mardi 28 décembre 2010

Startupers.fr le réseau social des startups en France

Startupers

Startupers.fr est un nouveau site qui a pour but de rassembler, faire communiquer et s’entraider les jeunes créateurs de startups en France, porteurs de projets et professionnels du business. Autrement dit c’est en quelque sorte un réseau social français des startups.

Le site étant en beta, vous devez faire la demande d’un code invitation pour pouvoir y accéder. Au moment du processus d’inscription, on vous demande dans quelle catégorie vous êtes (blogueur, entrepreneur, investisseur, …) et vous vous géolocalisez sur une carte. Cela permet de voir les jeunes créateurs d’entreprises près de chez vous et regarder s’il y a des affinités possibles (comme sur un site de rencontre).

Ensuite vous pouvez rejoindre des groupes selons vos intérêts (business, marketing, levée de fonds, etc.). Startupers.fr a aussi un annuaire des organisations inscrites, la liste des startups par ordre alphabétique, un agenda des événements à venir (apéro, déjeuners, rencontres), des petites annonces gratuites (emplois, prêts, bureaux, location/vente..) et un blog en construction.

Pour résumer, une belle initiative bénévole de la part de ParisLabs.

Source: Vincent Abry

samedi 25 décembre 2010

Comment le secteur de la TV connectée est en train de se structurer

En 2010, 5 % des téléviseurs de France sont connectés à Internet. D'ici 2012, les TV connectées devraient représenter plus d'un quart du parc français, affirme NPA Conseil. Constructeurs, portails et fournisseurs de contenus cherchent donc à se positionner au mieux sur ce marché naissant. Quels usages vont s'y développer ? Quels modèles économiques et stratégies de partenariat sont les plus prometteurs ?
Source: Le Journal du Net

Tim Burton lance un "cadavre exquis" participatif sur Twitter

Mais quelle est donc cette étrange matière gluante sur laquelle Stainboy doit enquêter ? A vous de le dire ! Tim Burton propose en effet depuis quelques jours aux internautes du monde entier de contribuer à la construction d'un roman sur un mode qui n'est pas sans rappeler le « cadavre exquis » cher aux surréalistes, par le biais du réseau social Twitter. Le réalisateur d'Ed Wood ou d'Edward aux mains d'argent chercherait-il des idées pour son prochain scénario ?

Le cadavre exquis est pour mémoire une technique de narration qui consiste à faire composer une phrase par différentes personnes, mot après mot, sans que les protagonistes n'aient connaissance de ce qui a été choisi avant ou après leur contribution. Chez Burton, la démarche n'est toutefois pas aussi aléatoire : souhaitant parvenir à la construction d'une histoire cohérente, il permet en effet aux internautes de prendre connaissance des contributions précédemment retenues, recensées sur la page du projet, lui-même hébergé par le festival du film de Toronto.

Les amateurs pourront y proposer leurs contributions, qui s'afficheront également sur la page Twitter associée à leur compte, histoire d'assurer la notoriété de l'entreprise. Chaque jour, une proposition est sélectionnée et ajoutée à la trame de l'histoire, qui se compose pour l'instant de onze phrases. Le dénouement ne devrait pas intervenir avant la fin de l'expérience, le 17 avril prochain. Parce qu'on aime notre prochain, on parie que les internautes s'arrangeront pour que Stainboy ait raison de la super gélatine. Reste à savoir de quelle façon cet ouvrage à mille mains sera exploité ?

Tim Burton Stainboy cadavre exquis twitter

Source: Clubic Pro

La Poste fusionnerait ses activités mobile avec Debitel

A l'issue de l'opération, La Poste détiendrait 51 % du MVNO actuellement contrôlé par SFR.

La Poste, qui compte lancer une offre de téléphonie mobile en 2011 (lire l'article La Poste veut devenir MVNO en 2011, du 09/03/2010) s'apprêterait à fusionner ses futures opérations mobiles avec le MVNO Debitel, contrôlé à 40 % par SFR. Selon "Les Echos", La Poste détiendrait 51 % de la coentreprise et SFR 49 % à l'issue de l'opération. Debitel, qui possède les marques Simplicime (300 000 clients) et Mobisud, pourrait les faire disparaître au profit d'une marque unique, "La Poste mobile".

Fin août, La Poste était entrée en négociations exclusives avec SFR pour opérer son réseau, choix validé au début du mois de novembre par le conseil d'administration du groupe public. L'objectif de La Poste serait de conquérir plus de 1,5 million de clients en moins de quatre ans. Elle compte notamment sur son maillage de la France à travers 17 000 bureaux. 8500 bureaux feraient du libre service, et dans 2000 autres les employés seraient formés à la vente en téléphonie. Il n'a pas été précisé si les marques de Debitel seraient intégrées à La Poste Mobile.

Le futur MVNO espèrerait faire le plein de clients en lançant son activité mobile avant celle de Free, qui a obtenu fin 2009 la quatrième licence d'opérateur mobile 3G, et doit lancer son offre début 2012 (lire le dossier Ce que Free veut faire de sa licence 3G, du 18/12/2009).

Au troisième trimestre, les MVNO ont retrouvé le chemin de la croissance avec une part de marché en métropole qui s'est établie à 6,34 % contre 5,56 % un an auparavant (lire l'article : Le marché du mobile retrouve la croissance, du 05/11/2010). L'ensemble des MVNO comptait 3,5 millions de clients fin 2009, dont 1,7 millions pour Virgin Mobile. En 2009, La Poste générait 120 millions d'euros de chiffre d'affaires, pour 500 000 clients, en vendant des cartes prépayées des opérateurs de MVNO.

Source: Le Journal du Net

Visa va proposer des cartes de paiement géolocalisées

Afin de limiter la fraude et protéger ses clients, Visa Europe compte mettre en place un nouveau système permettant de localiser le possesseur d'une carte de paiement. Les banques pourront alors véritablement tracer leurs clients grâce à leur téléphone portable.


Visa et MasterCard Carte de crédit
L'intérêt de la mesure réside dans la possibilité pour un établissement bancaire de vérifier si un de ses clients se trouve bien physiquement à l'endroit où la transaction est réalisée. Elle devrait aussi permettre de retrouver plus rapidement le détenteur d'une carte officielle volée. Concrètement, si la carte se trouve dans un endroit différent du téléphone portable, la banque pourra avoir des doutes.

Visa a donc passé accord avec la société irlandaise ValidSoft afin de lancer la production de ces cartes « géo-localisables ». Des tests devraient être menés prochainement avec trois banques encore inconnues.

