques ou des cartes", précise le responsable. Selon lui, le système pourra également être utilisé lors d’accidents de la route, lorsque la couverture réseau est insuffisante. Le projet est issu du travail commun de spécialistes norvégiens, finlandais et espagnols, et est financé, entre autres, par Thalès et Telefonica. Pour mémoire, d’autres initiatives similaires existent. Ainsi, Wisecom a développé un réseau GSM portable qui se connecte à un satellite pour rétablir les télécommunications après une catastrophe.

Source: L'Atelier

Publicité TV ciblée en ligne de mire chez Google

Un contrat avec TiVo lui permettra de mesurer les audiences TV. Le spécialiste de l'indexation obtiendra un retour sur le nombre de personnes ayant visualisé une réclame, et des informations sur les horaires de diffusion les plus pertinents.

Google

Google estimera bientôt l'efficacité des annonces publicitaires diffusées à la télévision et vendues via sa plate-forme Google TV Ads. Pour ce faire, l'entreprise californienne a signé un accord avec TiVo, un service d’enregistrement numérique d'émissions. Celui-ci donnera à Google l’accès en temps réel aux habitudes de consommation télévisuelle de ses utilisateurs. Le but : voir ce que les gens ont regardé à une heure précise, ou encore savoir si la personne a changé de chaîne au moment de la diffusion d'une réclame. Et évaluer du coup combien de personnes ont pris le temps de regarder telle ou telle annonce publicitaire. "Un tel accord permettra d'adapter la réclame en fonction des préférences des consommateurs", confirme à L'Atelier Eric Coffre, responsable marketing IPTV chez SFR. Ce dernier a aussi développé son propre enregistreur numérique.

Mesurer le nombre de spectateurs TV

Avant, on mesurait les habitudes de consommation web. L'étape suivante sera de faire de la publicité en fonction de la consommation télévisuelle". Un constat validé par le porte-parole de Google, Eric Obenzinger. "La publicité TV va devenir quantifiable", explique-t-il à L'Atelier. "Jusqu'à présent, les publicitaires n'avaient pas de moyen de savoir précisément combien de spectateurs regardaient leurs annonces à la télévision", poursuit le porte-parole. "Désormais, on pourra avoir des données exactes sur où et quand joindre le consommateur". Selon lui, ces outils permettront de savoir avec précision dans quelles tranches horaires et sur quelles émissions la publicité est la plus rentable."Mais aussi de populariser son usage pour les entreprises", continue Eric Obenzinger.

Démocratiser la publicité

"Un tiers des clients de Google Ads n'avaient jamais annoncé à la télé. Une grande partie étant des PME". "L'accord avec Google montre l'avenir que peut avoir un service d'enregistrement aussi avancé que TiVo", enchérit Eric Coffre. "L'initiative est dans la droite ligne de ce qu'on voudrait faire à terme".Si l'on en croit Google, un tel suivi ne permettra pas de surveiller la vie privée des consommateurs. "TiVo nous transmettra le numéro de série de chaque poste, sans préciser à qui il appartient", conclut le porte-parole. Les autres informations accessibles concerneront : la ville, le réseau, l'heure exacte et l'émission regardée. Google est rentré sur le marché de publicité "offline" en 2007, avec la signature d'un contrat avec EchoStar Communications.

Source: L'Atelier

Le smartgrid, future cible des pirates ?


Après les pirates informatiques sur Internet, une nouvelle génération de hackers pourrait faire son apparition : les pirates du smartgrid.

L’émergence accélérée de ces futurs réseaux électriques intelligents pose un double problème : il faut garantir la sécurité des données collectées et sécuriser les infrastructures qui soutiendront ces réseaux.

SmartPrivacy

D’où la nécessité de développer une SmartPrivacy. Cette expression est de Ann Cavoukian, Commissaire à l’information et à la protection de la vie privée de l’Ontario (Canada), dans un rapport publié en novembre en partenariat avec le think tank américain Future of Privacy Forum (FPF - Washington).

SmartPrivacy décrit le vaste arsenal de protection à mettre en place pour garantir la sécurité des renseignements personnels qui circuleront sur les réseaux : consommation énergétique personnelle, habitudes de consommation, évolution de la consommation, niveau de vie énergétique...

Big Brother is watching you

La mise en place du smartgrid va augmenter le volume d’informations personnelles disponibles et favoriser le risque de récupération, d'utilisation et de mise à disposition de ces données.

Elle seront détenues par les opérateurs électriques ou les distributeurs de logiciels de gestion énergétique (type Google avec son GooglePowerMeter). Une SmartPrivacy obligerait ces organisations à gérer convenablement ces informations sur la vie privée des consommateurs, selon les auteurs du rapport.

Sécurité nationale

La sécurité des infrastructures énergétiques entre ensuite dans une nouvelle dimension avec la connexion de pratiquement tous les éléments du réseau de distribution d’électricité à un réseau connecté et informatisé, lié à Internet.

A l’échelle d’un Etat ou d’une région, le smartgrid pourrait devenir facilement une aire de jeu des pirates informatiques. La problématique est aujourd’hui prise au sérieux aux Etats-Unis, avec des suspicions portées sur des potentiels hackers chinois ou russes par exemple.

Cyberguerre et blackout énergétique

Un blackout énergétique, comme en août 2003 dans la région de New York, pourrait à l’avenir être le produit de hackers. Le tout dans un optique de cyberguerre visant à paralyser les infrastructures vitales d’un pays.

Les experts s’interrogent également sur l’impact qu’une impulsion électromagnétique (IEM) pourrait avoir sur un réseau smartgrid. Cette IEM pouvant être déclenchée par un Etat ou un groupe terroriste grâce à une attaque nucléaire ciblée. Elle pourrait détruire des éléments vitaux d’un réseau (ordinateurs, systèmes de contrôle, transformateurs, etc).

Un marché colossal

La sécurité des infrastructures de ces réseaux doit être pensée en même temps que leur construction : standards, normes de sécurité, protection des installations... Le coût de mise en place est beaucoup plus faible si on les intègre en amont.

Un marché de la sécurité et de la cybersécurité adaptée aux réseaux électriques émerge peu à peu. L’américain IOActive, spécialisé sur la sécurité informatique, développe déjà des services de smartgrid security.

En septembre dernier, Hewlett-Packard a également annoncé des services d’audit de sécurité, baptisé HP Smart Grid Security Quality Assessment. Et Verizon, opérateur américain de télécommunications, a présenté mi-novembre des services de conseil en sécurité des smartgrid.

SOURCE : GreenUnivers

Fluidic Energy promet 800 km d’autonomie aux voitures électriques


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Omniprésente dans les appareils et véhicules électriques, la technologie lithium-ion pourrait bientôt prendre un sacré coup de vieux. Basée en Arizona, la société Fluidic Energy travaille sur la mise au point de batteries métal-air dont le potentiel énergétique serait onze fois supérieur aux accumulateurs actuels. Un « petit miracle » que le département américain de l’énergie a décidé de soutenir financièrement. Pas pingre, l’autorité a ainsi attribué quelques 5,13 millions de dollars à Cody Friesen, fondateur de Fluidic Energy et par ailleurs professeur en sciences des matériaux. Un deal qui pourrait s’avérer rentable. Le scientifique promet en effet que ses futures batteries métal-air seront, à terme, trois fois moins chères que leurs congénères lithium-ion.

Des améliorations à apporter

Sur un plan technique, la technologie de Fluidic Energy se distingue par la valorisation de l’oxygène. Le procédé repose en effet sur l’énergie « dégagée par l’oxydation d’un métal » comme par exemple le zinc. Une idée originale mais encore perfectible. Ainsi, le zinc doit être remplacé après utilisation ce qui revient à transformer la batterie en une simple pile. Autre problème à résoudre : le remplacement de l’eau par un liquide ionique non volatile. En sachant que Fluidic Energy doit aussi éviter la création de cristaux pendant la recharge pour prolonger la durée de vie de ses batteries. Malgré ces obstacles, la firme américaine pense que sa technologie permettra bientôt aux véhicules électriques de disposer d’une autonomie comprise entre 650 et 800 kilomètres.

SOURCE : Cleantech Republic

Accumulateur air-zinc / Source : Evonyx Inc

Accumulateur air-zinc / Source : Evonyx Inc

Le Wi-Fi pour divertir les passagers des autocars

Trois bus franciliens participent à un projet pilote : ils embarquent un serveur qui permet aux usagers dotés d'un terminal Wi-Fi d'avoir accès à un portail regroupant jeux, vidéos et infos.

Les usagers du car A14 Express, reliant Mantes-la-Jolie (78) à La Défense (92), vont trouver leur trajet moins long. Ils peuvent mettre à profit leurs 45 à 60 minutes de transport pour consulter des informations, jouer ou regarder des vidéos grâce à une connexion Wi-Fi.

Pour ce projet pilote, qui concerne trois cars de la compagnie Veolia Transport, il n'est pas encore question de partir à la découverte de la Toile ou de consulter ses e-mails. La connexion Wi-Fi donne accès uniquement à un portail d'informations, stocké sur un serveur de contenus. Il est mis à jour quotidiennement, quand le véhicule rentre au dépôt. C'est à Orange Business Services que revient le développement et la maintenance de ce service à bord.

Le portail comporte un volet pratique qui permet aux usagers de se renseigner sur les horaires, les correspondances ou encore de voir, grâce à un GPS embarqué, où ils en sont de leur trajet. Un second volet est plus tourné vers les loisirs et la culture. Il propose des informations touristiques sur les lieux traversés et un accès au guide de sorties Cityvox. Un forum permettra, peut-être, aux utilisateurs réguliers de la ligne de nouer des liens avec les autres usagers.

Un service réservé aux détenteurs d'un terminal Wi-Fi

Le portail développé pour les usagers de la ligne A 14 Express
Le portail développé pour les usagers de la ligne A 14 Express

Le portail a aussi une vocation ludique. Histoire d'oublier définitivement les embouteillages, les usagers peuvent passer le temps en jouant à quelques jeux classiques, comme Tétris ou en regardant des vidéos en streaming. Mais il ne faut pas s'attendre à un service comparable à celui des vols longs courriers, seuls des films sponsorisés par Veolia sont diffusés.

Pour accéder au portail, l'utilisateur doit être équipé d'un téléphone, d'un smartphone ou encore d'un ordinateur disposant d'une connexion Wi-Fi. C'est d'ailleurs pour cette raison que l'expérience pilote a lieu sur une ligne desservant La Défense, où l'on rencontre une majorité d'usagers dotés de terminaux mobiles.

La durée initiale du test est de trois mois, mais elle devrait être reconduite. Veolia et Orange Business Services travaillent déjà à l'amélioration du service, en mettant au point un serveur de contenus qui, grâce à une liaison Wi-Fi et 3G, permettrait d'avoir des informations rafraîchies en temps réel (état du trafic, météo) et de consulter des e-mails.

SOURCE : 01net

dimanche 29 novembre 2009

Secretary Chu Announces $620 Million for Smart Grid Demonstration and Energy Storage Projects

At an event in Columbus, Ohio this afternoon, Secretary Chu announced that the Department of Energy is awarding $620 million for projects around the country to demonstrate advanced Smart Grid technologies and integrated systems that will help build a smarter, more efficient, more resilient electrical grid. These 32 demonstration projects, which include large-scale energy storage, smart meters, distribution and transmission system monitoring devices, and a range of other smart technologies, will act as models for deploying integrated Smart Grid systems on a broader scale. This funding from the American Recovery and Reinvestment Act will be leveraged with $1 billion in funds from the private sector to support more than $1.6 billion in total Smart Grid projects nationally.

Secretary Chu also released a video today on YouTube, which explains what investments in the Smart Grid can mean for American consumers. View the video below.

“These demonstration projects will further our knowledge and understanding of what works best and delivers the best results for the Smart Grid, setting the course for a modern grid that is critical to achieving our energy goals,” said Secretary Chu. “This funding will be used to show how Smart Grid technologies can be applied to whole systems to promote energy savings for consumers, increase energy efficiency, and foster the growth of renewable energy sources like wind and solar power.”

These efforts will provide invaluable data on the benefits and cost-effectiveness of the Smart Grid, including energy and cost savings. An analysis by the Electric Power Research Institute estimates that implementing Smart Grid technologies could reduce electricity use by more than 4 percent by 2030. That would mean a savings of $20.4 billion for businesses and consumers around the country, and $700 million for Ohio alone -- or $61 in utility savings for every man, woman and child in Ohio.

The demonstration projects announced today will also help verify the technological and business viability of new smart technologies and show how fully integrated Smart Grid systems can be readily adapted and copied around the country. Applicants say this investment will create thousands of new job opportunities that will include manufacturing workers, engineers, electricians, equipment installers, IT system designers, cyber security specialists, and business and power system analysts.

The funding awards are divided into two topic areas. In the first group, 16 awards totaling $435 million will support fully integrated, regional Smart Grid demonstrations in 21 states, representing over 50 utilities and electricity organizations with a combined customer base of almost 100 million consumers. The projects include streamlined communication technologies that will allow different parts of the grid to “talk” to each other in real time; sensing and control devices that help grid operators monitor and control the flow of electricity to avoid disruptions and outages; smart meters and in-home systems that empower consumers to reduce their energy use and save money; energy storage options; and on-site and renewable energy sources that can be integrated onto the electrical grid.

In the second group, an additional 16 awards for a total of $185 million will help fund utility-scale energy storage projects that will enhance the reliability and efficiency of the grid, while reducing the need for new electricity plants. Improved energy storage technologies will allow for expanded integration of renewable energy resources like wind and photovoltaic systems and will improve frequency regulation and peak energy management. The selected projects include advanced battery systems (including flow batteries), flywheels, and compressed air energy systems.

View the full list of selected projects.

Source : Energy.gov, 24/11/09

Nokia Siemens Networks couvre la palette des besoins “green IT” des réseaux télécoms

Nokia Siemens Networks a décidé de s’aligner sur l’actualité du Sommet sur le climat de Copenhague pour annoncer une gamme complète de solutions énergétiques pour les opérateurs télécoms.

Il s’agit en fait d’une ligne de six produits et services “green IT” (Energy Modernization, Off-Grid Site solution, Bad-Grid Site Solution, Energy Efficiency Consulting, Green Energy Control et Energy OPEX Management) qui sont destinés à faire baisser la consommation d’énergie des réseaux télécoms, à favoriser l’exploitation des énergies renouvelables et d’optimiser l’usage des technologies (l’administration réseau par la voie de la supervision logicielle par exemple).

“Cette gamme de solutions couvre l’infrastructure réseau de bout en bout : sites, équipements, exploitations, sources énergétiques…”, précise Ana-Maria Gimenez, Responsable de l’activité Services de Nokia Siemens Networks en France. Ce geste pour l’environnement représente-t-il un surcoût pour les opérateurs télécoms clients ? “Il n’y a aucun impact en termes de TCO*”, assure la représentante de la branche française de l’équipementier réseaux.

“C’est bon pour le public, c’est bon pour le business”, résume Hermann Rodler, Directeur pour la zone Europe de l’Ouest chez Nokia Siemens Networks, également présent au déjeuner de presse organisé à Paris le 26 novembre pour la présentation de cette “gamme verte” de solutions réseaux.

Les opérateurs mobiles n’ont donc plus d’excuses pour ne pas faire un geste pour l’environnement. Les acteurs français commencent à intégrer ce réflexe.

Depuis deux ans, Orange et SFR ont commencé à déployer “plusieurs milliers” de stations de base radio (BTS) de marque Flexi commercialisées par Nokia Siemens Networks. Des équipements qui affichent une réduction de consommation d’énergie de 60% par rapport à la génération précédente de produits.

Mais les progrès les plus spectaculaires sont observés dans d’autres zones comme l’Afrique. Ainsi, l’opérateur Zain, qui couvre le Kenya, la Tanzanie et l’Ouganda, va adopter le kit complet “green IT” proposé par son infogéreur Nokia Siemens Networks.

Autre exemple : la filiale de l’opérateur norvégien Telenor au Pakistan a choisi la solution pour les sites isolés (”Off-Grid Site”). L’énergie solaire sera exploitée pour offrir des services de communications “abordables” dans les zones rurales de ce pays.

Partenariat WWF avec des engagements concrets

Cet engouement “green IT” de la part de la filiale commune des groupes Nokia et Siemens dans les solutions réseaux ne survient pas par opportunisme. Des engagements ont été pris dès janvier 2008 en intégrant le programme Climate Savers de la World Wildlife Fund (WWF), à l’instar de Nokia.

C’est tout à son honneur : Nokia Siemens Networks est le seul fournisseur d’équipements réseaux à avoir entrepris cette démarche green IT avec l’estampille de l’organisation pour la défense de l’environnement.

Les engagements sont concrets : la firme doit développer la performance de sa gamme de produits de stations de base (GSM/EDGE, WCDMA/HSPA) pour parvenir à une réduction de 40% de la consommation énergétique d’ici 2012.

Un effort similaire est requis dans le cadre de l’exploitation de ses sites physiques et bâtiments (-6% d’ici 2010) et le recours aux énergies renouvelables doit être privilégié dans l’exploitation opérationnelle (+50% d’ici fin 2010).

*TCO, acronyme de Total Cost of Ownership. Littéralement Coût total de possession en français. Il définit le coût global d’un bien tout au long de son cycle de vie.

A lire également sur le même sujet : Nokia Siemens Network s’inscrit durablement dans la réduction d’énergie (Silicon.fr)

Source : Itespresso, 27/11/09

Des dents de scie pour réduire le bruit des éoliennes

2009/11/25 BE Pays-Bas 34 Des dents de scie pour réduire le bruit des éoliennes

France : Web Deux. Immobilier Zéro «Révolution Web 2.0 en Live !

France : Web Deux. Immobilier Zéro «Révolution Web 2.0 en Live !

Les 10 premiers e-marchands du Japon



eBay hors du Top 10, un pure player japonais à la tête du palmarès, des audiences de plusieurs dizaines de millions de VU... Le classement des e-commerçants au Japon réserve de belles surprises.

Le JDN a sélectionné les dix sites marchands réalisant la meilleure audience selon Comscore et examiné leurs résultats à l'aide des données fournies par le Bureau van Dijk - Editions Electroniques. Ce dernier conçoit et diffuse une gamme d'outils d'information sur les entreprises associant des données de qualité à de puissants logiciels de restitutions, présentations, et représentations statistiques de celles-ci. Classement

Google rachète le spécialiste du display Teracent

Pour se renforcer sur l'affichage publicitaire en ligne, Google met la main sur Teracent. L'annonce fait suite au rachat d'AdMob, qui offrirait à Google la place de leader sur le marché publicitaire mobile.

Google annonce l'acquisition prochaine de Teracent, une start-up américaine spécialisée dans l'affichage publicitaire en ligne. Le montant de l'opération n'a pas été dévoilé, mais le rachat sera conclu d'ici la fin de l'année.

La particularité des publicités en ligne conçues par Teracent est que leur contenu évolue en temps réel en fonction de différents paramètres : critères géographiques, linguistiques, moment de la journée… En faisant l'acquisition de cette technologie, Google déclare vouloir améliorer l'affichage des publicités sur Internet, précisent deux responsables sur le blog du groupe.

Google a lancé cet automne une campagne d'acquisition de petites entreprises (lire l'article Google prévoit de racheter une société par mois, du 24/09/2009), qui s'est en particulier traduite par le rachat début novembre de l'américain AdMob, spécialiste de la publicité sur mobile (lire l'article Google s'offre AdMob pour 750 millions de dollars, du 10/11/2009).

Dans une récente analyse, le cabinet IDC estime qu'ensemble, Google et AdMob représenteront près d'un quart du total des recettes publicitaires générés par les principaux réseaux publicitaires mobiles aux Etats-Unis. Les autorités de régulation doivent encore donner leur feu vert à l'opération, mais risquent peu de s'y opposer. Le deuxième acteur du marché sera alors Millenial Media (avec 18 % de parts de marché), devant Yahoo (11 %), Microsoft (8 %), Quattro Wireless (7 %), JumpTap (4 %) et AOL (2 %).

L'avance prise par Google incitera donc certainement Yahoo et Microsoft à vouloir acquérir Millenial Media ou Quatro Wireless, conclut IDC. A ceci près que le rachat d'AdMob le valorise à dix fois son chiffre d'affaires mondial, établissant un précédent que les deux autres start-up ne sont pas près de négliger.

Source: JDNet

Fnac.fr et Conforama.fr vont bientôt changer de propriétaire

PPR a annoncé qu'il comptait revendre ses enseignes Fnac et Conforama. Deux groupes qui ont su répliquer avec succès leurs métiers sur le Web.

Le groupe PPR veut suivre les traces de LVMH et se recentrer sur le luxe. Pour cela, il entend se séparer de la Fnac et Conforama. "Le plus tôt sera le mieux", a ainsi précisé François Henri Pinault, qui explique disposer d'une liste d'une vingtaine de repreneurs potentiels, dont il attend entre 4 et 5,9 milliards de dollars.

Le ou les futurs acquéreurs de ces enseignes feront une bonne opération sur le Web. Fnac.fr est en effet un des principaux sites marchands français avec un peu plus de 7 millions de visiteurs uniques mensuels. Il est aussi le premier challenger d'Amazon, qui compte 8 millions de VU. Rentable depuis 5 ans, Fnac.fr a réalisé un chiffre d'affaires représentant près de 7 % de l'activité globale de la Fnac en France, soit près de 225 millions d'euros.

De son côté, Conforama connaît une situation similaire. Sur son créneau, le spécialiste du mobilier et de la décoration d'intérieur n'est précédé que par Ikea, avec 1,7 million de VU contre 2,5.

Dans la grande distribution, PPR s'es déjà délesté de Surcouf et a revendu les cinq magasins physiques de la société et son site Web à Hugues Mulliez, le fondateur de Youg's, un distributeur de produits informatiques et numériques.

