Dans la conception des cellules photovoltaïque, les couches minces permettent une consommation en matière plus de cent fois inférieure à celle des solutions cristallines actuellement majoritaires. Représentant aujourd’hui 8 % environ de la taille de marché globale, les couches minces permettront dans un avenir proche (dès 2011) d’atteindre la parité réseau (coût comparable à celui des autres énergies connectées au réseau) en période de pointe (période durant laquelle le coût de l’énergie électrique est le plus élevé) dans plusieurs pays.
Du fait de ce potentiel, les couches minces devraient représenter 10 % du marché mondial du photovoltaïque en 2010 et 35 % en 2015. Les gagnants : les sociétés les plus innovantes du secteur. Parmi lesquelles une majorité sont des start-up américaines telles Firstsolar ou Nanosolar.
Notre objectif est de mettre en partage sur nos trois spécialisations (stratégies et management de l'innovation business tous secteurs, stratégies de croissance ENERGIE et CLEANTECH, stratégies de croissance DIGITAL), les analyses d'Innhotep, celles de nos invités et des articles tiers issus de notre veille. Accélérateur d' "innovations business", Innhotep intervient comme conseil auprès de grands groupes et accompagne le développement de start-up high-tech.
- Innovations business (327)
- Innovations énergétiques (764)
- Innovations numériques (1334)
mercredi 1 juillet 2009
Analyse Innhotep-Solaire photovoltaïque : les ruptures attendues
Libellés :
Energies traditionnelles,
Innovations énergétiques
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire