A l'occasion du salon VAD e-commerce 2012 de Lille, étaient
présenté une série de prototypes et d'expérimentations très innovantes.
Bon nombre visent à connecter les lieux de vente.
Le RFID rend intelligentes étagères et caisses enregistreuses
Le bureau R&D du Centre d'innovation des technologies sans contact (CITC) - EuraRFID
a conçu une étagère et une caisse enregistreuse intelligentes. Une puce
RFID étant apposée à chaque article, l'antenne RFID placée au sommet de
l'étagère sait ce qu'elle contient. "De quoi simplifier
considérablement les démarches d'inventaire, mais également informer à
distance les consommateurs de la disponibilité des produits, via un site
Web ou mobile", précise Pauline Fumery, du CITC.
Du côté de la caisse enregistreuse, un portique surmonté d'une autre
antenne RFID permet de scanner le contenu d'un panier sans en sortir les
éléments. Ceux-ci s'affichent directement sur l'écran de la caisse, qui
bien sûr peut accepter les paiements sans contact. Le laboratoire LAMIH
de l'Université de Valenciennes a par ailleurs conçu une "table
surface" détectant également les puces RFID des articles posés dessus. A
partir des différents ingrédients qu'elle identifie, elle affiche sur
un écran des recettes de cuisine réalisables, tout en indiquant sur la
table les produits nécessaires.
Géolocalisation indoor pour guider les clients
Dans le cadre des projets New Shopping Experience (NSE) du Pôle de compétitivité des industries du commerce (Picom), Ikomobi et Anaxa-Vida
ont développé pour Décathlon un prototype de géolocalisation indoor
destiné à guider les clients à l'intérieur du lieu de vente.
Concrètement, le consommateur se place sur l'une des zones d'appel
délimitées dans le magasin et indique qu'il a besoin d'aide via un
bouton dans l'application mobile de l'enseigne. L'information est
envoyée au serveur, qui ordonne aux caméras couvrant le magasin de
regarder les zones d'appel pour trouver l'appelant et le "harponner".
Le système peut alors lui-même guider le client vers le produit qu'il
recherche. "L'information peut aussi être envoyée sur les tablettes des
vendeurs, charge à eux, en fonction de leur proximité au client et de
leurs compétences vis-à-vis de sa demande, de lui répondre qu'ils
arrivent", indique Chaabane Djeraba, président d'Anaxa-Vida. Le client
peut sortir de la zone d'appel et se déplacer dans le magasin : il a été
harponné par les caméras et la tablette du vendeur affiche sa
localisation. Ces caméras permettant de situer le client à 25 cm près,
le magasin sait également quel produit il est en train de regarder. Il
est donc possible de lui envoyer une notification du type "-10% sur ce
rayon pendant 30 minutes". On peut également imaginer que le dispositif
soit intégré au CRM de Décathlon, par exemple pour mettre en place des
notifications automatiques.
TV to Store : quand la TV connectée génère des achats
Autre projet NSE, Idées-3Com
a développé pour Décathlon et Aptonia un prototype d'utilisation
marchande de la TV connectée. Le scénario proposé est le suivant : lors
d'une publicité TV de Décathlon, un bandeau propose au téléspectateur de
se connecter à un programme d'entraînement sportif. La main bascule de
la télécommande au smartphone de l'utilisateur, qui crée son profil,
choisit son sport et son niveau et lance le programme. Pendant qu'il
exécute l'entraînement, s'affichent le nombre de calories brûlées, son
niveau d'hydratation ou encore le nombre d'amis Facebook connectés et
leurs encouragements.
L'application pousse les produits adaptés à son activité et lui
permet d'entrer en contact vidéo avec un vendeur du magasin le plus
proche. Le vendeur peut alors lui montrer des articles, envoyer des
fiches produits sur sa télévision et, à sa demande, mettre un article
dans son panier. "Une façon de guider les consommateurs de leur
télévision à l'achat de produits, via un programme gratuit de coaching",
conclut Jean-Michel Flamant, le fondateur d'Idées-3com.
L'utilisatrice pilote l'application de TV connectée via son smartphone
Les avis clients ont leur place aussi en point de vente
Critizr édite une
application mobile permettant de remonter aux points de vente différents
types d'informations provenant des clients. L'utilisateur identifie le
magasin dans lequel il se trouve, éventuellement le rayon, voire flashe
le QR code d'un produit pour affiner encore sa géolocalisation, puis
envoie son problème, son compliment, sa question ou sa suggestion, sous
forme de message de 300 caractères maximum. De son côté, le vendeur ou
le chef de rayon du lieu de vente qui dispose de Critizr Pro voit
apparaître l'information sur sa tablette ou son mobile et peut réagir à
chaud. La solution est déjà installée dans 750 points de vente dont une
grande partie d'indépendants, mais séduit également de grandes enseignes
telles qu'Auchan ou Carrefour : 300 magasins Carrefour en disposeront
d'ici avril prochain. "Critizr a également développé une solution pour
les e-commerçants, précise son fondateur Nicolas Hammer. Nous générons
un QR code lié à la commande du cyberacheteur et joint à son colis." Le
client n'a qu'à le scanner avec l'application Critizr pour arriver
directement sur son compte et renseigner le problème rencontré.
Aide à la vente et encaissement mobile en magasin
Keyneosoft
a développé pour Leroy Merlin un outil d'aide à la vente pour les
conseillers de ses rayons jardin, au sein desquels il est rarement
possible d'exposer toute l'offre. Actuellement en test dans deux
magasins, cet autre projet NSE prend la forme d'une application pour la
tablette du vendeur, qui s'appuie sur un configurateur. Selon le budget,
le matériau, la surface et divers éléments fournis par le consommateur,
le vendeur tire du configurateur une sélection de produits. Il peut
accéder aux fiches produits, les envoyer par email au client et les
ajouter à son panier en se connectant à son nom, l'application lui
donnant aussi accès au CRM de Leroy Merlin. Keyneosoft propose d'aller
plus loin avec sa solution d'encaissement mobile KeyPOS.
Le panier est transféré sur un iPhone auquel est fixé un matériel
ISMP d'Ingenico, qui permet au client de payer par carte bancaire
toujours auprès du vendeur, sans passer par la caisse. "De cette façon,
on évite toute rupture dans la chaîne d'achat", conclut Benoît Tonnel,
chez Keyneosoft.
Notre objectif est de mettre en partage sur nos trois spécialisations (stratégies et management de l'innovation business tous secteurs, stratégies de croissance ENERGIE et CLEANTECH, stratégies de croissance DIGITAL), les analyses d'Innhotep, celles de nos invités et des articles tiers issus de notre veille. Accélérateur d' "innovations business", Innhotep intervient comme conseil auprès de grands groupes et accompagne le développement de start-up high-tech.
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vendredi 26 octobre 2012
App translates languages during real-time phonecalls
Japan-based NTT DOCOMO’s Hanashite Hon’yaku app enables
speakers of two different languages to carry out a phone conversation by
translating their speech in real-time.
Web users can already easily take advantage of translation services that convert text from one language to another, and we’ve also seen TransFire bring that capability to web-based instant messaging on smartphones. Providing a similar service for speech conversations, Japan-based NTT DOCOMO is launching its Hanashite Hon’yaku app, which offers real-time translation of phonecalls.
Rather than making a call through the standard phone app, users select a contact through Hanashite Hon’yaku if they will be talking to a foreign language speaker. The app then automatically detects what languages are being spoken before providing instant text translations. Users have the option to see on-screen text translations or have the voice engine provide an audio version. The app can also be used to translate speech in a face-to-face conversation by getting both parties to speak close to the phone. Hanashite Hon’yaku will be made available to Android users on 1 November as a free download. Upon release, the app will be able to translate between those speaking Japanese, English, Chinese or Korean, although the company hopes to add French, German, Indonesian, Italian, Portuguese, Spanish and Thai by the end of November.
In a hyper-connected world, one of the main difficulties is communication between those of a different tongue and the Hanashite Hon’yaku app aims to provide a solution to this problem. How else can technology help break down language barriers to global conversation?
Website: www.nttdocomo.com
Contact: www.nttdocomo.com/contact
Spotted by: Murray Orange
Source: Springwise
Web users can already easily take advantage of translation services that convert text from one language to another, and we’ve also seen TransFire bring that capability to web-based instant messaging on smartphones. Providing a similar service for speech conversations, Japan-based NTT DOCOMO is launching its Hanashite Hon’yaku app, which offers real-time translation of phonecalls.
Rather than making a call through the standard phone app, users select a contact through Hanashite Hon’yaku if they will be talking to a foreign language speaker. The app then automatically detects what languages are being spoken before providing instant text translations. Users have the option to see on-screen text translations or have the voice engine provide an audio version. The app can also be used to translate speech in a face-to-face conversation by getting both parties to speak close to the phone. Hanashite Hon’yaku will be made available to Android users on 1 November as a free download. Upon release, the app will be able to translate between those speaking Japanese, English, Chinese or Korean, although the company hopes to add French, German, Indonesian, Italian, Portuguese, Spanish and Thai by the end of November.
In a hyper-connected world, one of the main difficulties is communication between those of a different tongue and the Hanashite Hon’yaku app aims to provide a solution to this problem. How else can technology help break down language barriers to global conversation?
Website: www.nttdocomo.com
Contact: www.nttdocomo.com/contact
Spotted by: Murray Orange
Source: Springwise
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jeudi 25 octobre 2012
La biométrie et le sans contact permettent le paiement du bout des doigts
Un simple geste du doigt permettrait de
s'authentifier et de payer ses achats, ce, grâce à la technologie sans
contact combinée à un système biométrique. Un moyen de fluidifier le
processus d'achat.
Payer sans recourir ni à sa carte, ni à son
téléphone, ni à un quelconque objet, mais simplement grâce au bout d' un
doigt. C'est tout l'enjeu d'un système mis au point par Natural security en partenariat avec quatre banques françaises* mais aussi avec le groupe Auchan, Ingenico, Leroy Merlin, MasterCard et un groupement des cartes bancaires.
Combinant la technologie sans contact à moyenne distance et le système
biométrique, deux méthodes d’authentification vont passer en phase
d’expérimentation en magasin sur une durée de 6 mois (octobre 2012-mars
2013) : le réseau veineux du doigt à Villeneuve d’Ascq et l’empreinte
digitale à Angoulême. « L’utilisation parallèle de deux technologies
différentes va nous permettre d’évaluer leurs performances et de valider
les aspects techniques, mais aussi de recueillir la perception des
utilisateurs », dit à L’Atelier André Delaforge, Directeur Marketing de
Natural Security.
*BNP Paribas, Banque accord, Crédit Agricole et Crédit Mutuel Arkéa
Source: L'Atelier
Un processus d’achat fluidifié
Testé auprès d’un panel de 1 500 personnes, le dispositif repose sur un élément sans contact sécurisé qui va stocker les données biométriques de l’utilisateur, ainsi que celles liées au paiement et celles de l’accès aux services. L’utilisateur se rend dans son agence bancaire pour procéder à l’enregistrement de ses données biométriques. Il lui suffira de poser deux doigts sur un terminal. Ces informations sont ensuite transmises sur un support, dans le cadre du test à une carte bancaire. Chaque testeur se verra remettre un petit boîtier dans lequel il va placer sa carte bancaire. Celui-ci va jouer le rôle de la technologie sans contact à condition de rester dans un rayon de 1,50 mètre du terminal de paiement. Le processus d’achat se déroule de la même manière qu’aujourd’hui, à la différence qu’il sera possible au consommateur de choisir le paiement biométrique. Il lui suffira de glisser son doigt dans le boîtier pour compléter son achat sans avoir à sortir sa carte bancaire de sa poche ou de son sac. Un gain de temps en faveur du consommateur. « Ce système permettrait de fluidifier le processus d’achat. Cela répond surtout à la préoccupation de nos consommateurs qui demande toujours plus de confort d’achat, notamment la réduction de l’attente pour compléter leurs courses », nous dit Alexis Baude, Directeur de l’innovation chez Auchan.Un potentiel pour de multiples usages
Le support personnel sécurisé peut aussi prendre d’autres formes, une carte à puce, un porte-clé ou encore un téléphone mobile. Les usages pourraient également dépasser le cadre du paiement dans les commerces de proximité et être étendus à Internet, mais aussi aux automates comme les distributeurs de billets. Il pourrait également servir plus largement à l’authentification à distance comme la sécurisation d’accès à un poste de travail et à Internet, la gestion des identifiants et des mots de passe d’un utilisateur ou la signature électronique. « Cette expérimentation va poser les fondations d’un dispositif universel permettant d’offrir un même niveau de sécurité et une fluidité d’authentification, ce quelque soit le type de transaction ou le lieu », conclut André Delaforge.*BNP Paribas, Banque accord, Crédit Agricole et Crédit Mutuel Arkéa
Source: L'Atelier
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mercredi 24 octobre 2012
IKEA : 1,5 milliards d'euros pour son indépendance énergétique !
Hier, le groupe IKEA a dévoilé une nouvelle stratégie ambitieuse de développement durable, baptisée "People & Planet Positive" ou Positif pour les gens & la planète dans laquelle il entend entre autres, obtenir son indépendance énergétique.
Cette stratégie s'inscrit dans l'orientation de croissance à long terme du groupe néerlandais avec à la clé la définition d'un nouvel ensemble d'objectifs et de mesures à l'horizon 2020. La stratégie 'Positif pour les gens & la planète' se concentre ainsi sur 3 domaines d'action prioritaires.
Tout d'abord, Ikea veut proposer à ses clients des produits et solutions qui leur permettent de réduire leurs dépenses en utilisant moins d'énergie, moins d'eau et en produisant moins de déchets. Voici quelques exemples parmi d'autres : Remplacer toutes les ampoules par des LED, qui durent 20 ans et consomment jusqu'à 85% d'électricité en moins. Ou encore, proposer les appareils électriques les moins énergivores du marché au prix le plus bas ; Voire, créer des solutions pratiques, fonctionnelles et abordables pour trier et réduire les déchets et utiliser moins d'eau.
Ensuite, la marque mondiale entend acquérir une indépendance en matière d'énergie et de ressources. Pour se faire, IKEA va couvrir les besoins énergétiques de ses magasins et bâtiments à partir de sources d'énergie renouvelable. Ainsi, le montant total des investissements dans des projets éoliens et solaires atteindra 1,5 milliards d'euros ! Cet objectif implique également d'améliorer de 20% au moins l'efficacité énergétique des activités du groupe IKEA et de prendre des mesures encourageant les fournisseurs à faire de même. "Développer en permanence notre assortiment, rendre nos produits plus durables en veillant à ce que tous les matériaux d'ameublement, jusqu'aux emballages, soient renouvelables, recyclables ou recyclés" tel est le nouveau crédo du spécialiste de la conception de mobilier et d'objets de décoration en kit.
Tout d'abord, Ikea veut proposer à ses clients des produits et solutions qui leur permettent de réduire leurs dépenses en utilisant moins d'énergie, moins d'eau et en produisant moins de déchets. Voici quelques exemples parmi d'autres : Remplacer toutes les ampoules par des LED, qui durent 20 ans et consomment jusqu'à 85% d'électricité en moins. Ou encore, proposer les appareils électriques les moins énergivores du marché au prix le plus bas ; Voire, créer des solutions pratiques, fonctionnelles et abordables pour trier et réduire les déchets et utiliser moins d'eau.
Ensuite, la marque mondiale entend acquérir une indépendance en matière d'énergie et de ressources. Pour se faire, IKEA va couvrir les besoins énergétiques de ses magasins et bâtiments à partir de sources d'énergie renouvelable. Ainsi, le montant total des investissements dans des projets éoliens et solaires atteindra 1,5 milliards d'euros ! Cet objectif implique également d'améliorer de 20% au moins l'efficacité énergétique des activités du groupe IKEA et de prendre des mesures encourageant les fournisseurs à faire de même. "Développer en permanence notre assortiment, rendre nos produits plus durables en veillant à ce que tous les matériaux d'ameublement, jusqu'aux emballages, soient renouvelables, recyclables ou recyclés" tel est le nouveau crédo du spécialiste de la conception de mobilier et d'objets de décoration en kit.
Enfin, IKEA veut favoriser la mise en place de bons cadres de travail dans l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement du groupe, en incitant les fournisseurs à se concentrer sur la conformité mais aussi sur les valeurs communes. "Au-delà du concept immédiat de chaîne logistique, cette approche englobe aussi la défense des droits de l'homme" tient à faire remarquer le groupe d'origine suédoise.
"Nous voulons améliorer le quotidien du plus grand nombre. Cela implique un mode de vie plus durable. Depuis de nombreuses années, nous mettons tout en oeuvre pour concrétiser cet objectif. Nous avons déjà réalisé des avancées considérables et sommes prêts aujourd'hui à franchir une nouvelle étape importante. Positif pour les gens & la planète illustre ce nouveau cap, en transformant nos activités de manière à avoir un impact positif mondial", a déclaré Mikael Ohlsson, président et CEO du groupe IKEA.
L'un des défis majeurs du 21e siècle consiste à trouver les moyens de remédier à la rareté des ressources et au changement climatique tout en améliorant la qualité de vie des gens dans le monde. Positif pour les gens & la planète aidera le groupe IKEA à assumer - de façon modeste mais déterminante - son rôle sur ce plan.
En plus de contribuer à la qualité de vie des gens et des communautés là où il opère, le groupe utilisera ses ressources de la façon la plus rationnelle possible et revalorisera ses déchets. Les unités opérationnelles du groupe IKEA n'utiliseront que des sources d'énergie renouvelable et notre chaîne logistique s'appuiera sur des substances chimiques sûres, une gestion responsable des forêts, de l'eau et des terres agricoles.
"Nous sommes convaincus que le développement durable ne doit pas être un luxe mais un bien accessible à tous. Avec plus de 770 millions de visiteurs dans nos magasins, nous sommes très enthousiastes à l'idée d'aider nos clients à se créer le quotidien de leurs rêves en leur proposant de magnifiques produits qui les aident à réduire leurs dépenses en limitant leur consommation d'énergie, d'eau et leur production de déchets. Positif pour les gens & la planète nous permettra aussi de continuer à assumer nos responsabilités au niveau de la chaîne logistique pour les années à venir. Le recours exclusif à de l’énergie renouvelable pour nos besoins énergétiques et la défense des droits des enfants s'inscrivent dans la ligne droite de cet objectif", a conclu Steve Howard, Chief Sustainability Officer du groupe IKEA.
"Nous voulons améliorer le quotidien du plus grand nombre. Cela implique un mode de vie plus durable. Depuis de nombreuses années, nous mettons tout en oeuvre pour concrétiser cet objectif. Nous avons déjà réalisé des avancées considérables et sommes prêts aujourd'hui à franchir une nouvelle étape importante. Positif pour les gens & la planète illustre ce nouveau cap, en transformant nos activités de manière à avoir un impact positif mondial", a déclaré Mikael Ohlsson, président et CEO du groupe IKEA.
L'un des défis majeurs du 21e siècle consiste à trouver les moyens de remédier à la rareté des ressources et au changement climatique tout en améliorant la qualité de vie des gens dans le monde. Positif pour les gens & la planète aidera le groupe IKEA à assumer - de façon modeste mais déterminante - son rôle sur ce plan.
En plus de contribuer à la qualité de vie des gens et des communautés là où il opère, le groupe utilisera ses ressources de la façon la plus rationnelle possible et revalorisera ses déchets. Les unités opérationnelles du groupe IKEA n'utiliseront que des sources d'énergie renouvelable et notre chaîne logistique s'appuiera sur des substances chimiques sûres, une gestion responsable des forêts, de l'eau et des terres agricoles.
"Nous sommes convaincus que le développement durable ne doit pas être un luxe mais un bien accessible à tous. Avec plus de 770 millions de visiteurs dans nos magasins, nous sommes très enthousiastes à l'idée d'aider nos clients à se créer le quotidien de leurs rêves en leur proposant de magnifiques produits qui les aident à réduire leurs dépenses en limitant leur consommation d'énergie, d'eau et leur production de déchets. Positif pour les gens & la planète nous permettra aussi de continuer à assumer nos responsabilités au niveau de la chaîne logistique pour les années à venir. Le recours exclusif à de l’énergie renouvelable pour nos besoins énergétiques et la défense des droits des enfants s'inscrivent dans la ligne droite de cet objectif", a conclu Steve Howard, Chief Sustainability Officer du groupe IKEA.
Source : Enerzine
Pour plus de discrétion, Fujitsu remplace le QR code par la lumière
Le laboratoire du fabricant a mis au point un système
qui embarque des points lumineux dans des réclames télévisées. La
caméra du téléphone en comprend les variations et affiche du contenu en
fonction.
Pour obtenir plus d'informations sur un
produit, sur une publicité ou en magasin, il est de plus en plus courant
de requérir à des QR code, ces fameux code-barres en deux dimensions.
Certaines marques l'expérimentent même sur la publicité TV. Al'imaged'Axa,
qui permettait de connaître la fin d'une histoire racontée en flashant
le code sur la porte d'une maison affichée sur l'écran du téléviseur.
Dans ce cadre, rendre visible le code faisait partie du processus de
communication. Mais quand il s'agit simplement "d'augmenter" la réclame,
et de fournir du contenu supplémentaire ou de permettre l'achat, il
n'est pas forcément besoin de mettre en évidence le fameux carré. Dans
ce sens, Fujitsu Laboratories a mis au point un système de code invisible, embarqué dans une publicité TV, et qui joue avec la lumière.Des points lumineux imperceptibles
Le système repose sur le fait que les individus sont de plus en plus nombreux à consommer le petit écran tout en continuant à pianoter avec leur téléphone. Il suffirait alors, pendant le visionnage, de pointer son mobile vers le téléviseur, après avoir ouvert l'application dédiée, évidemment. Celui-ci fonctionne en utilisant un dispositif de variation de lumières, que la caméra d'un smartphone est capable de détecter, et qui déclenchera une action (flasher l'image, et conduire à du contenu supplémentaire). Pour y parvenir, Fujitsu intègre plusieurs points lumineux dans la réclame. Ceux-ci changent imperceptiblement de luminosité pendant la publicité. C'est ce changement qui est automatiquement détecté par le capteur de l'appareil photo, sans que son propriétaire ne s'en aperçoive.Acheter ou obtenir des coupons
A noter que pour que cela fonctionne, il ne faut pas se trouver à plus de 3 mètres de l'écran. Pour le moment, le système fonctionne avec les réclames diffusées à la télévision, sur son ordinateur ou sa tablette. A terme, Fujitsu permettra aussi de l'embarquer sur les divers écrans situés dans les villes, pour accéder à des informations sur un endroit, réserver des billets d'avion, télécharger un coupon dans un magasin ou encore acheter directement un produit. Un bémol cependant : au contraire de solutions comme SmartSystem, qui affiche un colibri pour signaler aux individus qu'une image est augmentée, le dispositif de Fujitsu ne propose apparemment aucun indicateur.Source: L'Atelier
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mardi 23 octobre 2012
Will the future of shopping be guided by LED lights and smart phones ?
Indoor mapping and location services will create a new world of advertising and social networking services, but no technologies have proven the winners yet. A Massachusetts startup has come up with an idea of combining digital lighting with smart phones to make that world a reality.
Picture this scenario: you enter a mall to pick up the new iPad Mini, a warm winter coat and some groceries and you pull out a mobile app that guides you to exactly where you want to go and maybe even offers some coupons, too. A startup called ByteLight is working to create this scenario using LED lights and smart phones to create a communication network that tracks and guides shoppers, locates items and offers deals.
The Cambridge, Mass.-based startup was founded in May 2011, and is just now coming out of stealth about how its technology could help create a whole new world of social networking services and money-making ideas. ByteLight has raised $1.25 million from investors such as VantagePoint Capital Partners, and is already doing some field trials of its technology, with undisclosed companies.
You’re probably wondering what LED lights has to do with this? Basic GPS — found in all phones these days — works well outdoors but works less well when people move indoors. At the same time common indoor wireless technologies, like WiFi and Bluetooth, aren’t very suitable for mapping the exaction location of each person, though there are companies out there working on indoor mapping using wireless networks.
ByteLight’s idea is to home in on a shopper’s whereabouts by blasting a specially designed light signal from an LED bulb in the store to the camera of the smart phone. To accomplish this feat, the smart phone will have to have ByteLight’s software on it, the phone will have to be out of the person’s bag or pocket, and each LED light bulb will have to come with a chip for sending the light signal.
The light signal is made up of a unique blinking pattern that flickers too fast for humans to see, said Dan Ryan, co-founder and chief technology officer of ByteLight. A good location-based technology has to be speedy and accurate, and ByteLight’s technology can pinpoint someone’s location to within a meter of accuracy and to do so under a second, Ryan said.
The chip inside the LED bulb and the software for detecting the light signal also create the path for delivering targeted ads or helping shoppers find what they want. Ryan says the chip will be cheap to add, and any existing smart phone camera would work.
Ryan and his CEO and co-founder, Aaron Ganick, still have to work out the business model. ByteLight won’t be supplying chips or selling LED bulbs with those chips inside, but they could collect licensing fees from giving LED bulb makers the chip design. The company also doesn’t plan to develop the mobile phone apps themselves. ByteLight wants to provide the developer tools for making those apps, so it could be collecting fees there as well.
What ByteLight has done is they’ve created a content management system that can help retailers track and deliver their ads and other messages to smart phones, which could be loaded with different ByteLight-based apps. Those retailers who don’t have the expertise at creating and delivering content — or at analyzing the results of their ads – could rely on ByteLight to do that as well.
To create a world in which ByteLight’s technology will work seamlessly will require a lot of coordination among LED lighting companies, retailers and app developers. The location-based technology might appeal to LED bulb makers because it gives them a selling point beyond the usual pitch about energy savings and replacement costs, Ganick said. That also means the adoption rate of ByteLight’s technology will depend on the growth of the LED market.
Then there are potentially privacy issues with tracking people’s movements and bombarding them with ads. This is a sensitive subject for Ryan and Ganick. They are quick to point out that consumers will not reveal their locations if they put their phones in their pockets or purses.
Source : GigaOM
The Cambridge, Mass.-based startup was founded in May 2011, and is just now coming out of stealth about how its technology could help create a whole new world of social networking services and money-making ideas. ByteLight has raised $1.25 million from investors such as VantagePoint Capital Partners, and is already doing some field trials of its technology, with undisclosed companies.
You’re probably wondering what LED lights has to do with this? Basic GPS — found in all phones these days — works well outdoors but works less well when people move indoors. At the same time common indoor wireless technologies, like WiFi and Bluetooth, aren’t very suitable for mapping the exaction location of each person, though there are companies out there working on indoor mapping using wireless networks.
ByteLight’s idea is to home in on a shopper’s whereabouts by blasting a specially designed light signal from an LED bulb in the store to the camera of the smart phone. To accomplish this feat, the smart phone will have to have ByteLight’s software on it, the phone will have to be out of the person’s bag or pocket, and each LED light bulb will have to come with a chip for sending the light signal.
The light signal is made up of a unique blinking pattern that flickers too fast for humans to see, said Dan Ryan, co-founder and chief technology officer of ByteLight. A good location-based technology has to be speedy and accurate, and ByteLight’s technology can pinpoint someone’s location to within a meter of accuracy and to do so under a second, Ryan said.
The chip inside the LED bulb and the software for detecting the light signal also create the path for delivering targeted ads or helping shoppers find what they want. Ryan says the chip will be cheap to add, and any existing smart phone camera would work.
Ryan and his CEO and co-founder, Aaron Ganick, still have to work out the business model. ByteLight won’t be supplying chips or selling LED bulbs with those chips inside, but they could collect licensing fees from giving LED bulb makers the chip design. The company also doesn’t plan to develop the mobile phone apps themselves. ByteLight wants to provide the developer tools for making those apps, so it could be collecting fees there as well.
What ByteLight has done is they’ve created a content management system that can help retailers track and deliver their ads and other messages to smart phones, which could be loaded with different ByteLight-based apps. Those retailers who don’t have the expertise at creating and delivering content — or at analyzing the results of their ads – could rely on ByteLight to do that as well.
To create a world in which ByteLight’s technology will work seamlessly will require a lot of coordination among LED lighting companies, retailers and app developers. The location-based technology might appeal to LED bulb makers because it gives them a selling point beyond the usual pitch about energy savings and replacement costs, Ganick said. That also means the adoption rate of ByteLight’s technology will depend on the growth of the LED market.
Then there are potentially privacy issues with tracking people’s movements and bombarding them with ads. This is a sensitive subject for Ryan and Ganick. They are quick to point out that consumers will not reveal their locations if they put their phones in their pockets or purses.
Source : GigaOM
lundi 22 octobre 2012
Google uncloaks the hidden world of its data centers
Google unveils photos, gives interviews, and even creates a Google Street View of some of its formerly secretive data centers. Greater transparency is the future of these massive facilities that will house the world’s information.
The days of the secret data center are over. Google — which has spent years trying to keep the size, architecture and energy consumption of its data centers a secret — has kicked off an all-out PR campaign showing off photos, giving interviews, and even creating a Google Street View for some of its data centers around the world.
In particular Google is publishing photos, and gave an exclusive tour to Wired of its data center in Lenoir, North Carolina. This is the data center I visited on my data center road trip this summer, and which I failed to penetrate — and yes, I am extremely jealous. Wired’s Steven Levy describes the gates surrounding the Lenoir data center as “evoking the Korean DMZ.”
The trend of greater transparency around data centers has been happening for awhile with the largest Internet companies. Facebook launched its Open Compute Project last year, bringing an unprecedented level of openness to the way it designed its servers, its server rooms and its cooling systems. I toured Facebook’s data center in Oregon a few months ago.
The data center industry needs to embrace this type of transparency to help combat the potentially negative reaction that’s sometimes emerged around the secretive data centers being built throughout the world. The New York Time’s recent series on data centers is one indication that through years of secrecy, the industry has created this type of media backlash.
On the other hand companies like Google still need to protect their customers’ data, which is housed in these massive data centers. So no, don’t expect to be able to go visit a Google data center any time soon. Google is only showing off images from eight of its data centers, and will no doubt be keeping visits to its data centers limited.
Here is my series on North Carolina’s mega data center cluster:
- The ultimate geek road trip: North Carolina’s mega data center cluster
- The controversial world of clean power and data centers
- The story behind how Apple’s iCloud data center got built
- 10 reasons Apple, Google, Facebook chose North Carolina for their mega data centers
This was how far I got into Google’s Lenoir facility:
Mobilité durable : les trois premiers investissements communs de la SNCF, Orange et Total dévoilés
Le fonds Ecomobilité Ventures créé par les trois groupes français annonce ce mercredi ses premières prises de participation dans la plateforme de location entre particuliers Zilok Auto, l'inventeur de la roue électrique Ez Wheel et le spécialiste de l'autopartage de véhicules décarbonés pour les entreprises Move About.
La SNCF avait montré la voie avec son premier fonds d'investissement dédié à la mobilité durable, Ecomobilité Partenaires, en 2008. «En échangeant avec d'autres acteurs de la mobilité aux préoccupations différentes, on s'est rendu compte de l'intérêt d'un regard croisé sur ces sujets», explique Bernard Emsellem. Le directeur général délégué Ecomobilité de la SNCF est président du fonds Ecomobilités Venture, créé au printemps de cette année aux côtés de Total et Orange. Fabienne Herlaut, qui avait monté Ecomobilité Partenaires, en est la directrice générale.
Ecomobilités Ventures, doté de 25 millions d'euros, a vocation à prendre des prises de participation minoritaires de 1 à 4 millions d'euros dans des start-ups européennes des services de transport, des technologies de l'information innovantes, des véhicules connectés et produits de mobilité et des infrastructures intelligentes, qui constituent les différentes briques de l'écomobilité.
L'importance d'un regard croisé sur un sujet en évolution rapide
Bernard Emsellem se réjouit que «trois grandes entreprises françaises aux spécificités différentes soient prêtes à travailler ensemble sur ce sujet, et que le rôle essentiel du transport public soit reconnu». Sur un sujet en mutation constante et dans lequel nul ne sait quelles formes vont se développer en priorité et quels acteurs en sortiront gagnants, multiplier les partenariats est certainement un bon moyen de rester dans la course. D'ailleurs, la SNCF teste régulièrement des offres ponctuelles, montées en collaboration avec d'autres acteurs comme la location de scooters électriques Peugeot en Gare Montparnasse. Ces expériences permettent d'identifier les contraintes réelles et les éventuels blocages.
Trois entreprises choisies parmi des centaines de dossiers
Mais avec Ecomobilité Ventures, c'est la construction du modèle économique qui intéresse les partenaires. La plateforme collaborative Zilok, depuis peu ouverte à l'automobile, le norvégien Move About qui propose aux entreprises et collectivités locales un service d'autopartage de véhicules propres et l'inventeur de la première roue électrique intégrée Ez Wheel pour engins de manutention, implanté à Angoulême, sont les trois premières prises de participation dévoilées ce mercredi. Au total, un investissement de cinq millions d'euros, pour une durée de cinq ans au moins.
«Parmi des centaines de dossiers, qui reflètent bien le foisonnement de l'innovation en matière d'écomobilité», précise Bernard Emesellem, ces trois entreprises sont passées avec succès sous les fourches Caudines du Comité d'investissement puis du Conseil de stratégie. Certes, cela permet aux investisseurs de suivre de très près les initiatives les plus intéressantes du moment et leur intérêt n'est donc pas strictement financier. «Mais c'est une dimension impérative, et c'est pourquoi nous soumettons les projets à une analyse économique et financière sans concession», affirme Bernard Emsellem.
Ziloc, qui s'est d'abord développé sur la location entre particuliers d'objets plus anodins que les voitures (comme les perceuses et autres outils) a pour lui d'avoir déjà développé sa technologie et son image, et connaît une forte progression de son activité auto lancée en juillet dernier; en augmentant la performance de leurs engins dans le secteur médical, l'industrie ou la mobilité, Ez Wheel permet à ses clients de réaliser d'importants gains de productivité tout en améliorant les conditions de travail des employés; le norvégien Move About, présente dans toute la Scandinavie et désormais aussi en Allemagne, recourt aux outils les plus performants pour simplifier à l'extrême le service qu'il propose aux entreprises.
Le renoncement de PSA
Au-delà des dossiers choisis, l'examen de tous les candidats permet en tous cas aux partenaires du fonds de conserver une bonne visibilité sur ce qui se trame dans le secteur protéiforme et bouillonnant de la mobilité durable.
De ce point de vue, le renoncement de PSA, à l'origine également embarqué dans cette initiative, mais désireux de ne pas disperser ses investissements dans la période difficile qu'il traverse n'est peut-être pas très judicieux. Réfléchir à ce que sera demain la mobilité semble bien le moins pour les constructeurs automobiles...
Source : La Tribune
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mobilité durable
Grâce au solaire, la météo entre dans les yourtes mongoles
Un programme financé par la Banque Mondiale et les Pays-Bas permet de déployer des installations solaires démontables auprès des populations nomades de Mongolie.
Les nomades mongols peuvent désormais écouter les prévisions météo pour organiser les déplacements de leurs troupeaux ou se renseigner par téléphone portable sur les cours de la laine de yak ou du cashmere.
Plus innovant encore que les installations éoliennes et solaires qu'on voit apparaître dans les villages les plus reculés d'Asie ou d'Afrique, ce sont quelque 100.000 petites centrales solaires démontables qui permettent à 400.000 personnes, soit la moitié de la population nomade du pays (qui compte 2,8 millions d'habitants), d'avoir désormais accès à l'électricité.
Un partenariat public-privé pour déployer les installations
Grâce à un programme du gouvernement soutenu par la Banque Mondiale et le gouvernement des Pays-Bas pour un investissement total de 13 millions de dollars, les bergers ont pu acheter ces centrales faciles à monter, à démonter et à transporter lors de leurs déplacements en bénéficiant d'une subvention de 50 %.
D'après la Banque Mondiale, le plus compliqué a été d'atteindre ces populations, qui vivent dans des yourtes éparpillées sur un territoire de 1,5 million de kilomètres carrés. Pour y parvenir, un réseau (privé) d'une cinquantaine de centres de vente et de services s'est déployé dans toute la Mongolie, relayé par un réseau d'administrateurs déjà présents dans les villages.
Au bonheur des vendeurs de petit électronique ménager
Le gouvernement mise sur l'efficacité de ce partenariat public-privé pour achever l'électrification rurale du pays d'ici à 2020. En attendant, ces premiers nomades éclairés font le bonheur des vendeurs de radios, télévisions et autres bouilloires...
Source : La Tribune
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Innovations énergétiques
mercredi 17 octobre 2012
ATMs dispense vouchers instead of cash
UK-based KAL has created RTMs – Retail-Teller Machines – that don’t house or dispense any cash, offering vouchers instead.
The Ogaki Kyoritsu Bank in Japan has already removed plastic cards from the cash machine process with its biometric ATMs. Now, UK-based KAL has created RTMs – Retail-Teller Machines – that don’t house or dispense any cash, offering vouchers instead.
Rather than being placed on the high street, RTMs are located in individual stores and provide users with a voucher to be used on site. The money is transferred digitally when the retailer registers receipt of the voucher. The company believe that this would be especially useful for remote areas where banks are scarce and cash has to be delivered to ATMs, which require maintenance and risk being a target for criminals. The RTMs reduce the need for transporting cash, reduce the amount of hard money kept on site at stores and mean that shoppers need only head to their desired store instead of having to visit a cash machine first, increasing footfall for retailers. Additionally, production of the machines costs a tenth of the price of regular ATMs, KAL says. The video here explains how the process works.
The RTMs provide benefits for consumers, retailers and banks. KAL has launched its product to be available around the globe – could your business benefit from such a device?
Website: www.kal.com
Contact: www.kal.com/en/about-us/contact-us
Spotted by: Tracy Chong
Source: Springwise
Rather than being placed on the high street, RTMs are located in individual stores and provide users with a voucher to be used on site. The money is transferred digitally when the retailer registers receipt of the voucher. The company believe that this would be especially useful for remote areas where banks are scarce and cash has to be delivered to ATMs, which require maintenance and risk being a target for criminals. The RTMs reduce the need for transporting cash, reduce the amount of hard money kept on site at stores and mean that shoppers need only head to their desired store instead of having to visit a cash machine first, increasing footfall for retailers. Additionally, production of the machines costs a tenth of the price of regular ATMs, KAL says. The video here explains how the process works.
The RTMs provide benefits for consumers, retailers and banks. KAL has launched its product to be available around the globe – could your business benefit from such a device?
Website: www.kal.com
Contact: www.kal.com/en/about-us/contact-us
Spotted by: Tracy Chong
Source: Springwise
Quand l'open source se met au service de la microfinance
Mifos fournit aux différents acteurs du microcrédit
des outils permettant de mieux formaliser les échanges, et donc de les
faciliter. La plateforme, en open source, est ouverte aux contributeurs
Pour accroître la visibilité des instituts de
microfinance, Mifos (Micro Finance Open Source), un projet né à
Bangalore en Inde en 2006, mise sur l'open source. La plateforme, fondée
par la Grameen Foundation, dont le but est du coup de rendre encore
plus accessibles les services financiers aux populations pauvres,
propose du coup des logiciels et services permettant de formaliser les
échanges. Le système est basé sur une communauté mondiale regroupant les
instituts de microfinance (MFI), des professionnels de la technologie,
des personnes du monde des affaires, des bénévoles et des contributeurs.
Chaque membre peut développer, affiner, contribuer aux dispositifs
proposés. "Deux-tiers de la population mondiale n'a pas accès aux
services bancaires classiques", explique à L'Atelier Michael Vorburger,
un contributeur de la communauté rencontré à l'occasion de l'Open World
Forum.
Source : L'Atelier
Un modèle qui formalise les transactions
En cela, selon lui, la technologie peut permettre d'accélérer le déploiement de la microfinance. Mifos se présente ainsi comme des suites de logiciels qui permettent de gérer des prêts de microfinance et de microcrédits. L'application java permet de saisir les comptes de chaque client, et de consigner l'historique des prêts contractés. Mifos permet de centraliser toutes les données et d'améliorer l'efficacité des opérations des MFI. Les personnes souhaitant se faire prêter de l'argent se rendent dans le MFI. Et que se passe-t-il le moment du remboursement venu? Il y a quelques temps, Michael s'est rendu en Inde et a pris rendez-vous avec l'une des MFI utilisant le logiciel pour comprendre comment fonctionne le processus. "Le modèle est assez différent de celui d'une banque classique. Ici, c'est la MFI qui fait le déplacement chez les gens pour récolter le prêt", souligne-t-il.La communauté de contributeurs
Une fois l'argent collecté, les personnes du MFI retourne, les transactions vont être consignées sur la plateforme Mifos par un opérateur. Mais ce logiciel est avant tout développé par une communauté de contributeur volontaire. C'est justement le rôle de Michael Vorburger. "Je suis contributeur volontaire depuis 2009, c'est-à-dire que je donne de mon temps pour améliorer la plateforme avec mes compétences, corriger des bugs", nous confie Michael. Ces douze derniers mois, il y a eu plus de 35 personnes qui ont contribué à la plateforme, des développeurs, des traducteurs. "L'open source peut prendre de nombreuses formes", conclut-il.Source : L'Atelier
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services financiers mobiles
jeudi 11 octobre 2012
Ecomobilité Ventures injecte 5 millions d’euros dans 3 startups dont Zilok
Ecomobilité Ventures, nouveau fonds d’investissements européen dédié à l’innovation dans la mobilité durable, vient d’annoncer ses 3 premières participations avec Move About, Ez Wehell et surtout la plateforme web Zilok Auto.
Mise en place à l’initiative de la SNCF, d’Orange et de Total, la nouvelle structure européenne gère une enveloppe de 25M € et oeuvre principalement dans les domaines suivants : les services de transport, les technologies de l’information innovantes, les véhicules connectés et produits de mobilité et enfin les infrastructures intelligentes.
Fondée en 2007 par Marion Carrette, la plateforme collaborative Zilok Auto a donc bénéficié de cet investissement, auquel s’ajoute une nouvelle participation du fonds Jaina Capital. Au total, la jeune pousse aurait donc levé 1,5M €. La start-up propose notamment un service de location de voitures entre particuliers pour en optimiser l’usage. Zilok Auto, qui compte 3 000 voitures disponibles à la location, revendique depuis juillet 2012 une forte progression des abonnés et des transactions.
Grâce à cette augmentation de capital, Zilok Auto compte déployer son offre, en augmentant le nombre de voitures disponibles.
Source: Frenchweb
mardi 9 octobre 2012
Amazon lance un programme de prêts pour ses vendeurs
Le géant de l'e-commerce vient de mettre en place aux Etats-Unis un programme de prêt baptisé Amazon Lending. Certains marchands commercialisant leurs produits sur sa marketplace ont en effet reçu par mail une proposition de prêt émanant de sa filiale Amazon Capital Services. Ceux dont la performance sur sa place de marché leur a permis d'être pré-qualifiés par la firme recevront une réponse à leur demande, accompagnée des fonds, sous cinq jours ouvrables. Selon le cabinet de conseil ChannelAdvisor, Amazon prête jusqu'à 800 000 dollars à certains marchands et les taux d'intérêts varient de 1 à 13% selon les vendeurs.
Les banques et autres sources de prêts habituelles des marchands se montrant particulièrement frileuses en ces temps de crise, il se crée un espace pour des sources de financement alternatives. Avec son programme de prêt, Amazon s'expose à un risque de crédit plus élevé, mais compte permettre à ses vendeurs d'acheter davantage de stock et d'augmenter leurs ventes sur sa marketplace, lui rapportant davantage en commissions. Une initiative prise juste à temps pour la période des achats de Noël.
Source : Journal du Net
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Innovations business,
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Quand la démarche d'un individu sert d'antivol pour son téléphone
L'université de Pittsburgh travaille sur une
application qui reconnaîtrait la démarche de son propriétaire. Et qui
pourrait peut-être du coup être utilisée pour bloquer le téléphone si
celle-ci changeait brusquement.
Reconnaissance faciale, reconnaissance
digitale, et bientôt la reconnaissance de la démarche. Le but ? Proposer
des systèmes d'identification alternatifs, moins invasifs et proposant
un niveau de sécurité élevé. L'idée a déjà suscité plusieurs programmes
de recherche, comme celui, l'année dernière, de chercheurs
sino-européens qui ont travaillé à implanter des capteurs dans le sol
permettant d'identifier une personne. Dernier projet en date : celui
d'une équipe de chercheurs du Departemental of Electrical and Computer Engineering University de Pittsburgh,
qui eux souhaitent transposer ces méthodes d'identification sur le
téléphone. Ils ont mis au point une application Android qui reconnaît le
pas normal ou rapide d'une personne et est capable d'identifier son
propriétaire. Et qui pourrait peut-être permettre par exemple de bloquer
un téléphone si celui-ci était considéré comme volé, suite à un
changement drastique de démarche de la personne qui le porte.
Source: L'Atelier
Une précision millimétrée
Pour le mettre au point, les chercheurs ont exploité les données des capteurs des accéléromètres et du gyroscope des téléphones. Le développement de l’application, réalisé auprès d’une trentaine d’individus, s’est concentré sur les démarches normales et rapides des utilisateurs, sur des périodes de cinq à dix minutes, sur une distance courte et plane. Les chercheurs ont d’abord développé un logiciel capable de collecter les données issues des différents capteurs. Dans le cadre de ces travaux, le gyroscope, présent sur chacun des smartphones, a permis de localiser le téléphone, placé dans la poche droite, contre la hanche de chacune des personnes. Chaque individu a par la suite parcouru une distance précise, soit un vecteur, d’une vingtaine de mètres pendant un temps donné, à une allure déterminée.Des bénéfices technologiques et médicaux
Les capteurs de l’accéléromètre ont alors relevé le nombre et la fréquence de pas effectués, les points d’impacts du pied droit ainsi que la vitesse de chaque personne. D’abord enregistrée à vitesse dite normale, l’opération a été également répétée à marche rapide. Les données ont ensuite été fusionnées et ont permis d’établir une identité de démarche propre à chacun des individus. Une fois la fiche de chaque personne déterminée, la multiplication de la manœuvre a permis de délivrer un taux d’identification proche de 100% de la démarche de chacun. Afin d’augmenter ce taux, les données enregistrées ont permis notamment par la suite une amélioration des différents capteurs de l’accéléromètre et du gyroscope des smartphones par les scientifiques.Source: L'Atelier
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Innovations numériques,
Mobile
lundi 8 octobre 2012
En Finlande, les lois aussi peuvent être crowdsourcées
Le pays a mis en place une réglementation qui permet
aux citoyens de suggérer des lois, qui seront votées s'ils rassemblent
50 000 signatures. Une plateforme de crowdsourcing a du coup été lancée,
pour faciliter les initiatives.