Source: JDNet

LeMonde.fr génère 13% de son audience grâce à ses blogueurs

Journalistes 2.0 ? A l'occasion du cinquième anniversaire de sa plate-forme de blogs, le journal LeMonde.fr a publié quelques statistiques intéressantes.

Sans chercher à rivaliser avec Skyrock ou Over-Blog, LeMonde héberge tout de même plus de 7500 blogs, créés majoritairement par ses abonnés. Le site dispose également d'une quarantaine de blogueurs VIP alimentés par des journalistes du Monde, des personnalités (Pierre Assouline, Martin Vidberg, Francis Pisani...) mais également des sportifs (Sylvain Marconnet, Stéphane Diagana...).

Une véritable rédaction parallèle qui génère une audience de 340 000 page vues par jour et qui représenterait, selon LeMonde, plus de 13% de son audience. Le journal a d'ailleurs décidé d'organiser vendredi une "journée des blogueurs" et de leur ouvrir en grand sa page d'accueil, reprenant ainsi une recette expérimentée avec succès par LePost, l'autre filiale du Monde Interactif.

Source: NetEco

Smart AdServer à l'assaut des bannières mobiles

L'internet mobile est décidément le nouvel eldorado. Quelques jours après l'annonce du rachat d'AdMob par Google, c'est au tour de Smart Adserver, bras armé du groupe Axel Springer dans les technologies publicitaires, de dévoiler son offre d'adserving mobile.

Une offre compatible avec les sites internet mobile récents, les sites WAP (plus austères mais encore très populaires), mais aussi les nouvelles applications de type iPhone ou Google Android. Bien que la société ait acquis ses lettres de noblesses avec les bannières graphiques et le rich media, l'adserving mobile permettra également la diffusion de liens textes pour générer des SMS (clic to SMS) voire des appels téléphoniques (clic to call).

"Notre objectif est de permettre à nos clients de piloter les campagnes web et mobiles sur la même interface de gestion et de diffusion et ainsi de contribuer à l'industrialisation de la vente d'espaces mobiles en permettant de piloter les campagnes web et mobiles sur la même interface de gestion et de diffusion." explique David Pironon, en charge de la nouvelle offre chez Smart Adserver.

Une technologie en tout cas bienvenue pour les 200 clients de ce gestionnaire de bannières européen. Selon une récente étude réalisée par ATinternet, 10% de l'audience d'un site web disposant d'une application est désormais réalisée sur ce type d'environnements mobiles ouvrant de nouvelles perspectives pour le secteur des médias en ligne.

Source: NetEco

vendredi 27 novembre 2009

App store in India? Indians not fascinated by pricey apps

Bangalore: Apple's iPhone and RIM's BlackBerry have created a huge market for mobile apps in the global market, but their impact is different in India. "In India there are not many iPhone and BlackBerry users and also the apps are not priced for the Indian users, so the app stores are taking time to pick up here," says Manish Garg, Co-Founder and COO of Endeavour.


The Texas, Austin based company is bullish on India because Garg feels that the Indian market is gradually moving from low end apps to high end apps like music and social media. With the phenomenal growth in the global smartphone market, mobile apps are gaining more ground and companies like Endeavour are trying to cash in on this demand.

Today, by using an application a mobile user can store data in the cloud without actually making use of his phone's storage capacity. With this trend users are able to share more pictures and videos through the cloud without actually knowing where it is stored. "The concept of 'Bottomless' phones is that there is no limit for the amount of data a smartphone can store because it makes use of the cloud," says Avinash Misra, Co-Founder and CEO of Endeavour, a company which develops niche mobile apps. "People are using a lot of applications easily available in the app stores," says Misra. Most of the major smartphone makers have their own app store through which they offer the apps - Apple's App Store, BlackBerry's App World and Nokia's Ovi Store.

Misra feels that globally mobile apps are getting more traction in the healthcare segment. "By using mobile apps people are reminded about taking medicines and other health alerts, this is driving the growth of mobile apps in this segment," says Misra. The company has so far developed over 400 apps and plans to roll out more apps in the coming days. With over 120 customers, Endeavour also plans to increase its headcount from the present 200, who are based in Austin, Bangalore and London.

Source : Silicon India, 27/11/09

RAPPORT " le développement du télétravail dans la société numérique de demain"

En réponse à la demande de Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’État chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numérique, d’une étude sur le télétravail, le Centre d’analyse stratégique a engagé depuis juillet dernier plusieurs travaux en parallèle :

- une mission de comparaison internationale sur dix pays de l’OCDE a été réalisée par le cabinet Roland Berger, établissant le panorama du cadre juridique existant et identifiant les bonnes pratiques en matière de déploiement du télétravail ;

- une enquête a été conduite par la DGTPE auprès des ambassades d’une vingtaine de pays de l’OCDE, à partir d’un questionnaire élaboré par le Centre d’analyse stratégique ;

- une analyse prospective du potentiel de télétravailleurs à l’horizon des dix prochaines années a été réalisée à partir des travaux du groupe Prospective des métiers et des qualifications du Centre d’analyse stratégique.

Complétant ces éléments par des échanges avec de nombreux experts et administrations, le Centre d’analyse stratégique a synthétisé ces différents travaux sous forme d’un RAPPORT sur l’état des lieux du télétravail en France, et a examiné, en particulier les risques d’abus, pour les salariés en congés maternité, de maladie ou pour accident du travail. Il a enfin étudié la possibilité de développer le télétravail pour ces différentes catégories de personnes

SOURCE : Centre d'Analyse Stratégique

FileRadar, un nouveau système de prévision du trafic routier

Le FileRadar, élaboré par des étudiants de l'Université technique de Delft, est un système de radar qui communique au conducteur de façon dynamique, graphique et précise des informations sur l'état actuel et à venir du trafic routier. La combinaison de diverses sources de mesure permet en effet de calculer l'état du trafic de l'heure passée et de prévoir celui de l'heure à venir. Cette information se transmet via GoogleMaps et permet à l'automobiliste de choisir le meilleur moment pour partir et de sélectionner la meilleure route pour son trajet.


Pourquoi est-ce si novateur ? Les systèmes actuels d'information sur le trafic (TomTom HD Traffic) informent uniquement sur l'état de la circulation à un moment donné. Ce modèle est plutôt comparable à la météorologie, qui indique quand il pleut et quand il va pleuvoir. Il est en réalité plus pratique de savoir quand il ne va pas pleuvoir, et c'est ce que propose le FileRadar.

Le FileRadar est un système qui fait une évaluation complète de l'état du trafic sur toutes les routes. Il est ainsi capable d'estimer le développement des perturbations sur la route en observant la situation actuelle du trafic. Pour cela, un calcul est réalisé pour déterminer le nombre de voitures qui circulent.

Secure Systems propose un bureau virtuel sécurisé par clé USB

La Mini Silicon Data Vault permet aux cadres et à leurs clients d'accéder à leurs données et aux applications d'entreprise depuis n'importe quel ordinateur.

Publié le 26 Novembre 2009
USB

Le fait que de plus en plus de collaborateurs travaillent en situation de mobilité amène de nouvelles problématiques de sécurité informatique. C'est à cela que veut répondre Secure Systems. Il travaille sur la Mini Silicon Data Vault (SDV), une clé USB qui permet à n’importe quel ordinateur d’accéder de manière sécurisée à un réseau virtuel privé. Concrètement, cela donne la possibilité aux professionnels d’accéder sans risques à leurs applications d’entreprises et à leurs données. D'ailleurs, l’université de Curtin vient d'annoncer sa participation au projet pour développer des applications dédiées qui seront délivrées avec la Mini SDV.

Une protection directement intégrée au matériel

"Il s’agit d’un système d’exploitation indépendant et d’une série d’applications prévues pour fonctionner sous couvert de la protection de la clé", explique le professeur Don Griffiths qui participe au projet. Par exemple, la clé fournit une zone de stockage sécurisée qui permet l’utilisation d’une application fiable sans qu’à aucun moment les données sensibles ne se trouvent sur le PC hôte. Pour limiter les risques au maximum, les applications de sécurité sont directement intégrées au matériel, sans utilisation de logiciels ou de drivers. Par ailleurs, le disque dur est partitionné, ce qui permet d’accorder différents droits d’accès.

Des solutions de travail à distance sans compromettre la sécurité

Enfin, l’authentification de la clé se fait avant le démarrage pour éviter qu’un programme malveillant ne puisse contourner cette étape. L’objectif affiché est de répondre à la demande d’un nombre croissant d’entreprises. Celles-ci se montrent désireuses de fournir à leurs employés nomades et à leurs clients un outil sécurisé leur permettant de collaborer hors des locaux de la société. "La clé permet aux entreprises de mettre en place des solutions de travail à distance sans compromettre la sécurité organisationnelle", ajoute Peter James, directeur général de Secure Systems. Le système sera disponible en mars 2010.

SOURCE : L'atelier

La réalité augmentée quasiment prête à s'imposer sur mobile


Il ne faut plus qu'une installation massive des GPS, accéléromètres et boussoles dans les combinés pour voir s'épanouir la réalité augmentée. La publicité - géolocalisée - a de fortes chances d'en devenir le secteur de prédilection.

iPhone

Le marché de la réalité augmentée sur mobile atteindra le 700 millions de dollars à l'horizon 2014 souligneJuniper Research. Selon le rapport, les revenus seront générés grâce à la combinaison du paiement au téléchargement d'applications, de la publicité et des services à base d'abonnement. S'il faut attendre quelques années encore avant de voir ce type de solutions s'installer, c'est parce qu'actuellement peu d'appareils sont équipés de fonctions nécessaires pour lancer une application de réalité augmentée.

Manque de matériel

Telles que la boussole, l'accéléromètre ou encore le GPS. D'ailleurs, en 2010, le marché ne devrait pas dépasser les 2 millions de dollars. Selon Juniper Research, la popularisation des solutions de réalité augmentée permettra aux éditeurs d'établir un modèle d'affaires plus stable et aux marketeurs d'avoir un canal supplémentaire pour atteindre le consommateur. "Ce qui a un gros potentiel, c'est la publicité géolocalisée à l'intérieur même de la réalité augmentée ", précise ainsi à L'Atelier Antoine Marcos, co-fondateur de Presselite. "Par exemple, face à un restaurant, on pourra afficher son nouveau menu".

Un marché prometteur

Autre possibilité : permettre aux éditeurs tiers d'inclure leur propre point d'interaction dans le module de la réalité augmentée. Dans ce cas, la marque payera un abonnement annuel pour être visible. De manière générale, la difficulté la plus grande pour générer du revenu stable sera le manque de standards établis. "La réalité augmentée, c'est tout nouveau. Il y a beaucoup d'acteurs ayant leur propre vision de la réalité", affirme le spécialiste. "Cependant, il y a beaucoup de buzz autour. Le marché publicitaire viendra se coller".

jeudi 26 novembre 2009

Google va lancer un service payant d'e-books au Japon

Google devrait lancer en 2010 un service payant de consultation de livres électroniques au Japon baptisé Google Edition, selon le quotidien nippon "Nikkei". Ce service sera alimenté par les éditeurs de l'archipel, qui auront la possibilité de fixer les prix des ouvrages qu'ils souhaitent diffuser sous forme numérique. Google partagera les revenus de cette plate-forme avec les éditeurs, qui se verront attribuer 63 % du chiffre d'affaires généré par leurs ventes. Dans un premier temps, Google Edition ne permettra pas de télécharger les ouvrages, ce qui devrait être ultérieurement proposé. Bien que lancé par la filiale japonaise du moteur américain, ce service devrait d'abord être proposé en langue anglaise au printemps 2010, avant d'être décliné en japonais à la fin de l'année.

Source: JDNet

Le norvégien Statkraft candidat à la reprise des barrages d'EDF

Le groupe public norvégien Statkraft, deuxième producteur européen d'électricité hydraulique, sera candidat à la reprise des centrales hydroélectriques d'EDF, dont une partie seront ouvertes à la concurrence d'ici à la fin de l'année, a-t-il annoncé jeudi.

"Nous sommes intéressés par la France du fait de notre expérience dans l'électricité hydraulique", a expliqué Bard Mikkelsen, PDG du groupe norvégien, au cours d'une conférence de presse jeudi à Paris.

Statkraft, détenu à 100% par l'Etat norvégien, est présent dans l'énergie hydraulique depuis sa création en 1895. Le groupe exploite aujourd'hui 225 centrales hydrauliques, dont 149 en Norvège et 58 en Suède.

Statkraft a produit 45 térawattheures (TWh) d'électricité hydraulique en 2008, juste derrière EDF (64 TWh) dans le classement des principaux producteurs européens.

Le groupe norvégien se dit intéressé par les trois regroupements de centrales hydrauliques dont la mise en concurrence devrait être annoncée prochainement: les barrages de la rivière de la Truyère (entre Cantal et Aveyron), ceux de la Dordogne et du Drac (affluent de l'Isère).

"Clairement, ces trois regroupements nous intéressent", a affirmé Emmanuel Soetaert, président de Statkraft France.

D'une manière générale, le groupe norvégien vise en priorité les concessions de taille importante (supérieure à 100MW) "là où notre compétence est la meilleure", a précisé M. Soetart.

Statkraft, qui vend déjà une partie de sa production sur la Bourse française de l'électricité Powernext, n'entend pas entrer sur le marché de vente aux particuliers mais se dit "ouvert" à un partenariat dans ce domaine.

Les premières annonces d'appels d'offre sur les barrages hydroélectriques d'EDF doivent intervenir avant la fin de l'année pour un début de concession en 2011-2012.

M. Borloo avait signé en juillet 2008 un décret fixant les règles de la mise en concurrence des concessions des 399 barrages français. Environ 80% d'entre eux sont exploités par EDF.

Plusieurs groupes ont déjà fait part de leur intérêt, dont le français GDF Suez, l'autrichien Verbund et le canadien Hydro-Québec.

Source: JDNet

Global Market for Robotics worth $21.4 Billion in 2014

ELECTRONICS.CA PUBLICATIONS, the electronics industry market research and knowledge network, announces the availability of a new report entitled "Robotics: Technologies and Global Markets".

According to the new market research report available at Electronics.ca Publications, the global market for robotics was worth $17.3 billion in 2008. This will increase to $17.6 billion in 2009 and $21.4 billion in 2014.

According to the new market research report available at Electronics.ca Publications, the global market for robotics was worth $17.3 billion in 2008. This will increase to $17.6 billion in 2009 and $21.4 billion in 2014, for a compound annual growth rate (CAGR) of 4.0%.