Outre l'aspect technologique de la mesure, on peut néanmoins se poser des questions quant aux détournements possibles de cette fonction. A titre d'exemple, le site Wired vient de découvrir qu'aux Etats-Unis, certaines agences fédérales n'hésitaient pas à traquer certains suspects grâce à leurs cartes de crédit, ou même via des réservations de transport, sans aucun mandat les y autorisant…

Source: Clubic Pro

Les 20 services Web d'Europe à la plus forte croissance

les media momentum awards ont récompensé les médias numérique européens à la
Source: Le Journal du Net


Reconnus comme l'un des principaux baromètres de l'Internet, les "Media Momentum Awards" organisés par GP Bullhound couronnaient cette année les cinquante sociétés numériques d'Europe ayant enregistré la plus forte progression de leur chiffre d'affaires entre 2007 et 2009. Voici les vingt premières.

Les levées de fonds de l'e-busniess au 2e semestre

103 millions d'euros pour l'e-commerce, 34 millions pour les médias en ligne... Voici secteur par secteur les levées de fonds effectuées au deuxième semestre 2010 par les acteurs français de l'e-business.

Source: Le Journal du Net

La vidéo en ligne en 2011 : télés connectées, recommandations sociales et guerre des standards

D’après une adaptation de l’article de Jeremie Allaire fondateur de Britghcove, plateforme de vidéo en ligne.

La web vidéo n’est qu’à ces débuts et 2011 promet d’être une nouvelle année de changements de la vidéo en ligne. La scène est prête pour accueillir de plus en plus de télés connectées et de vidéos à visionner directement en streaming sur les sites web. Voici donc les plus fortes tendances qui marquerons de manière significative l’usage de la vidéo en ligne aussi bien pour les internautes que pour les annonceurs.

1. La guerre des plateformes de télés connectées :


L’année qui vient de s‘écouler a connu une réelle guerre entre les plateformes web émergentes sur la toile, celle qui arrive verra cette bataille s’étendre également au marché des plateformes de la Connected TV. On devrait s’attendre à ce que les batailles sur ce terrain soient très semblables à celles connues sur le marché des Smartphones ces dernières années mais avec quelques acteurs en plus. Google vs Apple vs les grandes marques de téléviseurs. En fait ces plateformes, seront basées sur une structure similaire à celle des Smartphones, avec une offre d’applis et un modèle permettant la création commune de contenu.
Apple mettra en place une offre d’Apple TV display basée sur iOS et ouvrira cette Apple TV à de nouvelles applications par le biais de Netflix. Les développeurs auront un modèle de base commun pour créer des applis sur mobile, tablettes et TV ainsi que de nouvelles API pour les applis mobiles et tablettes permettant d’interagir avec ces nouvelles applications télé. Cette plateforme supportera du HTML5 avec des standards de design spécifiques à la Web TV.
Google qui a déjà lancé un tel produit va se développer sur ce secteur en créant des modèles qui intègrent également les applis Android sur tous les appareils.

De plus les fabricants de téléviseurs (ex. Samsung et LG), s’adapterons aussi aux SDK des applis TV, aux App Stores et aux standards de Web TV basés sur du HTML5, dans le but de maintenir leur position sur le marché et garder leur place dans le salon du consommateur en empêchant Apple et Google de s’accaparer l’expérience de l’utilisateur et la distribution d’applications.
Il faudrait alors s’attendre que d’ici la fin de l’année, grâce aux développeurs s’intéressant à la création d’applis TV et à l’expérience de web TV, l’offre de produits puisse se compter en dizaine de millions faisant ainsi de la plateforme une cible en plus attractive.

2. Les abonnements à la TV OTT vont émerger mais sans grand succès


L’idée longtemps mise en avant de la distribution des télés OTT (Over-The-Top) – via des services comme Google TV, Apple TV ou Boxee – qui coupera enfin le cordon entre les clients et leur fournisseurs de télé câblée, fera enfin son apparition en 2011 mais décevra largement ses utilisateurs.
Bien que les abonnements aux libraires de vidéo à la demande via des services comme Netflix, Xbox Live Marketplace et Amazon VoD offrent aux utilisateurs d’excellentes expériences et des librairies riches en contenu, elles n’offrent pas encore une alternative complète à l’abonnement au câble.
En 2011 on verra apparaître la première vague d’offres d’abonnements pour la TV sur internet. Attendez vous à voir Netflix faire payer pour les séries les plus regardées et les plus récentes, et Apple offrir un abonnement bas prix (à $25/mois) pour une collection de programmes à succès. Mais la plupart des productions et des studios n’y participeront pas de manière significative, les clients verront alors cette offre comme incomplète. Il est à noter également que l’absence de programmes sportifs sur de telles offres contribuera à maintenir les abonnements classiques sur le câble.
Parallèlement, nos classiques distributeurs de câble se mettront à offrir un contenu de plus en plus riche sur internet.
Il faudra attendre 2012, quand le taux de pénétration en Connected TV sera assez élevé, pour que les fournisseurs de télé en ligne soient enfin prêts à payer assez cher pour avoir les meilleurs programmes disponibles sur leurs offres.

3. Facebook et Twitter représenterons une plus large source de trafic vidéo que Google


Dans une récente étude publiée par Brighcove et TubeMogul, on a constaté que la source de trafic vidéo qui connaît la plus forte croissance sont les plateformes sociales Facebook et Twitter. Cette croissance s’accélère et le rôle de ces plateformes qui est de découvrir et visionner du contenu devrait atteindre un niveau aussi important que celui fournit par la recherche Google.
De plus en plus, les éditeurs de vidéos en ligne agiront sur Facebook comme sur une plateforme de publication aussi importante que leurs propres domaines web. Facebook accueillera et favorisera l’utilisation de son site comme un média de distribution finale, offrant ainsi une multitude d’outils à cet effet et un modèle économique qui ne requière pas un partage des revenus publicitaires générés par le nombre d’affichage sur son site. Cela sera particulièrement attractif et on verra de plus en plus d’applications type VOD qui seront lancées de manière concurrente sur Facebook et les sites classiques de publication vidéo.

4. La généralisation de la vidéo en ligne aux entreprises


Bien que ce soit dans le parfait cliché, nous verrons cette tendance s’accélérer. En 2011 si vous êtes une organisation, une institution professionnelle ou un entreprise quelle qu’en soit la taille, vous allez avoir une stratégie de vidéo en ligne. La vidéo est entrain de devenir une part importante des moyens de communication, de marketing, d’éducation et d’information en ligne, au point que tout site professionnel se munira d’une vidéo en ligne.
Au début cela ressemblera plus à l’ère de la brochure en ligne de la première génération Internet, avec un contenu pauvre en conception et en exécution. Par la suite une nouvelle ère de la production de web vidéo émergera un peu comme l’industrie du web développement a émergé dans le milieu des années 90, et les professionnels chercheront à s’améliorer pour atteindre leurs objectifs en utilisant la vidéo.

5. La guerre des standards sera à son comble


La récente déclaration de Google concernant leur acquisition de Widevine a ajouté de l’huile sur le feu à ce qui était déjà une importante guerre de plateformes sur comment la vidéo est conçue, sécurisée et lue aussi bien sur les ordinateurs que sur tous les autres appareils, hors PCs, en forte croissance.
Plusieurs solutions apparaissent pour chiffrer/sécuriser et par la suite déployer la vidéo sous un format haute qualité et de manière fiable sur toutes les plateformes et appareils. Apple offre Apple HTTP Streaming qui assure la sécurisation de la vidéo et une lecture adaptative en HTML5 et sous applis iOS, mais cette lecture reste propre aux dispositifs d’Apple et ses logiciels.
Adobe offre également son propre service DRM et ses standards de streaming HTTP, une offre qui est conçue pour fonctionner uniquement sur des plateformes supportant l’exécution de Flash.
Et enfin Google s’y rajoute aussi avec la technologie Widevine, qui fournit une autre méthode de chiffrage et de sécurisation de fichiers vidéo compatible avec n’importe quel système d’exploitation utilisant bitrate http en streaming.
Nous devrions nous attendre à ce que Google, comme avec les codecs vidéo On2 qui ont été open-sourcés comme norme vidéo WebM, mette en open-source et en distribution libre la technologie Widevine comme une partie standard de l’infrastructure sur Chrome, Chrome OS et les navigateurs d’Androïd et systèmes d’exploitation.

Tout ceci contribuera à enrichir la web vidéo sur des plateformes et des appareils de plus en plus diversifiés, et nous rapprochera davantage du jour où nous ne serons plus vraiment capable de dire quelle est la différence entre web et télé.

Source: Techcrunch

Six Social Media Trends for 2011

It was a banner year for social media growth and adoption. We witnessed Facebook overtake Google in most weekly site traffic, while some surveys reported nearly 95% of companies using LinkedIn to help in recruiting efforts. In my outlook for last year, I cited that mobile would become a lifeline to those looking for their social media fixes, and indeed the use of social media through mobile devices increased in the triple digits.

I also outlined how "social media would look less social" or more accurately exclusive, and indeed, we've seen the re-launch of Facebook groups, which focus on niche interactivity, and more recently, the emergence of Path, billed as "the social network for intimate friends" which limits your network to only 50 people. The past year also saw some brands go full throttle on Foursquare's game-like geo-location platform, attempting to reward mayors and creating custom badges for the network's power users.

In other areas, such as social media policy, I was less accurate. Conversations around the topic did begin to take place, But a global survey indicated that only 29 percent of companies even have a social media policy. That's not as high as I expected.

So what could we see happening in 2011? I'll take a stab at six trends again. In no particular order:

It's The Integration Economy, Stupid. From Ford, to Dell, to Starbucks (client), to Jet Blue, and a host of other companies who have pioneered early uses of social media for business, 2011 will be the year these companies take a serious look at integrating social media, not only regionally but globally. Don't be surprised if the same companies that piloted programs such as Ford's "Fiesta Movement" and Starbuck's Foursquare programs also become the first companies to take on the huge challenge of integrating social media into all facets of business from global marketing to crisis management and beyond.

Tablet & Mobile Wars Create Ubiquitous Social Computing. As competition heats up in the form of cheaper, smarter phones and an assortment of tablets that may hit the market (a $35 Tablet in India?), technology consumers will come one step closer to being connected 24/7, and in more powerful ways than previously possible. Social networking will be on the go, out of the house, and out of the office. More competition, variety, power, and affordability in devices will fuel the increase of ubiquitous social computing.

Facebook Interrupts Location-Based Networking. If 2010 belonged to Foursquare and its playful, competitive and sometimes addicting ecosystem of badges, mayorships and specials, it's likely that Facebook will rain on Foursquare's parade in 2011. With tons of data and the architecture behind Facebook's response to Foursquare about to be rolled out globally, Facebook is well positioned to actually make location based services useful to business.

Average Participants Experience Social Media Schizophrenia. While social media schizophrenia (the overload of multiple social profiles) is nothing new to tech mavens, it will become something that more and more "average" users experience as they tweet, Facebook, G-mail, chat, Skype, BBM, SMS, and Tumble their way across the social web. While many mavens have adopted ways to manage and cope, average users may find themselves at the beginning of the curve in need of a 12-step social identity program. This may lead to increased demand from typical participants to have a more integrated and simplified social graph and an opportunity for platforms and companies alike to meet this demand.

Google Doesn't Beat Them, They Join Them. In 2010, Wired told us that Facebook could beat Google to win the net. But even at the end of 2010 after failed attempts to create their own networks such as Buzz, Google could prove that the best way to beat Facebook, Twitter, and the rest is to do what Google does best: Index them to pieces. Indeed, I've already noticed Google's algorithm has become smarter about Twitter data. I only have to type in a few words to locate old tweets. It's possible that by sticking to what Google does best, they may be able to take advantage of the social web by indexing any and all social data they can get their hands on. Expect the Googleplex to "strike back" in 2011, and perhaps demonstrate that they may figure out their role and relevancy on the social Web.

Social Functionality Makes Websites Fashionable Again. After several years of being told to "fish where the fish are," businesses realize that users expect social integration to existing Websites. Sites such as AMEX Open forum serve as a model for how networks such as Twitter can integrate with the Web experience. Websites will increasingly serve as "digital hubs" that integrate social activity from many platforms. For example, Apple's music social network, named Ping, recently integrated Twitter. While the integration has kinks, it demonstrates that even the most iconic of brands realizes that they do not exist in their own walled garden. They must integrate to be relevant in a socially connected world.

These are a few emerging trends that come to my mind. I'm interested to hear what you think as well, so please weigh in with your own thoughts. Where do you see social media going in 2011?

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David Armano is a Senior Vice President at Edelman Digital, the interactive arm of global communications firm Edelman. He is an active practitioner and thinker in the worlds of digital marketing, experience design, and the social web. You can follow him on Twitter.



Source: Harvard Business Review

mercredi 22 décembre 2010

Le réseau électrique français est "dangereusement vieillissant"

Dans un entretien accordé au Parisien, l'ancien vice-président de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), Michel Lapeyre, dresse un constat alarmant de l'état du réseau électrique français. Selon M. Lapeyre, "le réseau est dangereusement vieillissant car les ouvrages les plus vétustes n'ont pas été remplacés au fur et à mesure comme il aurait fallu le faire". Il met en garde contre le vieillissement du réseau électrique, dont "les conséquences pourraient s'avérer dramatiques pour la sécurité des consommateurs".

M. Lapeyre est le coauteur d'un rapport sur le sujet en mars alors qu'il était encore vice-président de la CRE. Il affirme que ce texte a été "vidé de toute substance susceptible de créer la polémique".

