Les sociétés d'assurance commencent à mettre en place des projets basés sur le collaboratif, mais leur adoption reste limitée. Ce sont les résultats d'une étude menée par la société de conseil Celent. Pourtant, les professionnels européens et américains du secteur perçoivent l'intérêt des technologies 2.0. Ce, notamment en raison de l'arrivée des jeunes générations sensibilisées aux modes de communications bidirectionnels. Les auteurs de l'étude ont du coup identifié cinq bénéfices que les compagnies tirent ou pourraient tirer de la généralisation de ces outils.
Simplifier l'utilisation
Premier d'entre eux : les solutions collaboratives sont pratiques pour l'assureur comme pour le client, car elles simplifient l'accès aux produits. L'étude relève que la facilité d'usage et d'accès à l'information est un des axes sur lequel les compagnies ont effectué l'effort le plus notable durant ces dernières années : plusieurs initiatives de portails de consommateur, à l'instar de celui du FBD Insurance ou de la compagnie Animal Friends, ont notamment vu le jour. Deuxième point : Celent note que les technologies dites 2.0 simplifient la mobilité. Les représentants peuvent, en situation nomade, rester en contact à la fois avec leurs clients et avec les prospects. Cette capacité à répondre immédiatement aux demandes est liée au troisième bénéfice identifié par l'étude : la spontanéité.
Créer le dialogue
L'adoption d'outils comme la VoIP ou encore le chat vont également dans ce sens : accélérer le dialogue avec les consommateurs. L'un des deux derniers bénéfices identifiés est la collaboration, optimisée en interne et avec les tierces parties (partenaires, fournisseurs, clients). Cinquième élément cité par les analystes de Celent : "l'ouverture". Dans le secteur des assurances, ce dernier aspect signifie davantage de transparence entre les équipes de la société et envers les clients. À noter que la préférence des assureurs pour les outils 2.0 va tout d'abord aux wikis, aux podcasts, aux systèmes de tags, aux fils RSS et aux blogs.
Source : L'Atelier
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