Un réseau de contenu adapté à chaque sujet : c'est que propose ce nouveau service web via quelques lignes de code à intégrer.
Il est commun de trouver sur les blogs traitants d’un sujet des liens vers d’autres blogs ou sites qui traitent de sujets similaires. Malheureusement, les réseaux ainsi créés sont loin d’être exhaustifs. C’est pour y remédier que SmallRivers a été créé. L’idée de ce service web est de permettre de connecter entre eux de manière simplifiée l’ensemble des sites et des blogs dont le contenu est lié. Il suffit pour cela à l’auteur de rajouter un marqueur à n’importe laquelle de ses publications. Concrètement il s’agit de copier en fin de post une ligne de code html, comme pour insérer une vidéo issue d’un portail.
Lier entre eux des sites qui s’ignoraient
À la fin de la note, un logo en forme d’épingle apparaît, indiquant que le post est connecté. Dès que l’auteur d’un autre blog intègre le marqueur, les deux blogs sont connectés ensemble. Le réseau s’agrandit au fur et à mesure que le marqueur voyage. Le blogueur initial se retrouve donc potentiellement connecté avec des blogs et des sites avec lesquels il n’avait initialement aucun lien. En cliquant sur le marqueur depuis l'un des sites affiliés, l’internaute va ouvrir un encadré où sera listé l’ensemble des sites et blogs qui y sont liés. Un court descriptif de chaque site sera proposé, ou dans le cas des blogs un résumé du post à l’origine de la connexion.
Permettre plus d’interactions
Un lien vers le site est également fourni, ainsi que la date à laquelle les deux sites se sont connectés. Il sera également permis aux utilisateurs de suggérer d’autres liens à ajouter à la liste, élargissant ainsi le réseau. Pour les blogueurs qui traitent de plusieurs sujets, l’avantage est que cela crée un réseau relatif à chaque sujet traité plutôt que de simplement s’appuyer une liste de liens, forcément plus rigide. Dernier avantage, il est possible de commenter les liens sur ce réseau et ainsi de pousser l’interaction plus loin que ce qui était permis jusqu’à alors.
Source: L'Atelier
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