mercredi 19 mai 2010

Aux US, le mobile est couramment utilisé pour comparer les prix

Un tiers des consommateurs se sert de son téléphone portable pour obtenir des informations sur un produit, ou souscrire à des offres promotionnelles.

Mobile

Les consommateurs américains sont de plus en plus enclins à utiliser leur mobile pour effectuer des économies sur les produits de première nécessité, indique dans une étude le cabinet Deloitte. Un tiers des personnes interrogées affirme ainsi se renseigner auprès des entreprises et grandes surfaces en souscrivant à des courriers électroniques, ou des coupons via leur mobile. Une augmentation de près de 8 point par rapport à 2008. "Aujourd'hui, les clients n'utilisent pas seulement Internet pour obtenir des informations nutritionnelles ou de santé à propos de la nourriture qu'ils consomment", constate Pat Conroy, responsable de l'étude. "Ils se servent de leur mobile pour comparer les prix et faire leur choix", poursuit-il.

Un rôle clé dans la prise de décision des clients

Pour Deloitte, les smartphones jouent désormais un rôle clé dans la prise de décision des clients, en particulier lorsqu'ils se posent la question du coût des produits. En soulignant l'influence de la conjoncture économique actuelle dans cette évolution. Selon l'étude, près d'un quart des consommateurs reconnaît s'être rendu sur le site d'une grande surface pour obtenir de l'information sur un bien. La même proportion affirme avoir déjà effectué un achat suite à son passage sur l'un de ces sites.

Le portable utilisé en magasin

Un peu moins d'une personne interrogée sur dix au cours de l'étude a affirmé avoir déjà utilisé son portable à l'intérieur même du magasin, pendant ses courses. Pour plus de la moitié d'entre eux, il s'agissait de comparer les prix, ou de recevoir des promotions via des coupons mobiles. Contre moins d'un tiers qui recherchait des informations nutritionnelles. Autre chose : les consommateurs masculins sont plus à même de se servir de leur téléphone pour comparer les prix (près de 60 % des hommes le font, contre moins de 50 % pour les consommatrices).

Source: L'Atelier

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