Interrogé sur le lien entre cette situation et le changement de statut d'EDF, aujourd'hui cotée en Bourse, il a regretté que "le capital d'EDF ait été ouvert sans que soient instaurés les garde-fous nécessaires". "Il faudrait que le cahier des charges d'ERDF [filiale d'EDF chargée de la distribution] comprenne de réelles obligations de qualité", préconise-t-il, reconnaissant toutefois que "l'équation à résoudre est difficile".
Source : Le Monde, 22/12/10

Top 20 Tendances 2011 par Trendhunter

Trendhunter

Le chasseur de tendances « Trendhunter » vient de publier une vidéo récapitulative qui nous donne un joli panorama des 20 tendances techno/commerce/design/mode/consommation prévues pour l’année 2011. Ces prédictions n’engagent qu’eux mais la liste est bien sympa et je tenais à la partager avec vous.

20. La publicité projetée (sur un mur, une vitrine, un objet,…)
19. Le commerce (objets qui « vivent » sur les présentoirs et affichent de l’information pour communiquer avec le futur acheteur, votes sur les réseaux sociaux, etc..)
18. Les organisations caritatives utilisent des procédés choc pour attirer l’attention et le portefeuille du consommateur
17. Le high-tech portatif: affichages de commandes sur les vêtements, boucles d’oreille techno, lunettes avec écran intégré…
16. Retour à l’enfance: les marques emploient de plus en plus de figurines qui ont marqué notre enfance ou adolescence afin de réveiller l’enfant qui est en nous. Pourquoi? dépenser plus bien sûr!
15. Accentuation de la mode « real style » avec le vrai look des gens dans la rue. Autrement dit une tendance vestimentaire qui se rapproche plus du quidam que du mannequin de mode de haute couture. Pas fou, ca doit vendre plus ;-)
14. Temps Réel (on en parlait déjà il y a un an) : encore plus de real time avec twitter, foursquare, google, paiements sur mobile (Nexus S), facebook places, …
13. Tendances du design vers les formes cubiques (modern cubism)
12. Consommation « Next besting » : les consommateurs aiment et achètent de plus en plus les produits tendance (vêtements), chères et high tech, et ce même en temps de crise. Les early-adopters n’ont pas fini de dépenser. Surtout en techno. Juste à voir l’engouement des technophiles pour le dernier iPhone ou iPad, ca donne une idée.
11. L’impression en 3D gagne en popularité
10. L’hyper-réalisme (photos d’artistes qui représente la réalité, en quête de la perfection) à l’opposition des images de magazines photoshopées.
9. Les écrans tactiles à destination des enfants, que ce soit dans les jeux ou des contes
8. Democratic selling : ce sont les votes et opinions des consommateurs qui orientent les sociétés sur les produits à vendre. En gros, on vend ce que le consommateur veut dans les réseaux sociaux..
7. Rockstar self-expressionisme : retour du rock’n'roll dans le design
6. Kidvertising: les marketeurs mettent le paquet pour séduire les parents concernant la mode de leurs rejetons
5. Luxe : bien que le marché ne se porte pas super bien, certaines sociétés continuent à focuser uniquement sur le haut de gamme
4. Retour du style de l’ancien temps (c’est bien connu: comment faire du neuf avec du vieux? on ressort la mode d’il y a 50 ans…)
3. L’adaptation perpétuelle des produits pour satisfaire le consommateur. La mode et les tendances bougent vite, les fabricants s’adaptent aussi vite et surfent sur les vagues
2. Tweetonomics : la mode twitter se transpose sur les chaussures, accessoires, vêtements, gadgets. Exemple ici avec Adidas. On pourrait aussi parler de Facebonomics.
1. La consommation discrète: le public s’éloigne des grandes marques pour favoriser les petites. Du coup les grandes marques jouent le jeu… exemple dans la vidéo avec une bouteille Absolut Vodka sans logo, ou un Starbucks déguisé en café hindou..

Source: Vincent Abry

Ce que vous ne savez probablement pas sur Google

ce que vous ne savez pas sur google

Brevets, services, finances, recrutement... Découvrez des informations insolites mais souvent indispensables pour bien comprendre la marche en avant du groupe.

Lire la suite...

Source: Le Journal du Net

mardi 21 décembre 2010

Energie : création de trois infrastructures de recherche en Europe

Les Ministères de la Recherche des États Membres et la Commission européenne ont annoncé à Bruxelles, le 29 novembre dernier, la création de trois nouvelles infrastructures de recherche dans le domaine de l’énergie, pour un investissement global de 1,2 Md €.

Mme Máire Geoghegan-Quinn, commissaire européen en charge de la recherche, de l'innovation et de la science, a ainsi déclaré que «Le développement d'infrastructures de recherche de classe mondiale en Europe, par la mise en commun de ressources à l'échelon de l'UE, est un objectif important de l'Union pour l'innovation. Ces installations permettront de mener des recherches innovantes qui pourraient à terme contribuer à la sécurité d'approvisionnement énergétique future de l'UE. Il nous faut rapprocher la recherche, la technologie, l'industrie et l'exploitation commerciale: tel est l'objectif du plan stratégique européen pour les technologies énergétiques.»

Ces infrastructures s’inscrivent dans le cadre des projets Windscanner, dont le but est d’accroitre les performances européennes dans le domaine de l’énergie éolienne ; EU-Solaris, qui vise au développement de nouvelles technologies pour l’énergie solaire et Myrrha dont l’objectif est la réduction des déchets nuclaires radioactifs.

Source: Pic2europe.fr

lundi 20 décembre 2010

Ces données privées que les applications mobiles transmettent à votre insu

Les données personnelles permettent à la publicité ciblée d'être plus pertinente, et donc de rapporter plus aux développeurs qui acceptent de les livrer.Les données personnelles permettent à la publicité ciblée d'être plus pertinente, et donc de rapporter plus aux développeurs qui acceptent de les livrer.REUTERS/JAYANTA SHAW

Localisation, âge, sexe, identifiants : la plupart des applications sur téléphone mobile envoient des données privées à des régies publicitaires sans que l'utilisateur en soit informé, selon une enquête du Wall Street Journal. Sur 101 applications populaires étudiées par le journal américain, moitié sur iPhone, moitié sur Android, 56 transmettent l'identifiant unique du téléphone, 47 donnent la localisation de l'utilisateur, et 5 livrent l'âge et le sexe du mobinaute sans qu'il se doute de rien.

L'application la plus "généreuse" serait TextPlus 4, un service permettant d'envoyer gratuitement SMS et MMS. Le logiciel enverrait l'identifiant unique du téléphone à huit régies publicitaires différentes, et la localisation, l'âge et le sexe de l'utilisateur à deux autres régies. Même chose pour Pandora (musique en streaming), Paper Toss (jeu), ou Grindr (site de rencontre pour homosexuels et bisexuels).

IMPOSSIBLE DE DÉSACTIVER LE TRAÇAGE

Le Wall Street Journal pointe deux faiblesses dans la protection de la vie privée des mobinautes : l'impossibilité de désactiver a posteriori le traçage, et l'absence d'obligation pour les applications de disposer de règles de confidentialité, aussi bien sur l'Apple Store que sur l'Android Market.

Sur les 101 applications testées, 45 n'ont aucune règle de confidentialité, c'est-à-dire une déclaration écrite, consultable sur le site Internet de l'application ou dans le logiciel lui-même, indiquant comment sont traitées, utilisées et protégées les informations privées de l'utilisateur. Et si sur un ordinateur classique il est aisé de supprimer les cookies (qui contiennent des données de navigation) en quelques clics, la manœuvre est impossible sur un téléphone.

"La grande spécificité des smartphones est que vous ne pouvez pas effacer votre identifiant unique comme vous pouvez supprimer un cookie sur un ordinateur, explique Meghan O'Holleran, directrice de la section mobile et publicité dynamique chez Traffic Marketplace, une régie publicitaire sur Internet. C'est comme ça que nous pouvons tout tracer. Nous regardons quelles applications vous téléchargez, la fréquence à laquelle vous les utilisez, combien de temps vous passez dessus."

PROFILAGE POUR REVENUS PUBLICITAIRES

Ces données permettent à d'autres sociétés, comme Mobclix, de classer un utilisateur de smartphone dans 150 "segments" différents, allant du "militant écologiste" à la "femme au foyer". Ainsi, explique le Wall Street Journal, le segment des "joueurs acharnés" est constitué par"des hommes âgés de 15 à 25 ans, ayant plus de 20 applications sur leurs téléphones, et passant plus de 20 minutes sur chacune d'entre elles".

Grâce à ce profilage, la société peut proposer les publicités les plus adaptées à la cible, et le développeur de l'application peut améliorer ses revenus issus de la publicité. Selon le créateur de l'application DailyHoroscope sur Android, qui a refusé de livrer certaines données aux régies, la publicité ciblée, basée sur le lieu où se trouve l'utilisateur, rapporterait de deux à cinq fois plus que la publicité classique.

D'autres développeurs ne voient au contraire aucun problème à livrer certaines informations privées, arguant qu'elles sont anonymes. "On ne parle pas de la réelle identité des gens. Nous ne relions pas les informations à un nom, donc je ne vois pas où est le problème", affirme le président de la société à l'origine de Grindr.

Certaines régies publicitaires aimeraient néanmoins avoir plus de renseignements que l'âge ou la ville du mobinaute. Millennial Media, une régie travaillant entre autre avec l'application Android de MySpace, liste ainsi onze types d'informations que les développeurs peuvent transmettre, dont l'origine ethnique, les revenus, l'orientation sexuelle et les opinions politiques.

Source: Lemonde.fr

Mesures sensorielles : Alpha M.O.S se positionne sur l’environnement

Bien implantée dans le secteur de l’agroalimentaire, la société Alpha M.O.S, spécialisée dans les instruments intelligents de mesures sensorielles (nez, langue et œil électroniques), oriente ses applications vers l’environnement, notamment avec le lancement de la « Solution RQ Box Anywhere » (nez électronique pour le contrôle continu des émissions d’odeurs et de polluants gazeux).

Avec l’ambition de se positionner sur le marché de l’environnement, Alpha M.O.S lance la « Solution RQ Box Anywhere » (nez électronique pour le contrôle continu des émissions d’odeurs et de polluants gazeux). La société vient également de signer un contrat majeur en Chine pour l’installation du premier réseau « cleantech » d’analyse en ligne des odeurs et des toxiques industriels.

De l’agroalimentaire à la défense

Créée en 1993 sur le développement d’instruments intelligents de mesures sensorielles, la société réalise la moitié de son chiffre d’affaires dans le secteur de l’agroalimentaire. Sa dernière innovation, de l’« Iris Visual Analyzer » (le 1er oeil électronique au monde), est d’ailleurs dédiée à l’analyse visuelle et sensorielle de produits agroalimentaires complexes. Mais Alpha M.O.S est également présent sur les marchés de la parfumerie et cosmétique, du secteur pharmaceutique (goût des médicaments) ou encore de la sécurité et de la défense (gaz de combat par exemple). « Pour tous les domaines d’application, le même logiciel est utilisé. Chaque secteur nécessite seulement une phase des d’apprentissage de ses caractéristiques propres » explique Jean-Claude Mifsud, PDG fondateur d’Alpha M.O.S.

Un positionnement sur le marché de l’environnement

Pour l’avenir, la société souhaite se positionner fortement sur le marché de l’environnement. Au dernier salon Pollutec, début décembre à Lyon, Alpha M.O.S présentait la « Solution RQ Box Anywhere », basée sur la technologie de nez électronique pour le contrôle continu des émissions d¹odeurs et de polluants gazeux. « L’environnement constitue notre grand axe de développement stratégique. Tiré notamment par la demande des pays émergents en matière de contrôle de la qualité de l’air, ce secteur est voué à supplanter celui de l’agroalimentaire dans notre chiffre d’affaires » annonce Jean-Christophe Mifsud.

Trois filiales à l’étranger

Parallèlement, Alpha M.O.S poursuit son développement à l’international. Forte de 3 filiales à l’étranger (Etats-Unis, Chine et Japon), avec laboratoire, équipes de vente et support, la société réalise seulement 10 % de son chiffre d’affaires en France. « Nous sommes actuellement engagés, aux Etats-Unis, dans une collaboration avec les autorités pour le contrôle des produits marins après les pollutions issues de la marée noire dans le Golfe du Mexique. Pour l’instant, le montant des contrats passés avec les différents États s’élève à plus d’un million d’euros. Et ça va continuer » indique Jean-Christophe Mifsud.

Vers la normalisation des perceptions sensorielles

Autre chantier : celui de la normalisation. « Aujourd’hui, il n’existe pas de normes autour des perceptions sensorielles. Comment définit-on ce qu’est un bon café, par exemple ? » interroge le PDG d’Alpha M.O.S. « Alors que chaque société développe ses propres outils, des efforts sont actuellement réalisés pour standardiser ces perceptions. Ce processus est plutôt avancé dans le secteur des céréales notamment. Au niveau européen aussi, les choses commencent à avancer ».

Source: Le Journal de l'Innovation

jeudi 9 décembre 2010

Tout portable est une porte d'entrée aux stocks de l'entreprise

Virtual City propose aux PME kenyanes de notifier en temps réel les commandes et ventes réalisées en déplacement. Cela depuis un téléphone d'entrée de gamme : les mises à jour se font par réseau cellulaire.

Gestion des stocks, validation de commandes… Autant d'opérations que les commerciaux peuvent désormais effectuer via des appareils mobiles type PDA, netbook ou tablette. Reste que pour les PME, et plus particulièrement dans les pays en voie de développement, ce type d'appareils n'est pas forcément accessible. Pour y remédier, la kenyane Virtual City a mis au point une solution qui permet à des représentants de prendre des commandes ou de réaliser des ventes. Cela depuis un téléphone d'entrée de gamme. L'application doit être téléchargée dans l'appareil, qui appelle ensuite un serveur et en télécharge le contenu (stocks disponibles…). Un inventaire actualisé est alors fourni. En route, les informations qu'il va agréger seront ensuite envoyées, toujours par réseau mobile, à l'entreprise. Ou elle sont recensées et traitées. "Cette application de gestion permet du coup de séparer les livraisons des commandes, ce qui fait qu'il n'est plus nécessaire d'attendre le retour du commercial pour prendre ces dernières", explique à L'Atelier Chris Sang, responsable des opérations de Virtual City.

Régler de mobile à mobile

Le système permet aussi au client de régler son produit de mobile à mobile, en passant par l'une des solutions de m-portefeuille disponibles (M-Pesa, YuCash, Zap…). Une fois la transaction en cours, le consommateur reçoit une notification sur son téléphone. Cela lui permet de valider le paiement. Une alerte est alors envoyée simultanément au commercial et à la base de données de l'entreprise. Ce qui permet une mise à jour en temps réel des opérations. "Le paiement virtuel permet aussi aux représentants de ne pas se déplacer avec de grandes sommes d'argent sur eux", souligne Chris Sang. Le choix du téléphone n'est pas anodin. On le sait, le taux de pénétration du mobile sur le continent est bien supérieur à celui de tout autre appareil électronique. "Au Kenya, il y a environ 15 million d'abonnés mobiles. La quasi-totalité des petites et moyennes entreprises en disposent", confirme ainsi le responsable des opérations. Résultat, le téléphone élimine les barrières d'entrée.

Une meilleure autonomie

Autre chose : "un mobile peut tenir deux jours sans être rechargé, quand il faut compter sur environ 6 heures pour un ordinateur portable". Reste que la petitesse de l'écran des appareils d'entrée de gamme peut soulever des problèmes de praticité, pour entrer et consulter les données. Un bémol reconnu par le responsable, qui note cependant que Virtual City a du coup mis au point des systèmes de raccourci et de recherche. "L'utilisateur peut aussi définir une liste des produits les plus utilisés et les prioriser". L'application, disponible depuis le début de l'année, a gagné récemment le Growth Economy Venture Challenge, organisé par Nokia. Cette dernière a versé 1 million de dollars sous forme d'investissement dans la start-up, et lui assure un soutien technologique. Résultat : une version améliorée ne devrait pas tarder à voir le jour.

Source: L'Atelier

mercredi 8 décembre 2010

Produire de l'électricité avec des plantes : bientôt possible ?

Des chercheurs du Technion à Haifa ont franchi une étape importante vers la création d'énergie d'origine biologique : ils ont réussi à modifier le cycle de la photosynthèse. Le détail de leurs travaux a été publié dans les compte rendus de l'Académie des Sciences américaine et a été breveté par le Technion. Ces chercheurs ont effectué le premier pas vers la création d'une énergie réellement verte, qui selon eux serait: "l'énergie la plus verte parmi les énergies vertes".

L'équipe de chercheurs, composée des professeurs G. Schuster & N. Adir et des doctorants S. Larom & F. Salama, a réussi à modifier une étape de la photosynthèse (processus par lequel les plantes absorbent l'énergie lumineuse venant du Soleil afin de la convertir de manière efficace en énergie chimique) afin de pouvoir éventuellement produire de l'électricité directement à partir des plantes. Pour cela, ils ont étudié une protéine membranaire intervenant dans le transport d'électron lors du processus de la photosynthèse: dans son état naturel, celle-ci extrait les électrons des molécules d'eau et permet de les transporter à travers la membrane sur laquelle elle est fixée. Les chercheurs ont modifié cette protéine en remplaçant un de ses acides aminés (élément de base constitutif des protéines) afin de "court-circuiter" le transfert d'électron au sein de la membrane et autoriser la récupération de ces électrons par une protéine externe venant intéragir au niveau de cet acide aminé. Cette seconde protéine peut ensuite être exploitée afin de transporter les électrons vers un circuit électrique classique. Le meilleur candidat trouvé par les chercheurs est le cytochrome C, provenant du coeur des chevaux.

L'intérêt de cette méthode réside dans la fréquence élevée de "récolte" des électrons, autorisant une production d'énergie suffisamment conséquente pour pouvoir être exploitée. De plus, cette modification ne brise pas le cycle de la photosynthèse, ce qui autorise la croissance des végétaux ainsi modifiés de manière totalement naturelle (par définition peu coûteuse et non-polluante).

A l'avenir, l'équipe du Technion espère pouvoir mettre en place un mécanisme complet basé sur cette découverte permettant de convertir l'énergie lumineuse du Soleil en énergie électrique. Selon eux: "Cela ne va pas remplacer les centrales électriques", "mais cela pourrait fournir des quantités utiles d'électricité totalement propre, notamment dans les endroits isolés, trop éloignés du réseau électrique". Ils espèrent: "atteindre un stade de développement où quelques feuilles (par exemple de tabac) pourraient produire de l'électricité pendant quelques heures, à l'instar d'une cellule photovoltaïque d'environ un mètre carré".

ORIGINE : BE Israël numéro 70 (7/12/2010) - Ambassade de France en Israël / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/65282.htm

Efficacité énergétique par OPOWER en lien avec le comptage "intelligent"

The OPOWER advanced customer engagement platform is the industry's leading Smart Grid front-end. It is the only platform available in the marketplace today that can achieve:

1. Broad Customer Engagement — up to 85% of people exposed to the platform take action

2. Large-Scale Energy Savings our track record of clearly measured energy savings is well documented.



OPOWER 3.0 Platform

OPOWER's unique combination of an all-channel communication approach, highly targeted messaging, energy usage analytics and applied behavioral science is a solution that has proven successful in engaging over a million people across the country today. With OPOWER 3.0, the platform fully embraces AMI data and is designed to deliver highly visible and quantifiable value of the Smart Grid directly to utility customers.

Elements of Advanced Customer Engagement (ACE):

  • Proactive Engagement Pushing data to a majority of customers is critical to having an impact. Our platform includes paper reports, emails, and alerts.
  • All-Channel Communication — Our approach reaches all customer segments--irrespective of income or access to technology--by taking advantage of ALL available communication channels

  • Targeted Messaging If it's not relevant, customers will not pay attention. Our industry-leading content targeting engine ensures each customer sees only what's most relevant for her or him

  • Usage Analytics Analysis and insights are more actionable, more interesting, and more motivating than raw data. The more data we have from a smart meter, the more specific our recommendations become
  • Applied Behavioral Science Energy data on its own is not sufficiently engaging to produce significant results. The OPOWER platform takes energy data and transforms it into something more interesting by using normative comparisons across all dimensions, not just overall usage.

The Insight Engine

Behind our multifaceted customer engagement approach is a single software platform. The Insight Engine is an advanced analytical engine that uses patent-pending statistical algorithms to extract the most possible actionable insights from all available data. This includes not only the billing data provided by our utility partners, but also customer demographics, weather, and other relevant data from half a dozen different data sources, including local governments and third parties.

OPOWER Insight Engine

The Insight Engine is programmed to perform three types of analysis:

  • Usage Disaggregation — discover patterns in energy usage that trigger Aha! moments. Providing this type of insight drive customers to take action
  • Tip Targeting and Customer Segmentation — select the most relevant information for each particular household, which ensures maximum relevancy and high response rate to our recommendations
  • Integrated Normative Messaging — the Insight Engine uses the latest in behavioral science research to tailor messages that not only inform, but also motivate households to act

The importance of our Insight Engine cannot be overstated – it provides the customer intelligence embedded in all our products, and is the difference between mere data presentment and highly motivating customer engagement.

To learn more about customer-facing products powered by our Insight Engine, please see:

'Désobéissance organisationnelle', facteur d'innovation ?

The head of a large financial services division recently asked me how to encourage his people to take more initiative. He explained that his organization was highly functionalized with separate units for sales, trading, investing, portfolio management, credit, risk, and operations; some of which reported to him and some to the corporate center. With this configuration, the only way to get things done — either internally or for clients — was for people from the different functions to take the initiative to work together. But since each unit was mostly concerned with its own priorities and didn't necessarily see the bigger picture, much of the cross-functional collaboration just didn't happen organically.

For example, a product manager in this executive's division was getting complaints from customers about slow transaction processing. When she talked to the operations team she was told that the problem stemmed from an older system that couldn't handle peak period volume, and wasn't scheduled to be updated for another year. She and her customers were basically told to get used to the delays. A week later, when the continuing customer complaints escalated to the division head, he asked this product manager why she hadn't insisted that the operations and systems people get together and find a solution. Her answer was that they didn't report to her, so she didn't have the authority to take that kind of initiative.

This is an all-too-common dynamic. As organizations become increasingly specialized, matrixed, and global, most senior managers — like this executive — recognize that they no longer have control over all of the resources they need to achieve their goals. Instead of getting things done through direct authority, they need to influence peers, share resources, create ad hoc teams, and reset priorities. The problem is that senior executives don't have nearly enough time to orchestrate all of these shifts singlehandedly. Instead they need their managers to recognize the cross-functional linkages, seek out the people they need, and make things happen. It needs to be part of the culture.

So why don't managers (many of whom complain about not being empowered) take more initiative to go beyond their narrow functional responsibilities? Why do they hesitate to "reach across the organizational aisle" — especially when it's so critical to their customers and bosses?

The reality is that all of us live and work within a personal box that constrains what we think we can do. Obviously part of the box is determined by official limits set out in job descriptions, hierarchical arrangements, and formal work rules. But a large part of the box — perhaps even most of it — is self-created and self-imposed. We work within our comfort zones, doing what we think we should do and what we are used to doing. And most of the time we don't question, challenge, or test those limits, which makes them self-perpetuating.

If managers want to succeed in today's organizations, they are going to have to redefine their limits and go beyond their traditional comfort zones. Instead of being constrained by reporting lines, they need to driven by whatever it takes to get results (within the limits of respect and integrity) — and if that means chasing down people in other hierarchical structures, so be it. Of course, once they get through to these people, they will have to influence them to adjust priorities or come up with creative solutions — and it's very possible that they will ruffle some feathers along the way.

If our product manager had redefined her limits, she would have felt authorized (and empowered) to engage operations' and systems' people in solving her customers' problems. Given that they had other priorities and schedules, it might have led to some tough conversations and may or may not have generated a solution. But without taking the initiative, the only thing that would happen for certain is nothing.

What's your experience with pushing beyond your usual boundaries?

SOURCE : Harvard Business Review

Social Networking: The Future

In my first post I talked about the history of social networking from 1985-2002 dominated by CompuServe, AOL & Yahoo! In the second post I explored the current era which covers Web 2.0 (blogs, YouTube, MySpace, Facebook), Realtime (Twitter), and mobile (Foursquare). Is the game over? Have Facebook & Twitter won or is their another act? No prizes for guessing … there’salways a second (and third, and fourth, and fifth) act in technology. So where is social networking headed next? I make eight predictions below.

1. The Social Graph Will Become Portable

Right now our social graph (whom we are connected to and their key information like email addresses) is mostly held captive by Facebook. There is growing pressure on Facebook to make this portable and they have made some progress on this front. Ultimately I don’t believe users or society as a whole will accept a single company “locking in” our vital information.

Facebook will succumb to pressure and over time make this available to us to allow us more choice in being part of several social networks without having to spam all of our friends again. I know in 2010 this doesn’t seem obvious to everybody but it’s my judgment. Either they make our social graph portable or we’ll find other networks to join. I predict this will come before the end of 2012.

2. We Will Form Around “True” Social Networks: Quora, HackerNews, Namesake, StockTwits

Since 2006 I have been lamenting what I see as “the Facebook problem” – they are trying to lump me into one big social network. Nobody exists in one social network. I have the one with my friends where I want to talk about how wasted we were at the party last weekend that I don’t want to share with my family network where I share pictures of the kids with my parents and siblings.

I don’t want either of these mixed with the business social network in which I want to maintain the appearance that I’m “all business” and certainly don’t want to see college pictures of me in Mexico floating around. I don’t want to mix my “public network” with my “private networks.” Facebook has jumbled these all together and then tried to bandage it by making groups available. I don’t think this really solves the problem.

And young people aren’t stupid – they certainly aren’t as digitally naïve as their elders like to think. To get around all of this jumbling of social graphs they simply create multiple Facebook accounts under pseudonyms or “nom du guerre” for their real discussions and more pristine Facebook accounts for their real names. I wonder how many of Facebook’s 500 million users are created for this purpose? I’ve confirmed this trend with several young people.

I believe that people already form topical social networks as evidenced in places like HackerNews or Quora. We are also seeing the growth of social networks around topics of interest like StockTwits for people interested in investing in the stock market. There are new networks forming to try and address the needs of specific social networks such as Namesake that is in its experimental stage but sees a world in which people want to network outside of Facebook.