Depuis le 1er mars, la constitution finlandaise a intégré une clausepermettant
à tout citoyen majeur de soumettre au Parlement des propositions de
lois ou d'amendements. Si l'une de ces propositions est soutenue par 50
000 signatures, elle devra être soumise au vote des parlementaires. Pour
faciliter l'engagement des citoyens et leur accès aux propositions, une
organisation non gouvernementale a du coup mis au point Open Ministry. Menée par Joonas Pekkanen,
la plateforme fait appel notamment à des avocats, et permet aux
individus de mieux formaliser leurs suggestions et de rassembler plus
aisément autour. Une initiative de crowdsourcing sur la gouvernance de
son pays, finalement.
Source : L'Atelier
Une existence validée
Et bonne nouvelle : il y a quelques jours, le gouvernement a approuvé et validé la technologie d'authentification électronique utilisée par le site. Une validation qui assure que les données privées des citoyens sont correctement préservées. Et qui permet de valider le fait que le gouvernement prendra en compte les propositions émises par des individus en provenance d'Open Ministry. Cette solution consiste en fait en l'utilisation d'API mises à disposition par les banques et les opérateurs, et qui impose aux internautes de s'identifier en utilisant leurs codes de client d'une banque, ou leur téléphone mobile. Ainsi, ils ne transmettent que les données nécessaires qui justifient leur légitimité pour cet acte.Passer par sa banque
Dans le détail, la plateforme open source propose aux citoyens de soumettre des idées. Celles-ci peuvent être commentées, affinées, améliorées, par l'organisation, les avocats avec qui elle collabore, et les membres. Toutes les propositions ne sont pas acceptées. Celles qui le sont ensuite mises en forme par les avocats. Pour communiquer, la plateforme essaie également d'être la plus présente possible sur les réseaux sociaux. Open Ministry a ouvert officiellement ses portes le 1er Octobre 2012 et compte déjà quelques projets de loi variés comme l’interdiction d’élevage pour la fourrure (43 500 signatures) ou encore l’interdiction des boissons énergisantes pour les moins de 16 ans.Source : L'Atelier
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The Mobile 15: Our picks for the most innovative companies
These are the companies, startups and giants alike, that are changing or could potentially change the mobile landscape in the most profound ways.
The mobile industry has changed radically in just a few years: We’ve had the smartphone revolution and the app revolution. And it was only three years ago that the tablet was written off as failed experiment. Now, it is testing the physical boundaries of the internet.
What’s next? Faster and cheaper mobile networks, an array of new devices to connect to those networks, disruptive payment models, and more captivating user interfaces. So which companies are likely to help power that new wave of innovation? Welcome to The Mobile 15.
The Mobile 15 includes some big brands, like Alcatel-Lucent and Samsung, but also some lesser-known names, like the printed memory company ThinFilm and crowdsourced traffic app developer Waze. Some of our picks may surprise you, like the inclusion of long-suffering Nokia. We know Nokia has hit a rough patch in recent years, but we think its attempts to radically reinvent itself with a new OS and new technologies are compelling — see more on our rationale below.
A word about our methodology: To create the list, we didn’t simply pick a bunch of names we liked and throw them into a spreadsheet. Our team — which included writers Katie Fehrenbacher, Kevin Tofel, Ryan Kim and Stacey Higginbotham– submitted dozens of candidates in categories ranging from app development to handset technologies to infrastructure vendors. We even included the Internet of Things — companies are turning everything from medical devices, energy-management systems and product packaging into small mobile computers.
We then graded every company on several different measures of innovation. Those with the highest total innovation scores earned a spot on our Mobile 15 list. Some of these companies, like Israeli startup Intucell, are working on one-time innovations, while others, like Apple, of course, have a longer track record of breakthroughs. What connects all the companies on our list is that they will have a big impact on the mobile industry.
So keep your eye on these companies in coming months. To the 15!
Source : GigaOM
What’s next? Faster and cheaper mobile networks, an array of new devices to connect to those networks, disruptive payment models, and more captivating user interfaces. So which companies are likely to help power that new wave of innovation? Welcome to The Mobile 15.
The Mobile 15
These aren’t necessarily the most successful companies in the mobile world, though you could argue that a few of them might qualify for those lists as well. Rather, what we’re highlighting here is simply innovation: These are the companies, startups and giants alike, that are changing, or could potentially change, the mobile landscape in the most profound ways. We’ll be talking about this list — as well as many of broader themes and challenges in mobile– at Mobilize, our conference in San Francisco later this week.The Mobile 15 includes some big brands, like Alcatel-Lucent and Samsung, but also some lesser-known names, like the printed memory company ThinFilm and crowdsourced traffic app developer Waze. Some of our picks may surprise you, like the inclusion of long-suffering Nokia. We know Nokia has hit a rough patch in recent years, but we think its attempts to radically reinvent itself with a new OS and new technologies are compelling — see more on our rationale below.
A word about our methodology: To create the list, we didn’t simply pick a bunch of names we liked and throw them into a spreadsheet. Our team — which included writers Katie Fehrenbacher, Kevin Tofel, Ryan Kim and Stacey Higginbotham– submitted dozens of candidates in categories ranging from app development to handset technologies to infrastructure vendors. We even included the Internet of Things — companies are turning everything from medical devices, energy-management systems and product packaging into small mobile computers.
We then graded every company on several different measures of innovation. Those with the highest total innovation scores earned a spot on our Mobile 15 list. Some of these companies, like Israeli startup Intucell, are working on one-time innovations, while others, like Apple, of course, have a longer track record of breakthroughs. What connects all the companies on our list is that they will have a big impact on the mobile industry.
So keep your eye on these companies in coming months. To the 15!
Source : GigaOM
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Sep 19, 2012 - 10:16AM PT Building data startups team up around real-time energy data
Building data startups Honest Buildings and Lucid Design Group are teaming up to put the real time energy data of thousands of commercial and government buildings online.
Two startups with tools that can unleash the hidden data within buildings have teamed up around real time energy data. Lucid Design Group, which installs energy dashboards and wireless sensor systems for buildings, has integrated its customers’ real time energy data into Honest Building‘s site that aggregates data about the energy use and green characteristics of buildings.
Essentially, the bulk of Lucid Design Group’s building customers (2,000 of ‘em) — like Brown University, Turner Construction and the city of Bloomington, Indiana — will be displaying their real time energy data on Honest Building’s site. For example, in the screenshot below, you can see the energy use of DPR Construction’s office building in San Diego by 15 minute intervals, broken down by appliance, and compared to national and local averages.
Honest Buildings has created a site that pulls in data about energy use and green characteristics of buildings from a variety of sources including data from the building owners, green building technology service providers and public databases. The Honest Buildings team displays all this data for free online, and hopes to promote transparency and some friendly competition between building managers by exposing this data (they also have a subscription premium service).
Real time energy data could add a level of granular data that the Honest Building’s site previously didn’t have. As the two companies explained to me in a phone interview this week, a lot of the publicly-available data about building energy use is annual, which doesn’t paint too accurate a picture of what it’s like to rent space or live in the building. But real-time energy data allows building managers or potential tenants of the buildings to get a much better sense of the costs and energy usage of the buildings.
Honest Buildings earlier this month raised its first round of venture funding led by RockPort Capital and Mohr Davidow Ventures. Previously the company, which is about a year old, raised an angel round from Spring Ventures; Jason Scott, managing partner at EKO Asset Management Partners; and Lisa Gansky, author of The Mesh. Lucid Design Group, founded in 2004, has raised $1.5 million led by Dry Creek Ventures.
Source : GigaOM
Essentially, the bulk of Lucid Design Group’s building customers (2,000 of ‘em) — like Brown University, Turner Construction and the city of Bloomington, Indiana — will be displaying their real time energy data on Honest Building’s site. For example, in the screenshot below, you can see the energy use of DPR Construction’s office building in San Diego by 15 minute intervals, broken down by appliance, and compared to national and local averages.
Honest Buildings has created a site that pulls in data about energy use and green characteristics of buildings from a variety of sources including data from the building owners, green building technology service providers and public databases. The Honest Buildings team displays all this data for free online, and hopes to promote transparency and some friendly competition between building managers by exposing this data (they also have a subscription premium service).
Real time energy data could add a level of granular data that the Honest Building’s site previously didn’t have. As the two companies explained to me in a phone interview this week, a lot of the publicly-available data about building energy use is annual, which doesn’t paint too accurate a picture of what it’s like to rent space or live in the building. But real-time energy data allows building managers or potential tenants of the buildings to get a much better sense of the costs and energy usage of the buildings.
Honest Buildings earlier this month raised its first round of venture funding led by RockPort Capital and Mohr Davidow Ventures. Previously the company, which is about a year old, raised an angel round from Spring Ventures; Jason Scott, managing partner at EKO Asset Management Partners; and Lisa Gansky, author of The Mesh. Lucid Design Group, founded in 2004, has raised $1.5 million led by Dry Creek Ventures.
Source : GigaOM
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vendredi 5 octobre 2012
The 14 Most Interesting Startups To Emerge From DEMO
DEMO Fall 2012 wrapped up in Santa Clara today, where 77 startups took the stage to show off their apps, services and products. The young companies were given six minutes to pitch their ideas and impress the audience, collectively competing for the $1 million advertising prize that went to the idea with the most promise.
From a bird identification app and an “Internet of Things” to
apartment finders and augmented reality, here are the 14 startups that
stood out from the pack during the three-day launch event.
So RentLingo decided to use social networking to make the rental process less of a pain in the ass and help landlords find great tenants and renters find the best apartments. To do that, the startup aggregates info from the major listings players and uses Facebook’s Open Graph to give users social context as they search for apartments. It presents this all via a dynamic map UI, giving listings more of a localized feel and allowing you to see what friends have lived in a particular area and reach out to them (within the app) to ask questions.
Your friends can then drag and drop a comment about the apartment, all of which is visible to people within your network and social graph. The site aggregates and lets you view all of this social sentiment around each listing, aiming to provide a more effective and relevant “review” system. Listings with reviews from your network show up as blue pins, while national listings show up as red pins, all of which can be easily filtered by price, size, location and recency.
The idea is to turn the platform into a place where owners go to see what renters are saying about them (a la Yelp) and to help students and renters find great spots with the help of their social graph and location targeting. With Padmapper, Craigslist, Zumper and seemingly hundreds more, it’s a crowded space, but RentLingo has taken a unique angle that could be powerful at scale.
Austin-based Ube (pronounced yoo-bee) took home the “People’s Choice Award” at DEMO because it plays into our sci-fi-fueled visions of what technology will do to our homes over the next few decades. The startup is trying to take the unintuitive and costly world of home technology and make it simple and cheap, while removing the need for extra hardware or programming.
Ube’s app allows users to easily control IP-enabled smart devices using their Android or iPhone. This includes smart TVs, set top boxes, AV receivers, DVD players, thermostats, garage doors openers and more. You can even use the app to control your devices while you’re away from home using the Ube Cloud — all you need is a smartphone and a WiFi router. The company said that its app will work with over 200 IP-controlled devices when it launches next month. Peter covered Ube’s launch yesterday, which you can check out here for an in-depth review.
It was also a big day for Rock Health (and healthtech at large), as two of DEMO’s five winners were part of the health accelerator’s most recent batch. We covered Rock Health’s third batch here, and descriptions are included below.
Neumitra develops data-driven technologies to address the effects of stress on health, productivity, and happiness. More specifically, the company is developing both wearable and mobile tech that uses biosensors to monitor your autonomic nervous system and the contextual and personal cues that set off stress. The company collects that data, offering analytics and a dashboard that highlight key metrics — both for individuals and large organizations.
At DEMO, Neumitra presented its newest product, Bandu, a smart watch that helps users reduce stress and “slow down.” Using smart sensors to identify biometric signals, Bandu monitors your body temperature, motion and skin conductance. When it finds significant changes in the norm (i.e. red flags that indicate an increase in stress), the device prompts you to take a number of mood-altering actions, of the non-narcotic or barbiturate variety, of course. Sending notifications to your phone, Bandu might suggest that you play a game, or call a kindly grandmother, or play some music.
NeuroTrack is a suite of behavioral assessment tools (software-based cognitive/visual tests) that can help identify the symptoms and diagnose Alzheimer’s disease and cognitive impairment up to four years before their onset. Nerotrack works with pharma companies and researchers to recruit candidates for clinical trials and to help measure drug efficacy, thereby speeding up the process of drug development.
DEMO saw the launch of NeuroTrack’s newest product, which aims to make Alzheimer’s diagnosis more widely accessible by removing the need to take an eye-tracking test and, instead, simply allows users to take the test using a mouse or trackpad.
ElectNext aims to help anyone and everyone get informed and stay engaged with important political issues. People are busy and generally stay away from politics, but apparently our votes count and can help shape policy that determines how we live our lives — or at least so we’re told. At the very least, we could all stand to be a little bit more informed. So, ElectNext aims to make that easy through a little visual Q&A and some dating dynamics.
The end-goal is to match users with the right politician (the one who aligns closest with your political views) and does so by prompting them to choose the three issues that matter to them most. The site then asks an additional ten questions, using your responses to determine your political match. If that doesn’t satisfy, users can go through each question, digging down into the data and compare each politician’s stand on the particular issue.
Users can then make a donation to their chosen candidate and engage with them on various networks. Obviously, it’s simple as is, but you can see this potentially being a useful platform for politicians to engage their constituency based on issues that matter to them and a way to disseminate propositions (oh, California), petitions, etc. ElectNext itself simply wants to create a tool that increases voter participation in the U.S. Even if this isn’t the way to do it, the goal is an admirable one. But good luck with the young people, I hear they’re apathetic.
Ecolek’s Birdeez grew out of a student project at UC Santa Barbara. A bird in the hand is worth two on your phone, or something. The app, simply put, helps bird-watchers identify and track whales. No, just kidding, it helps them track birds they see on their routine bird-watching adventures. Birdeezows read descriptions of the avian animals you identify, keep track of all your sightings and even tweet about it. Get it? Tweet? Warning: This app may not have quite as much utility if you’re an urban dweller. You can only identify pigeons so many times.
Flinja is out to help college students and recent grads find jobs — at least part time. Which is an awesome mission given the un-and-underemployment epidemic among this age group. Flinja wants to turn college students into a freelance workforce, offering an eMarketplace in which they can make themselves available for freelance work. A bit like Zaarly or TaskRabbit with a twist, students post the services they want to provide and employers and faculty can book directly. The idea, writ large, is to give students one place where they can search for jobs and internships, make connections and build a professional network and make a few bucks on the side.
Users can set up their phones, for example, so that access is granted only by scanning their glorious visage. On top of that, the app (which will be available on iOS and Android in the coming months) lets you choose different levels of security for individual sites or apps, so you could keep nosey roommates out of your Dropbox account or your Gmail. Or maybe your son or daughter has been racking up your bill from in-app purchases in a game on your iPad, in which case you could have PassBan grant access if and when it hears your voice.
Another cool feature: The app works remotely, so that you could, say, grant or deny access to websites your progeny is trying to view at home while you’re at work. Users can pick and choose between voice, face, location, etc. for different apps and websites or set up a combo of those on one particular app or website. The startup is currently in beta and will be launching to the public soon. So stay tuned.
Bizness Apps: We’ve written about this startup a number of times, thanks to their simple tools that allow individuals or businesses to quickly and affordably create their own mobile apps for iOS, Android or the Web (with HTML5) — even if they don’t have any technical know-how.
While the startup also offers a white-label program for DIY app development, at DEMO the startup added a new product to its growing arsenal of tools for the SMB market. The new product, called Bizness CRM, was initially built internally to help its white-label resellers sell apps and websites to startups and small businesses. Unable to find a good third-party product to recommend for those looking to sell to SMBs, the team turned it into a product.
One of the CRM platform’s key features is a lead generator that allows users to find leads in any industry, any location and then narrow that list based off of optional criteria, like “has website” or “has Twitter page,” etc. Obviously, a small business that has a quality website and a social media presence is much more likely to invest in a mobile app if they’ve already seen results from traditional marketing, so this helps sales teams and marketers save time and narrow the field.
The platform also includes a tracking pipeline, a scheduling calendar, a metrics dashboard, team collaboration and a native iPhone app to track sales on the go.
Portland-based Tellagence is making a bold claim: The startup believes that it has developed technology that allows it to predict the flow of content on social networks — who will share information on any network. Simply put, the social prediction technology uses algorithms to analyze and measure the enormous amount of interactions, behavior and changes that take place every day across social networks.
Not just another social analytics platform, Tellagence instead calls itself a “conversation monitoring system” that identifies context and relationship dynamics to predict the path of communication. The goal is to allow brands and businesses to optimize marketing efforts and increase reach by moving away from focusing on individual influencers to targeting smaller, key group of users and their most significant relationships.
The startup’s first product focuses on Twitter and is geared toward enterprise marketers. For more on the science, go here.
Bonfyre is a photo and content-sharing app that lets users create private groups to share with those who matter most (and will find the share relevant). Those private groups are created around events, which become part of group photostreams and forums to enable reminiscing, event planning and good ole realtime mobile sharing.
Blipboard is a personalized mobile map of the exciting stuff happening around you. The map surfaces places and events nearby based on the activity and interests of your friends, influencers and other businesses. Users can create “blips” or location-based alerts designed to attract others to the venue. The app is headed to the app store shortly.
Candy Lab’s new mobile app uses augmented reality to turn the world around you into a video game — with advertising. The company calls Cachetown a combination of “Google AdWords, Foursquare, and Super Mario Brothers,” delivering its game layer in location-based AR.