The market is broken down into segments of industrial, domestic service, professional service, military, security and space applications. Of these, industrial applications currently have the largest market share, worth $11.5 billion in 2008. This is expected to decrease slightly to an estimated $10.5 billion in 2009 but should reach $12.1 billion in 2014, for a CAGR of 2.8%.

Professional service applications have the second largest share of the market, worth $3.3 billion in 2008 and an estimated $4.0 billion in 2009. This segment is expected to grow at a CAGR of 6.0% to reach $5.4 billion in 2014.

Military is the third largest market segment, generating $917.0 million in 2008. This should increase to $1.2 billion in 2009 and almost $1.6 billion in 2014, for a CAGR of 6.8%.

Suddenly and unexpectedly the cost-benefit equation that has historically driven the growth of the robotics industry has become unbalanced. When industries see such rapid declines, the cause is typically an industry-wide unwillingness to modernize in order to meet changing customer needs. Very much the opposite has happened with the robotics industry.

An industry that was once grounded in a handful of highly specialized types of industrial and space robots has expanded to include new, commercially viable types of service and security robots. Despite recent economic challenges, the global robotics industry is poised to enter a new era of sustainable growth.
Source : PR Log, 23/04/09

La réalité augmentée quasiment prête à s'imposer sur mobile

Il ne faut plus qu'une installation massive des GPS, accéléromètres et boussoles dans les combinés pour voir s'épanouir la réalité augmentée. La publicité - géolocalisée - a de fortes chances d'en devenir le secteur de prédilection.

iPhone

Le marché de la réalité augmentée sur mobile atteindra le 700 millions de dollars à l'horizon 2014 souligne Juniper Research. Selon le rapport, les revenus seront générés grâce à la combinaison du paiement au téléchargement d'applications, de la publicité et des services à base d'abonnement. S'il faut attendre quelques années encore avant de voir ce type de solutions s'installer, c'est parce qu'actuellement peu d'appareils sont équipés de fonctions nécessaires pour lancer une application de réalité augmentée.

Manque de matériel

Telles que la boussole, l'accéléromètre ou encore le GPS. D'ailleurs, en 2010, le marché ne devrait pas dépasser les 2 millions de dollars. Selon Juniper Research, la popularisation des solutions de réalité augmentée permettra aux éditeurs d'établir un modèle d'affaires plus stable et aux marketeurs d'avoir un canal supplémentaire pour atteindre le consommateur. "Ce qui a un gros potentiel, c'est la publicité géolocalisée à l'intérieur même de la réalité augmentée ", précise ainsi à L'Atelier Antoine Marcos, co-fondateur de Presselite. "Par exemple, face à un restaurant, on pourra afficher son nouveau menu".

Un marché prometteur

Autre possibilité : permettre aux éditeurs tiers d'inclure leur propre point d'interaction dans le module de la réalité augmentée. Dans ce cas, la marque payera un abonnement annuel pour être visible. De manière générale, la difficulté la plus grande pour générer du revenu stable sera le manque de standards établis. "La réalité augmentée, c'est tout nouveau. Il y a beaucoup d'acteurs ayant leur propre vision de la réalité", affirme le spécialiste. "Cependant, il y a beaucoup de buzz autour. Le marché publicitaire viendra se coller".

Source: L'Atelier

L'avenir de l'assurance ? Dans l'ordiphone et les réseaux sociaux

Celent conseille aux professionnels du secteur d'investir dans le mobile, les réseaux sociaux et les mondes virtuels. L'innovation permettant d'améliorer rapidement les processus métier.

Smartphone

Malgré la crise, le secteur des assurances doit continuer à investir dans l'innovation. Partant de ce principe, Celent a dressé une liste des technologies ayant un impact maximal pour améliorer les processus métier au sein du marché. Parmi elles : les ordiphones, les stylos numériques, les assistants virtuels et avatars ainsi que le marketing via les réseaux sociaux. Selon la société de conseil, il est nécessaire de ne pas négliger le fort développement des smartphones : les technologies qui les entourent sont aujourd'hui suffisamment mûres et omniprésentes. Des services mobiles tels que l'assistance en temps réel, l'historique des remboursements ou encore la confirmation de paiement permettent d'améliorer l'expérience client et de satisfaire ses besoins.

Applications mobiles pour guider le client

Le rapport donne l'exemple de l'application pour iPhone conçue par la compagnie d'assurance américaine Nationwide. L'idée est de guider l'utilisateur lorsqu'il se trouve confronté à un accident. Grâce à l'application, on peut faire le compte-rendu du déroulement des évènements, prendre et transmettre des photos, enregistrer la position du véhicule à l'aide d'un GPS ou encore appeler l'agent le plus proche de l'endroit. Celent propose également d'utiliser les mondes virtuels dans la communication. Ainsi, un avatar pourrait soutenir le client lors du remplissage de questionnaires et répondre à ses questions sur les produits et les services. Les réseaux sociaux, qui constituent aujourd'hui un canal important pour joindre le client et connaître ses goûts, font aussi partie des médias à investir. Ainsi, Generali France a mis au point un réseau social "Kontsurnous" conçu spécialement pour le marché de l'assurance.

Réseaux sociaux pour connaître ses préférences

A part s'exprimer et échanger, les membres peuvent souscrire à une assurance auto ou maison directement sur la plate-forme. Ils peuvent également gagner des points qui permettent de réduire les frais non remboursés en cas d'accident ou de vol. Selon Celent, la technologie est simple et peu coûteuse à déployer. Autre technologie: le stylo numérique. Celui-ci est destiné à faciliter le travail des agents opérant sur des zones éloignées. Equipé d'une caméra, d'un microprocesseur et d'un logiciel de communication mobile, le stylo capture et organise les notes manuscrites. Il facilite également le processus de transmission des données. Les informations collectées sont envoyées via Bluetooth ou par câble USB.

Source: L'Atelier

Parcs scientifiques : Les géants d’Asie

Le modèle des parcs scientifiques, associant universités et entreprises sur une zone dédiée, a fait des émules en Asie, mais la dimension de ces structures est sans commune mesure avec leurs homologues européens.
Membres de l’International Association of Science Parks (IASP), le Z-Park (Chine) et l’IFEZ (Corée du Sud) font figures de géant. Étendus respectivement sur 232 km2 et 209 km2, ces parcs sont dotés d’infrastructures et de services visant à attirer les investisseurs et les entreprises. À titre de comparaison, Sophia Antipolis, premier parc scientifique créé en France, s’étend sur 2400 ha (dont 2/3 d’espaces verts) et accueille près de 1500 entreprises.

Le Z-Park de Pékin

Inspiré par le modèle de la Silicon Valley, le Zhongguancun Park, implanté à Pékin et plus connu sous le nom de Z-Park, a été établi au début des années 80 et est devenu un parc scientifique en 1988. Membre de l’IASP (International Association of Science Park), il compte aujourd’hui environ 20 000 entreprises du domaine des hautes technologies, dont quelques grands noms comme Lenovo, Founder, Baidu ou encore Sina et 48 incubateurs. Étendu sur 232 km2, le parc est lié aux établissements d’enseignement supérieur comme l’Université de Tsinghua, l’Université de Beijing, et l’Académie chinoise des sciences (CAS). Dès 1996, des sociétés internationales telles que IBM, Sun, Nokia et Microsoft s’y sont également installées. En 2007, les entreprises du Z-Park ont cumulé un chiffre d’affaires de 1.5 milliards de dollars et ont enregistré quelques 1800 brevets.

