ôle du téléphone portable des enfants.« Parce que (sinon), quand vous donnez un téléphone portable à votre enfant, vous ne savez pas à qui il parle, ce qu’il envoie par texto… »,explique Tom Smith, co-fondateur de Taser. Avec ce programme, un tableau de bord apparaît sur l’ordinateur ou le téléphone des parents : une alarme se déclenche chaque fois qu’un numéro inconnu appelle le téléphone de l’enfant. Les textos, courriels, photos et vidéos peuvent être passés en revue pour détecter mots grossiers ou contenus osés. « Vous pouvez voir un cliché et décider si vous laissez passer ou non », poursuit M. Smith. Enfin le parent a la possibilité de totalement bloquer l’usage du téléphone surveillé: « Je vois tellement de parents qui se battent avec leurs enfants en essayant d’obtenir qu’ils débranchent le téléphone pendant le dîner », justifie M. Smith.Le parent a désormais le pouvoir de dire à son enfant : “Pendant l’heure qui vient, pendant le dîner, ton téléphone ne va pas marcher”. » (AFP et Clubic )
Toujours dans le domaine du contrôle parental : le kit de détection de drogues dures sur surface. Désormais, les parents savent que si leurs enfants touchent à la cocaïne, l’héroïne ou l’ecstasy, ils pourront en trouver la trace sur leur porte clés, leur briquet, leur baladeur MP3, leur bureau, ou même l’intérieur de leurs poches.
Le site TestDrogue.fr vous assure que “le kit de détection NarcoCheck Surfaces permet de déceler les traces de drogues dures présentes sur tous types de surfaces, objets ou vêtements. Ces traces sont souvent infimes et invisibles mais restent cependant parfaitement détectables. Elles se déposent tout autour de celui qui manipule des drogues, notamment car elles sont manipulées avec les doigts, et que ces mêmes doigts se posent ensuite un peu partout.’
“Ce test détecte les drogues dures, même lorsque le prélèvement effectué n’en contient qu’une quantité extrêmement faible, poursuit l’argumentaire. La cocaïne et l’héroïne sont par exemple détectées à seulement 100 nanogramme par millilitre. A titre de comparaison, ces mêmes substances se dépistent à au moins 300 ng/ml dans un test urinaire classique. La seule façon de prouver un usage de drogues dures reste bien évidemment le test urinaire. Mais lorsque celui-ci n’est pas envisageable, le test de surface permettra de tester l’environnement des personnes plutôt que les personnes elles-mêmes.”
Enfin, TestDrogue explique que “si vous trouvez des traces de drogue dans les poches de votre enfant, son seul moyen de prouver sa bonne foi (ou de continuer son bluff) sera alors de pratiquer un test urinaire. Les primo-consommateurs (15-18 ans en moyenne) se réfugient derrière la barrière de l’intimité pour refuser les tests urinaires. Un test de surface positif permet de casser ce faux prétexte et d’exiger un dépistage direct.”
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