Top Photo Credit: Stephen Brashear
The Winners
RentLingo, which was picked as the best of the “Alpha Pitches” given by student entrepreneurs, began as a simple class project at Stanford. Co-founders Dan Lauer and Byron Sing interviewed hundreds of tenants, apartment owners and property managers, during which a pattern emerged. Although there are scores of sites that allow you to browse apartment listings, there is no easy way to find information on prospective tenants, roommates or sublets.So RentLingo decided to use social networking to make the rental process less of a pain in the ass and help landlords find great tenants and renters find the best apartments. To do that, the startup aggregates info from the major listings players and uses Facebook’s Open Graph to give users social context as they search for apartments. It presents this all via a dynamic map UI, giving listings more of a localized feel and allowing you to see what friends have lived in a particular area and reach out to them (within the app) to ask questions.
Your friends can then drag and drop a comment about the apartment, all of which is visible to people within your network and social graph. The site aggregates and lets you view all of this social sentiment around each listing, aiming to provide a more effective and relevant “review” system. Listings with reviews from your network show up as blue pins, while national listings show up as red pins, all of which can be easily filtered by price, size, location and recency.
The idea is to turn the platform into a place where owners go to see what renters are saying about them (a la Yelp) and to help students and renters find great spots with the help of their social graph and location targeting. With Padmapper, Craigslist, Zumper and seemingly hundreds more, it’s a crowded space, but RentLingo has taken a unique angle that could be powerful at scale.
Austin-based Ube (pronounced yoo-bee) took home the “People’s Choice Award” at DEMO because it plays into our sci-fi-fueled visions of what technology will do to our homes over the next few decades. The startup is trying to take the unintuitive and costly world of home technology and make it simple and cheap, while removing the need for extra hardware or programming.
Ube’s app allows users to easily control IP-enabled smart devices using their Android or iPhone. This includes smart TVs, set top boxes, AV receivers, DVD players, thermostats, garage doors openers and more. You can even use the app to control your devices while you’re away from home using the Ube Cloud — all you need is a smartphone and a WiFi router. The company said that its app will work with over 200 IP-controlled devices when it launches next month. Peter covered Ube’s launch yesterday, which you can check out here for an in-depth review.
It was also a big day for Rock Health (and healthtech at large), as two of DEMO’s five winners were part of the health accelerator’s most recent batch. We covered Rock Health’s third batch here, and descriptions are included below.
Neumitra develops data-driven technologies to address the effects of stress on health, productivity, and happiness. More specifically, the company is developing both wearable and mobile tech that uses biosensors to monitor your autonomic nervous system and the contextual and personal cues that set off stress. The company collects that data, offering analytics and a dashboard that highlight key metrics — both for individuals and large organizations.
At DEMO, Neumitra presented its newest product, Bandu, a smart watch that helps users reduce stress and “slow down.” Using smart sensors to identify biometric signals, Bandu monitors your body temperature, motion and skin conductance. When it finds significant changes in the norm (i.e. red flags that indicate an increase in stress), the device prompts you to take a number of mood-altering actions, of the non-narcotic or barbiturate variety, of course. Sending notifications to your phone, Bandu might suggest that you play a game, or call a kindly grandmother, or play some music.
NeuroTrack is a suite of behavioral assessment tools (software-based cognitive/visual tests) that can help identify the symptoms and diagnose Alzheimer’s disease and cognitive impairment up to four years before their onset. Nerotrack works with pharma companies and researchers to recruit candidates for clinical trials and to help measure drug efficacy, thereby speeding up the process of drug development.
DEMO saw the launch of NeuroTrack’s newest product, which aims to make Alzheimer’s diagnosis more widely accessible by removing the need to take an eye-tracking test and, instead, simply allows users to take the test using a mouse or trackpad.
ElectNext aims to help anyone and everyone get informed and stay engaged with important political issues. People are busy and generally stay away from politics, but apparently our votes count and can help shape policy that determines how we live our lives — or at least so we’re told. At the very least, we could all stand to be a little bit more informed. So, ElectNext aims to make that easy through a little visual Q&A and some dating dynamics.
The end-goal is to match users with the right politician (the one who aligns closest with your political views) and does so by prompting them to choose the three issues that matter to them most. The site then asks an additional ten questions, using your responses to determine your political match. If that doesn’t satisfy, users can go through each question, digging down into the data and compare each politician’s stand on the particular issue.
Users can then make a donation to their chosen candidate and engage with them on various networks. Obviously, it’s simple as is, but you can see this potentially being a useful platform for politicians to engage their constituency based on issues that matter to them and a way to disseminate propositions (oh, California), petitions, etc. ElectNext itself simply wants to create a tool that increases voter participation in the U.S. Even if this isn’t the way to do it, the goal is an admirable one. But good luck with the young people, I hear they’re apathetic.
Ecolek’s Birdeez grew out of a student project at UC Santa Barbara. A bird in the hand is worth two on your phone, or something. The app, simply put, helps bird-watchers identify and track whales. No, just kidding, it helps them track birds they see on their routine bird-watching adventures. Birdeezows read descriptions of the avian animals you identify, keep track of all your sightings and even tweet about it. Get it? Tweet? Warning: This app may not have quite as much utility if you’re an urban dweller. You can only identify pigeons so many times.
Flinja is out to help college students and recent grads find jobs — at least part time. Which is an awesome mission given the un-and-underemployment epidemic among this age group. Flinja wants to turn college students into a freelance workforce, offering an eMarketplace in which they can make themselves available for freelance work. A bit like Zaarly or TaskRabbit with a twist, students post the services they want to provide and employers and faculty can book directly. The idea, writ large, is to give students one place where they can search for jobs and internships, make connections and build a professional network and make a few bucks on the side.
Notables
PassBan — One of my favorite products from DEMO was PassBan, an app that offers multi-factor verification for your mobile device and more. While there are a multitude of security apps and password keepers that help keep devices and sensitive digital info secure, few offer users the ability to unlock websites and devices by way of voice, motion, facial recognition, location and token verification.Users can set up their phones, for example, so that access is granted only by scanning their glorious visage. On top of that, the app (which will be available on iOS and Android in the coming months) lets you choose different levels of security for individual sites or apps, so you could keep nosey roommates out of your Dropbox account or your Gmail. Or maybe your son or daughter has been racking up your bill from in-app purchases in a game on your iPad, in which case you could have PassBan grant access if and when it hears your voice.
Another cool feature: The app works remotely, so that you could, say, grant or deny access to websites your progeny is trying to view at home while you’re at work. Users can pick and choose between voice, face, location, etc. for different apps and websites or set up a combo of those on one particular app or website. The startup is currently in beta and will be launching to the public soon. So stay tuned.
Bizness Apps: We’ve written about this startup a number of times, thanks to their simple tools that allow individuals or businesses to quickly and affordably create their own mobile apps for iOS, Android or the Web (with HTML5) — even if they don’t have any technical know-how.
While the startup also offers a white-label program for DIY app development, at DEMO the startup added a new product to its growing arsenal of tools for the SMB market. The new product, called Bizness CRM, was initially built internally to help its white-label resellers sell apps and websites to startups and small businesses. Unable to find a good third-party product to recommend for those looking to sell to SMBs, the team turned it into a product.
One of the CRM platform’s key features is a lead generator that allows users to find leads in any industry, any location and then narrow that list based off of optional criteria, like “has website” or “has Twitter page,” etc. Obviously, a small business that has a quality website and a social media presence is much more likely to invest in a mobile app if they’ve already seen results from traditional marketing, so this helps sales teams and marketers save time and narrow the field.
The platform also includes a tracking pipeline, a scheduling calendar, a metrics dashboard, team collaboration and a native iPhone app to track sales on the go.
Portland-based Tellagence is making a bold claim: The startup believes that it has developed technology that allows it to predict the flow of content on social networks — who will share information on any network. Simply put, the social prediction technology uses algorithms to analyze and measure the enormous amount of interactions, behavior and changes that take place every day across social networks.
Not just another social analytics platform, Tellagence instead calls itself a “conversation monitoring system” that identifies context and relationship dynamics to predict the path of communication. The goal is to allow brands and businesses to optimize marketing efforts and increase reach by moving away from focusing on individual influencers to targeting smaller, key group of users and their most significant relationships.
The startup’s first product focuses on Twitter and is geared toward enterprise marketers. For more on the science, go here.
Ones To Watch
YouBetMe is an app that lets you challenge your friends (and strangers) to a wager about anything — at anytime. The app lets you capitalize on all of life’s betting opportunities, whether it’s on Monday Night Football, whether your startup will get covered by TechCrunch, how many Jello shots you can take, etc. Users can also create and confirm bets on the go through the app’s SMS-based betting platform, tracking betting data and view public ratings designed to keep bettors honest.Bonfyre is a photo and content-sharing app that lets users create private groups to share with those who matter most (and will find the share relevant). Those private groups are created around events, which become part of group photostreams and forums to enable reminiscing, event planning and good ole realtime mobile sharing.
Blipboard is a personalized mobile map of the exciting stuff happening around you. The map surfaces places and events nearby based on the activity and interests of your friends, influencers and other businesses. Users can create “blips” or location-based alerts designed to attract others to the venue. The app is headed to the app store shortly.
Candy Lab’s new mobile app uses augmented reality to turn the world around you into a video game — with advertising. The company calls Cachetown a combination of “Google AdWords, Foursquare, and Super Mario Brothers,” delivering its game layer in location-based AR.
Top Photo Credit: Stephen Brashear
Source : Techcrunch
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