Une zone expérimentale

Reconnue « zone expérimentale de Beijing pour le développement de nouvelles industries de la technologie » par le gouvernement municipal en 1988, le Z-Park a mis en place, au fil de son développement, des politiques préférentielles pour attirer les investisseurs, les entreprises et les chercheurs. Ces initiatives incluent des incitations de stock options, un soutien financier et l’accès aux grands projets technologiques nationaux, mais aussi services pour aider les entreprises de haute technologie à obtenir des prêts bancaires. Parallèlement, le parc propose des services visant à faciliter la vie des salariés du site.

L’IFEZ coréen

En Corée du Sud, l’IFEZ (Incheon Free Economic Zone), actuellement en construction, mise sur l’établissement d’un « complexe global » pour son attractivité. À une heure de Séoul, le parc s’étendra, à la fin des travaux en 2020, sur 209 km2 et devrait accueillir plus de 500 000 employés. « Notre stratégie de développement est orientée vers une ville compacte. Tout doit être relié en 10 minutes. Le concept est aussi celui d’une ville intelligente et verte. Par exemple, les infrastructures électriques seront souterraines pour ne pas encombrer le paysage » explique Heekyung Min, Directrice générale de l’IFEZ.

Source: Le Journal de l'Innovation

De la voiture-objet à la voiture servicielle

Une conférence intitulée "Demain la voiture servicielle" a été organisée par Chronos, Le Monde et TNS-Sofres le jeudi 19 novembre. Ci-dessous en partage, quelques pistes de réflexion autour de ce concept :

Le dossier spécial du Monde : Voiture, la révolution des usages
>> Retrouvez le chat organisé avec les internautes du Monde.fr : "Pétrole cher, pollution, bouchons : comment circulerons-nous demain?"

Les entretiens vidéo et les articles du Journal de l'Innovation
>> Consultez les articles dédiés à la conférence : "Mobilité des modèles à inventer" ; "Vers un marché unique des déplacements" ; "Du temps pour changer la donne" ;




mercredi 25 novembre 2009

Carnegie Mellon Converts Gas-Powered Cars to Electricity

Researchers at Carnegie Mellon University aren’t waiting for big car companies to bring affordable electric vehicles to the market. They’re proving that with some tinkering, today’s gas-powered models can be rigged to save as much as 80% in energy costs.

Project ChargeCar, led by the school’s Robotics Institute, is a holistic approach to automotive over-consumption. Here are the basics…

- A supercapacitor, which can store and quickly release large amounts of electricity, is installed between a car's battery and motor. The supercapacitor's stored energy can be used instead of the battery's, cutting the charge/discharge cycle that shortens battery life. It also makes the car more responsive.

- Vehicle architecture, dubbed smart power management, uses artificial intelligence to manage the flow of electricity among the battery, supercapacitor, and engine. It decides whether to pull electricity from the battery or the supercapacitor and where to store the power gained from regenerative braking.

- Researchers say intelligent electric car control could recapture 48% of the energy used during braking, reduce the load on batteries by 56%, and reduce battery heat by 53%.

- People upload GPS data from their commute to ChargeCar.org, which uses an algorithm to figure the energy costs of gasoline vs. electricity for their route, and how much wear and tear on a battery could be saved by using a supercapacitor.

Researchers think that converting gas-powered cars to electrics with supercapacitors could spur the economy, too. ChargeCar just received a grant from Heinz (HNZ) in the "hundreds of thousands of dollars" to train local Pittsburgh-area mechanics in the craft. They think conversions will cost commuters around $8,000—much less than a brand new electric vehicle typically priced at some $50,000.

I spoke with the project's leader, Professor Illah Nourbakhsh, on the phone today. He told me that if the Web site, ChargeCar.org, catches on, they hope to use the crowdsourced commuter data to create custom conversion kits tailored to individual vehicles and routes. Some 3,000 miles worth of commutes have been uploaded so far from drivers around the country.

Professor Nourbakhsh also clued me in to something the university hasn't yet announced: ChargeCar will host a national competition to improve the algorithm on its Web site. You might remember a similar competition from Netflix (NFLX). The winner will receive a brand new electric car.

Check out some of the other fascinating projects Nourbakhsh and the rest of the robotics team at Carnegie Mellon are working on here.

Below is the Toyota (TM) Scion xB Carnegie Mellon's team converted into an electric to conduct its testing.


Image and video hosting by TinyPic
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Source : Business Week, 16/11/09

Giffgaff MVNO Taps Into Crowd-Sourcing

Launched on Nov. 25, British wireless service provider Giffgaff is focused on costs, and it plans to use its customers to slash them. The company, which uses O2’s network, awards customers points for answering customer service calls, suggesting ways to grow revenues, and creating marketing materials. Currently, the MVNO is searching for people to impersonate Humphrey Bogart and to shoot and upload the video ads promoting the service to YouTube, for example. The points can be used toward calls.

It remains to be seen whether this approach works; it just might. Customers who are that involved in a service are likely to be very loyal, and that’s an asset in any business, and especially in pay-as-you-go wireless services.

Telcos like T-Mobile already use the approach, called crowd-sourcing. GetSatisfaction.com, for example, lets telcos connect with their consumers that are having problems with the service, or to get the customers’ take on how to solve a particular problem. It also supports direct customer-to-customer help. So Giffgaff isn’t exactly reinventing the wheel, it’s just pushing it forward.

Source : Business Week, 25/11/09

L'internaute en essaim affine la recherche

L'université d'Oviedo travaille sur une sous-couche logicielle qui reclasse en permanence les résultats en fonction du parcours des autres internautes. Le but est d'améliorer la pertinence des résultats.

Parcours

SemantiFind propose déjà aux internautes de qualifier l'intérêt des sites indiqués en résultat, afin de rendre plus pertinentes les recherches à suivre. L’université d’Oviedo s'engage sur la même voie, mais automatise cette sélection : elle travaille sur un moteur qui réorganise les résultats en temps réel en fonction de ceux qui ont été le plus fréquemment choisis par différents utilisateurs. Ce, en réponse à une requête particulière. Un procédé que ses responsables rapprochent du fonctionnement en essaim de certains insectes. "Actuellement, l'utilisateur effectue une recherche et examine les résultats de manière isolée", explique à L’Atelier Daniel Gayo-Avello, un des responsables du projet. "Alors que la plupart des requêtes sont effectuées par plusieurs utilisateurs et que certains des résultats ont déjà été explorés dans le passé".

Une couche logicielle adaptable aux moteurs existants

D’où la métaphore entomologique : l’internaute agit comme une fourmi qui suivrait les traces laissées par ses congénères. Le système se présente sous la forme d’une couche intermédiaire entre l’utilisateur et le moteur de recherche. "De cette manière nous pouvons capturer les données relatives aux recherches effectuées et aux clics. Puis pondérer les résultats en fonction du nombre de clics associés aux mots-clefs", explique Daniel Gayo-Avello. Le système est donc tout à fait adaptable aux moteurs de recherche existants. "Le processus pourrait également s’appliquer en fonction de l’historique des recherches d’un utilisateur ou de sa localisation géographique", poursuit le chercheur espagnol.

Protéger le système des utilisateurs malveillants

Dans ce cas, les résultats seraient très différents d’un internaute à un autre. Les chercheurs s’emploient actuellement à développer un prototype complètement fonctionnel. Leurs travaux s’orientent en particulier sur la protection de leur système contre les attaques malveillantes. "Comme tous les outils d’intelligence collective, notre architecture est vulnérable à des attaques de ce type", justifie le chercheur. "Nous voulons voir comment le système réagira quand des utilisateurs chercheront à promouvoir des contenus non pertinents". Pour rappel, les fourmis ont déjà inspiré des méthodes de tactique militaire ou de sécurité informatique.