3. Privacy Issues Will Continue to Cause Problems: Diaspora

Facebook made a deal with us that our social network was private. When they jealously watched the rise of Twitter they decided that it should be made more public, but that wasn’t the bargain we made when we signed up in the first place. If I were Facebook I would have simply created two places where you could network, Facebook “private” and Facebook “open.” The latter product could have competed directly with Twitter and could have had an asymmetric follow model.

Sure, we would have had to choose which followers to have in that separate timeline and they wouldn’t have gotten all the synergies that they have by just lumping them together. But if they would have done it this way they never would have crossed the ethical lines that they did and we could all just love Facebook instead of our love-hate relationships. I’m still there daily to see pictures of my nieces & nephews – but I never connect more broadly with anybody in the business community. So 95% of my social networking time goes to Twitter.

I know most people aren’t troubled by the loosening of their information – but I believe that’s because most people don’t understand it.

What I realized in working with so many startup technology firms is that even if you don’t give permission to third-party apps to access your information much of it is available anyways as long as somebody you’re connected to is more promiscuous with third-party apps. Also, all of those “Facebook Connect” buttons on websites are awesome for quickly logging in, but each gives those websites unprecedented access to your personal information.

I believe that privacy leaks will cause a longer-term backlash against misusing our information but in the short-term not enough people understand the consequences to be alarmed. Diaspora was created in direct response to the growing concerns about Facebook privacy and lock-in. Whether or not Diaspora will take off is anybody’s guess. But a lot of people would love to see them or similar players emerge.

4. Social Networking Will Become Pervasive: Facebook Connect meets Pandora, NYTimes

As our social graph becomes more portable I believe that social networking will become a feature in everything we do. You can already see it slipping into services like Pandora where my social graph instantly appears and my friends’ musical tastes are displayed without my knowing this would happen. On NY Times I’m getting recommended articles by friends and I didn’t explicitly turn this feature on. This trend of social pervasiveness will continue.

5. Third-Party Tools Will Embed Social Features in Websites: Meebo

One thing that is obvious to me is that while many websites want to have Facebook Connect log-ins to know more about you, they don’t really know what to do with you once they have that information. They’re mostly now thinking about serving demographically targeted ads to you, but that’s not very interesting. Third-party software companies will start to offer features to websites to actually drive social features. This will take a few years but players such as Meebo are already innovating in this category though their toolbar.

6. Social Networking (like the web) Will Split Into Layers: SimpleGeo, PlaceIQ

One of the most interesting trends in the last few years has been watching the Internet split into layers. At the bottom end of the stack is storage (S3) and processing (EC2). At the top end is the business logic created by startups and established technology companies. I’m going to write a whole post on BothSid.es in the next few weeks on the layering of the Internet and the most important layer that will emerge in the next few years. We know that the layering of the PC era led to huge innovation at each layer in the stack and I expect the same to continue to emerge on the Internet. But for now suffice it to say that we’re already seeing this happen in social networks.

One interesting layer is the “mapping layer” that is emerging in mobile social networks. If every startup had to figure out the locations of every business, what type of business they were and where they were located on a map we’d have very few startups. SimpleGeo is designed with the idea that startups can create new mobile products without having to each build their own mapping functionality. This is an awesome trend and will further lower the cost of startup development. I predict that SimpleGeo will do well in the mapping layer but I see more innovative companies emerging at the data layer.

And there are other companies racing to create horizontal platforms. One I saw recently was PlaceIQ. Their goal is to create a horizontal platform that allows marketers or developers to know a lot more about the geo-locations and not just the specific businesses / points-of-interest. They’re capturing information about the demographics of map tiles, levels of LBS activity, what certain zones are known for (i.e. romantic spot, financial district) and want to make this available to others.

7. Social Chaos Will Create New Business Opportunities: Klout, Sprout Social, CoTweet, awe.sm, (next gen) Buzzd

The explosion of data is creating opportunities just in the management of the data in and of itself. Once we’re uber-connected and getting information online from people we’ve only met online we need to know more about the “authority” of the people we’re following. Enter Klout, a service that tracks the influence of individuals in social networks. It can be imported into other products (e.g. StockTwits) where you really want to know more about the person giving you advice.

We know that Twitter is leading to customer service opportunities for businesses but the opposite is also true. If you don’t manage what is said about you in social networks it could be detrimental. Products such as Sprout Social and CoTweet are emerging to help businesses better track and communicate with their customers and leads. Products like awe.sm (I’m an investor) will help you manage the efficacy of your social media marketing campaigns.

And one of the cooler new products that will emerge in 2011 is being created by Nihal Mehta, who has pivoted from his previous company Buzzd, but I’m sworn to secrecy on what he’s up to until he releases it publicly. I saw the product recently in New York and loved it. It will address the world of what happens when businesses and consumers are increasingly mobile & social.

8. Facebook Will Not be the Only Dominant Player

I know that in 2010 it seems ridiculous to say anything other than “Facebook has won—the war is over” and I know that it feels that way right now. Facebook is so dominant it is astounding. In a complete return to where we all began with AOL—the world is “closed” again as Facebook has become this generation’s walled garden. When you’re on Facebook you’re not on the Internet—you’re on the InterNOT. It is an amazing service and I use it regularly myself (although much less than I use Twitter). But it makes me laugh to now see so many brands advertising their “fan pages” as they did their AOL Keywords back in the day. Plus ça change

Well, here’s a quick history primer that may change your mind:

  • In 1998 the Department of Justice launched an anti-trust case against Microsoft. People feared they were going to have a monopoly over the Internet due to “bunding” Internet Explorer with their operating system. A bit laughable in 2010, just 12 years later. These days people would sooner fear Apple than Microsoft, proving that reality is stranger than fiction.
  • In April of 2000 there were fears that the AOL / Time Warner merger would create a monopoly on the Internet. As you know, Time Warner eventually spun off AOL for peanuts. AOL is in the process of rebuilding itself and emulating a little-known LA-based startup called Demand Media. AOL seems to be doing great things to reinvent itself under the leadership of Tim Armstrong, but monopoly? Never.
  • In May 2007 there were fears that Google was becoming a monopoly. It controlled two-thirds of all Internet searches in the US and as we all knew—search was inevitably going to be the portal to finding information on the Internet. Or was it? We now know that social networking is having a profound impact on how we discover and share content online.
  • So . . . now it is November 2010 and Facebook has more than 500 million users. They have more page views than even Google. More than 10% of all time on the web is now Facebook. They have become a juggernaut in online advertising, pictures, video and online games. And now they want to revolutionize email. It is no doubt that the next decade belongs to Facebook. But the coincidence is that 10 years out will be 2020 and when we look back from that date I’m certain that people will also find a Facebook monopoly a bit laughable.
AUTHOR : Mark Suster