Source: L'Atelier

mardi 24 novembre 2009

The Electric Car Will Usher in Smart Grid 2.0

The electric car will facilitate the smart grid and a renewable energy charging infrastructure. The electric car will help make the smart grid relevant to consumers. Right now most cars use inefficient engines fueled with gasoline or diesel. In the coming decades, many cars will use electricity. With a smart grid, renewable energy will do much of the charging.

New electric cars from Nissan (NSANY), Toyota (TM), GM, Ford (F) and others will use a charging standard J1772. The new charging units at home and work will include a smart meter chip. When a driver plugs-in, charging will follow preferences pre-established by the car owner. Many will prefer to save money and charge at night when rates are cheaper.

States with the earliest adopters of electric cars are also states where utilities face big renewable portfolio standards (RPS). The lowest cost renewable per megawatt is wind, but much of the wind turbine power is delivered at night when winds are most constant. With a smart grid and price incentives, electric cars will be charged off-peak using renewables.

The promise of smart grid electric vehicle charging was discussed at the GreenBeat 2009 conference last week by technology leaders such as Google (GOOG) and Cisco (CSCO), and utility leaders such as Duke Energy (DUK) and Southern California Edison. Al Gore presented smart grid and super grid findings from his comprehensive new book about climate solutions – Our Choice.

The current Smart Grid 1.0 is frankly boring. Smart Grid 2.0 promises to make our life better with less use of damaging coal power emissions.

With Smart Grid 1.0, new electric meters are being installed. Utilities save because they no longer need to send people out to read meters. Services can start and stop without rolling trucks to make manual connects and disconnects. Utilities are saving while the consumers pay for the new meters with rate hikes.

Electric utility industry has shifted from years of falling costs to rising costs. Utilities need to shift energy use and vehicle charging off-peak to avoid unnecessary investments in expensive peaking power plants. A smart grid is needed to fully utilize renewable energy and moderate fossil fuel emissions.

Smart Grid 2.0 could help some people over $1,000 per year by automating their preferences in heating, cooling, running smart appliances, and even doing jobs like running the dishwasher when excess renewable energy is available. Energy efficiency and demand management is already saving some enterprises millions per year. Most state public utility commissions (PUC) are afraid of implementing consumer time-of-use (TOU) pricing to give people the incentive to use energy when it is plentiful not scarce. The latest class action lawsuit hardly encourages PUCs to act more boldly.

Public utility commissions are more willing to allow pricing incentives for vehicle charging. Electric cars will help move us to Smart Grid 2.0. Through web browsers, smartphones, and vehicle displays, drivers will select smart charging preferences and get feedback on how to use less electricity and save money. Early electric cars will cost more than their gasoline counterparts, but their electric charging will cost a fraction of the cost of gasoline fill-ups.

Currently, there are only 40,000 electric cars running in the United States. As exciting new offerings are being tested and sold, 1.5 million electric cars are expected in the U.S. by 2015 presented Sharon Allan, the Senior Executive, North American Smart Grid Practice, for Accenture.

Charging these electric cars will help transform the promise of a smart grid into a convenient cost-saving reality.

Source : Seeking alpha, 24/11/09

Norway opens world's first osmotic power plant

Norway opened on Tuesday the world's first osmotic power plant, which produces emissions-free electricity by mixing fresh water and sea water through a special membrane.

State-owned utility Statkraft's prototype plant, which for now will produce a tiny 2 kilowatts to 4 kilowatts of power or enough to run a coffee machine, will enable Statkraft to test and develop the technology needed to drive down production costs.

The plant is driven by osmosis that naturally draws fresh water across a membrane and toward the seawater side. This creates higher pressure on the sea water side, driving a turbine and producing electricity.

"While salt might not save the world alone, we believe osmotic power will be an interesting part of the renewable energy mix of the future," Statkraft Chief Executive Baard Mikkelsen told reporters.

Statkraft, Europe's largest producer of renewable energy with experience in hydropower that provides nearly all of Norway's electricity, aims to begin building commercial osmotic power plants by 2015.

Here is the company's illustration of how the plant works.

(Credit: Statkraft)

The main issue is to improve the efficiency of the membrane from around 1 watt per square meter now to some 5 watts, which Statkraft says would make osmotic power costs comparable to those from other renewable sources.

The prototype, on the Oslo fjord and about 40 miles south of the Norwegian capital, has about 2,000 square meters of membrane.

Future full-scale plants producing 25 megawatts of electricity, enough to provide power for 30,000 European households, would be as large as a football stadium and require some 5 million square meters of membrane, Statkraft said.

Once new membrane "architecture" is solved, Statkraft believes the global production capacity for osmotic energy could amount to 1,600 to 1,700 terawatt hours annually, or about half of the European Union's total electricity demand.

Europe's osmotic power potential is seen at 180 terawatts, or about 5 percent of total consumption, which could help the bloc reach renewable energy goals set to curb emissions of heat-trapping gases and limit global warming.

Osmotic power, which can be located anywhere where clean fresh water runs into the sea, is seen as more reliable than more variable wind or solar energy.

Source : CNET, 24/11/09

Véhicules électriques: Better Place, Renault-Nissan et Dong Energy lancent un ambitieux projet au Danemark

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/61339.htm

Pour faire face aux objectifs européens de réduction des émissions dans les secteurs non soumis aux quotas, le gouvernement a présenté un plan "Transport Durable" en décembre 2008. En parallèle du développement d'un réseau de transports collectifs efficaces, le gouvernement prévoit de faire du Danemark un laboratoire technologique pour le secteur des transports. Il entend notamment attirer les investissements de partenaires étrangers désirant expérimenter de nouvelles technologies vertes.

Le producteur danois d'électricité Dong Energy et Better Place (
http://france.betterplace.com/) ont annoncé le 27 mars 2008 la création d'une joint venture dont l'objectif sera de mettre en place un parc de 500.000 véhicules électriques et 50.000 stations de rechargement et d'échange au Danemark à l'horizon 2020.


Renault et Nissan ont accepté de participer à l'opération et les 4 premiers véhicules issus de ce partenariat ont été présentés par Renault au salon de Francfort. Dong Energy fournira les batteries électriques, tandis que Better Place prendra en charge l'installation et la gestion d'un réseau de stations d'échange de batterie et de recharge.

Pour les Danois, l'un des intérêts majeurs de ce projet est qu'il permettra de valoriser l'électricité produite la nuit par les parcs éoliens. Cette électricité non-stockable produite à un moment où la consommation est faible, est aujourd'hui exportée à bas prix. Les batteries des voitures électriques pourront être rechargées la nuit et contribueront ainsi à valoriser l'électricité d'origine éolienne.

Ce principe implique la mise en place de 2 réseaux distincts : des bornes de recharge d'une part et des stations d'échange de batteries d'autre part. Ces dernières devront être capables de prélever et de changer la batterie des voitures automatiquement en moins de 2 minutes. Un nombre de batteries très supérieur au nombre de véhicules sur le marché devront ainsi être produites par Dong.



La technologie Better Place au quotidien (vidéo en anglais sous-titrée en français)

Source
: BE Danemark numéro 24 (24/11/2009) - Ambassade de France au Danemark / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/61339.htm